Revue France Culture Papiers

Un très grand merci à Babelio et son opération Masse Critique. J'aime écouter France Culture, mais en général dans l'espace confiné de ma voiture. Ici j'ai pu découvrir l'existence de cette magnifique revue, et oui pour la première fois France Culture Papier entre mes mains pour son onzième tome...

Il est vraiment agréable de profiter de ces articles d'excellente qualité rassemblés autour de trois thèmes, l'expérience du monde, l'atelier du savoir et les chemins de la création pour faire entendre la voix des artistes. J'ai beaucoup aimé retrouver des archives, notamment le premier entretien radiophonique de Françoise Sagan le 28/08/1956, et l'insolence de Marguerite Duras du 20/11/1973. Un bonheur pur de lire tous ces articles, même si j'ai fait durer ma lecture, on ne lit pas ce type de revue d'une traite comme un roman.

Je tiens à souligner également la grande qualité de l'objet lui même, un beau papier, une belle mise en page, qui me pousse à croire que la presse écrite peut avoir encore de beaux jours devant elle, tant que des lecteurs comme moi apprécient le papier. J'ai aussi une pensée pour les malentendants et en remercie France Culture.

Dans la lignée des revues trimestrielles vendues en librairie (telles que XXI, 6 mois, etc.) France culture Papiers nous présente son magazine grand format. Un contenu très imagé et original car il retranscrit une sélection d'émissions diffusées sur la station de radio France Culture. Les propos sont résumés ou approfondis, des photos et des illustrations étoffent le texte, bref, un bel objet très agréable à lire et qui nous fait découvrir un autre aspect de France Culture. Les articles sont concis, juste ce qu'il faut, et très variés. Dans ce numéro, certains ont particulièrement attiré mon attention : "un point c'est tout", qui explore l'usage de la ponctuation dans l'histoire, "plans éclairés" un interview de Philippe Rousselot, ou encore le premier épisode d'une nouvelle de Yves Ramonet : ça donne envie de lire la suite !

Auditeur fidèle de France Culture, en particulier des émissions

d'information: les matins, l'Esprit public, Une fois pour toute!, l'économie

en questions...

Pourquoi s'intéresser à une version papier, à la revue "France culture

Papiers"?

C'est en fait une bonne surprise.

Un vraie revue, sans pub (comme la version audio...).

Une vraie prolongation de la radio, on y retrouve les chroniqueurs ou les

producteurs que l'on aime écouter.

Avec en plus, un accès aux émissions que l'on n'écoute pas toujours, par

exemple dans ce numéro d'automne 2014, de très beaux papiers sur le Bouthan, pays "du bord du monde" ou un retour sur des archives retranscrites de la chaîne: François Truffaut - Un homme qui aimait les films (mai 1975).

Bref une revue dense, où l'on picore avec un réel plaisir.

Pour cette opération masse critique, c'est la famille qui en a profité: un grand merci!

Depuis que je n'habite plus en ville, je n'écoute quasiment plus la radio. Parce que depuis que j'habite au bord de la mer, j'écoute le vent dans les dunes plutôt que France Culture. Parce que depuis que j'habite au bord de la mer, je lis beaucoup plus que je n'écoute.

Alors lire France Culture...tu n'imagines même pas le frétillement des neurones. A la limite de l'explosion.



Et puis le temps passe et impossible de mettre la main dessus. Le N°1, le 2, le 3 ...parce que les dunes tu vois, c'est chouette, mais tu n'y trouves pas tout.



Reste bien entendu la possibilité de s'abonner via un formulaire en ligne. Mais un abonnement à l'aveugle, même si j'ai relativement confiance, ça me tente moyennement.



Et un beau matin, voici que Babelio par le biais de Masse Critique m'offre le N°5.



Il sent bon, il est beau, il est doux, il est épais, il est tentant.



Tout me plaît.

La texture et les couleurs, du velours.

La mise en page, aérée et joliment policée.

Le format, agréable.



Et le contenu?

Parfait. Tu entends ce que tu lis. Très varié, tu peux passer d'un sujet à l'autre, faire des pauses, revenir en arrière à ton rythme (mieux que sur les ondes).

C'est une rediffusion (ou parfois pré-diffusion) d'un florilèges d'émissions, tantôt scientifiques, tantôt économiques, tantôt culturelles. Un joli mélange, de belles illustrations, quelques pépites. La finesse d'une recette réussie.

Et en dessert, tu as droit à une douceur théâtrale suivie d'un fondu de "papous".

