Arriver en Auvergne, c'est assister au spectacle de la terre saisie par une progressive ivresse de courbes. On les voit naître, se déployer devant soi, arriver à leur épanouissement et puis se replier lorsque d'autres surgissent à leur tour, comme des vagues. Et ce mouvement éveille une inflexion intérieure, l'épouse, l'attire à lui, la prolonge vers le monde qui semble alors lui promettre se s'étendre jusqu’à la plénitude.