Cercle Aristote - 2 nov. 2020 (enregistrée le 24 oct. 2020)
Pierre-Yves Rougeyron : L'Amérique de Trump, entre Nation et Empire (conférence)
Pierre-Yves Rougeyron présentait "L'Amérique de Trump : entre Nation et Empire" du paléoconservateur américain Paul Gottfried paru dans la collection Cercle Aristote aux éditions Jean-Cyrille Godefroy.
Avant 1973 , lorsque l'état empruntait 100 millions de francs sur 1 an a la banque de france, il remboursait 101 millions a la banque de france. Les excedents ( un million de francs) de la banque de france revenaient a la nation , au peuple. Il n'y avait pas de frais autres que le fonctionnement de la banque centrale.
Apres 1973 , lorsque l'état empruntait 100 millions de francs sur 1 an au crédit lyonnais, il lui remboursait 104 millions.les excedents, les 3 millions de francs, revenaient plus ou moins aux actionnaires privés de cette établissement. Mais dans la réalité tres pratique, les français ont ete delestes de 3 millions de francs qui seront pris sur leurs impots.
Grace a la loi du 3 janvier 1973 et a ses suites , la france a aujourd'hui une dette d'environ 1700 milliards d'euros, dont environ 1400 milliards représentant les seuls intérêts du aux banques et aux marchés
C'est histoire d'un hold up de legende comme personne n'aurait pu vous la raconter ou les voleurs ont soutire
, rien que pour la france , 1400 milliards d'euros si l'on ne s'en tient qu'aux seuls intérêt de la dette. Comme si on avait engage chaque francais ou française a payer immédiatement 25000 euros a des etrangers avec le revolver sur la tempe.
Le seul homme, qui, en Occident, et en dehors des marxistes, eut une idée majeure pour le modifier, ce fut De Gaulle, par ‘la participation’ : rendre les ouvriers copropriétaires de leurs usines via une prise de participation en échange de leur travail en plus de leurs salaires.
« A elle seule la loi du 3 janvier 1973 de Valery Giscard d’Estaing, avec ses tenants et aboutissants, résume la cupidité criminelle d’une caste aussi méprisante que suffisante, au service d’une Union Européenne et de l’Agence France Trésor succursale des USA.
Depuis 1990, 34 pays ont renoncé à la souveraineté sur leur banque centrale, ce dispositif (loi du 03/01/1973) sera repris par l’article 123 du traité de Lisbonne, dans sa partie financière rédigée par le groupe d’Amato où la France était représentée par Dominique Strauss-Kahn.