Pas loin du bonheur.



Pour conforter mon éloge, j'ai été à la ville et me suis procurée le 3 et le 4, afin de vérifier que je ne me fourvoyais pas. Ils sont tous aussi intéressants, instructifs et distrayants.



Confortables aussi (pour comprendre cette subtilité, il faut aller sur le blog), au dire de Barnabé qui les a tout de suite adoptés (mais il trouve que c'est un peu intello, surtout pour un chat).



C'est décidé, je vais m'abonner et me procurer les deux premiers numéros qui manquent à ma désormais toute nouvelle collection.



Je ne peux que chaleureusement remercier Babelio et Bayard Presse.


Lien : http://ausautdulivre.blogspo..

Bien beau magazine que j'ai pu découvrir grâce à Masse Critique, Babelio et Radio France. D'abord, un format, une mise en page de qualité qui donnent envie de lire le contenu éclectique et intéressant. J'ai toujours aimé la radio et j'en profite d'autant mieux depuis que j'ai découvert les podcasts. La revue est une manière de mêler ce goût avec celui plus fort de la lecture. Car, il est bien agréable de se poser pour goûter l'interview de Fabrice Luchini ou pour réfléchir à la liberté de la presse dans un entretien diffusé mais que je n'aurai peut-être pas eu envie d'écouter. L'autre point fort de la revue, c'est la partie "archive": beau retour sur Germaine Tillon, par elle-même , très bien illustré en prime. Certes aussi , des sujets qui peuvent moins intéresser, mais au final, un bon support pour à la fois se divertir, apprendre et réfléchir. Essayez.

Depuis que je n'habite plus en ville, je n'écoute quasiment plus la radio. Parce que depuis que j'habite au bord de la mer, j'écoute le vent dans les dunes plutôt que France Culture. Parce que depuis que j'habite au bord de la mer, je lis beaucoup plus que je n'écoute.

Alors lire France Culture...tu n'imagines même pas le frétillement des neurones. A la limite de l'explosion.



Et puis le temps passe et impossible de mettre la main dessus. Le N°1, le 2, le 3 ...parce que les dunes tu vois, c'est chouette, mais tu n'y trouves pas tout.



Reste bien entendu la possibilité de s'abonner via un formulaire en ligne. Mais un abonnement à l'aveugle, même si j'ai relativement confiance, ça me tente moyennement.



Et un beau matin, voici que Babelio par le biais de Masse Critique m'offre le N°5.



Il sent bon, il est beau, il est doux, il est épais, il est tentant.



Tout me plaît.

La texture et les couleurs, du velours.

La mise en page, aérée et joliment policée.

Le format, agréable.



Et le contenu?

Parfait. Tu entends ce que tu lis. Très varié, tu peux passer d'un sujet à l'autre, faire des pauses, revenir en arrière à ton rythme (mieux que sur les ondes).

C'est une rediffusion (ou parfois pré-diffusion) d'un florilèges d'émissions, tantôt scientifiques, tantôt économiques, tantôt culturelles. Un joli mélange, de belles illustrations, quelques pépites. La finesse d'une recette réussie.

Et en dessert, tu as droit à une douceur théâtrale suivie d'un fondu de "papous".

Pas loin du bonheur.



Pour conforter mon éloge, j'ai été à la ville et me suis procurée le 3 et le 4, afin de vérifier que je ne me fourvoyais pas. Ils sont tous aussi intéressants, instructifs et distrayants.



Confortables aussi (pour comprendre cette subtilité, il faut aller sur le blog), au dire de Barnabé qui les a tout de suite adoptés (mais il trouve que c'est un peu intello, surtout pour un chat).



C'est décidé, je vais m'abonner et me procurer les deux premiers numéros qui manquent à ma désormais toute nouvelle collection.



Je ne peux que chaleureusement remercier Babelio et Bayard Presse.
Lien : http://ausautdulivre.blogspo..

Grande auditrice de France Culture, je ne savais pas qu'elle éditait une revue et j'ai été ravie de l'avoir reçue dans le cadre d'un masse critique. Merci à Babelio et aux Éditions Place des Victoires pour ce partenariat.



La revue est comme je m'y attendais : riche et de qualité. Ce sont des entretiens qui sont passés à la radio sous forme écrite, par des spécialistes ou experts. C'est érudit juste ce qu'il faut....



J'ai particulièrement apprécié l'entretien sur les amazones, sur la théorie du complot, le mythe des belles mères et l'interview de Jacques Brel.



