"Le poulpe, en l'attaquant, avait simplement ravivé sa détresse. C'était une angoisse tentaculaire. Ses réminiscences, soudain, s'irradiaient en des sortes de fleurs monstrueuses qui devenaient poulpes. Des poulpes, il avait le crâne plein de poulpes, les orbites pleines de poulpes ! Sa vie passée, présente et à venir était infestée de poulpes gluants aux évolutions reptatoires."