Mention spéciale aussi à l'entretien de Xavier Emmanuelli sur les enfants des rues.



Voici une revue que je vais suivre attentivement et que je m'empresserai d'acheter.

J'avais depuis quelques temps envie de découvrir cette revue. L'idée de retranscrire des émissions de radio me semble en effet une très bonne idée. La revue permet de découvrir des émissions et interviews auxquelles nous n'aurions accès qu'en restant devant son poste... il existe les podcast vous me direz, mais bon, il faut se rendre sur le site...

Tout d'abord, cette revue est un bel objet. La mise en page, les couleurs et les choix typographiques de cette revue-livre sont assez agréables.

Ensuite, du point de vue du contenu, ce numéro 14 est assez intéressant avec notamment un entretien avec Germaine Tillion, tout juste entrée au Panthéon, un entretien avec le cuisinier Pierre Gagnaire, un numéro de Concordances des temps sur la liberté de la presse, et une émission asse inquiétante sur la géolocalisation,. En cela, les choix éditoriaux de cette revue sont raccord avec l'actualité.

Cependant, la lecture de ce numéro 14 m'est apparue comme issue d'une étrange coïncidence.

Je suis une fidèle auditrice de France Inter, et j'ai découvert sa radio soeur France Culture en 2009. A l'époque, j'étais tombée sur une émission sur la philosophie du surf ... et oui ... deux heures d'émission sur ces deux domaines qui me paraissent tellement incongrus. Bref, cela m'avait vraiment intéressée, par curiosité surtout, et je m'étais faite une idée sur France culture à partir de cette émission sortie de nulle part. Et quel hasard de retrouver 6 ans plus tard la retranscription de cette émission dans ce numéro de France Culture.

Du coup, un de mes rares reproches à ce numéro est qu'il propose un dossier en couverture sur le sport, autour d'émissions de 2009.

Ainsi, les choix sur les émissions retranscrites ne me semblent pas toujours très actuels.

Merci à france culture, Babelio et aux éditions Bayard pour ce numéro de france culture papiers. Ce fut une agréable découverte que ce format papier d'une radio que j'écoute régulièrement. Il est intéressant de voir qu'au moment où l'on nous dit que le numérique est en passe de s'imposer et de remiser le bon vieux papier au placard, une radio comme france culture se lance dans ce pari de développer un support papier. C'est la preuve, s'il en fallait une, que la papier n'est pas mort, au contraire : l'avenir du numérique c'est la papier.



Le numéro de l’automne 2014 s'intéresse à un sujet sensible, la famille avec pour titre « querelle de familles ». Sur la couverture s'étale un repas de famille qui n'est pas sans rappeler une célèbre caricature du temps de l'affaire Dreyfus. Sur près de 200 pages nous retrouvons les émissions phares de france culture, remaniées pour s'adapter à l'écrit. Le sommaire est construit autour de quatre thèmes : l'expérience du monde, l'atelier du savoir, nos archives et les chemins de la création.



Nous retrouvons par exemple un magnifique entretien réalisé par Emmanuel Laurentin en 2012 en hommage au grand historien Jacques Le Goff décédé en avril 2014. Sur 6 pages, Jacques Le Goff parle de son métier, de comment il le conçoit, de la périodisation en histoire, d'épistémologie, de la façon d'écrire l'histoire etc. Tout simplement passionnant.

Nous pouvons aussi lire un portrait richement illustré de la ministre de la justice Christiane Taubira pour l'émission à voix nue. Voici une des valeurs ajoutés du papier par rapport à la radio, les illustrations qui sont extrêmement riches et qui viennent compléter des textes très intelligents.



France culture papiers est une véritable revue qui, comme la radio éponyme, permet véritablement de penser, laisse le temps à la pensée de se former, laisse le temps à la réflexion, dans un monde où tout va vite, un monde où la pensée est désormais morcelée, faite de bons mots et de petites phrases sans saveurs. Actualité, culture, savoirs, histoire, philosophie, société, tous les sujets sont traités en profondeur. A mettre entre toutes les mains.

C’est avec curiosité et plaisir que je découvre le dernier France Culture Papiers qui vient de sortir.

Pourquoi curiosité ? Parce j’ai lu déjà certains numéros et que je voulais voir si le contenu avait évolué. Curieuse aussi car le sujet est très intéressant.

Plaisir ? C’est une revue de qualité qui est une continuité de la station de radio que j’écoute le plus. Comme l’on ne peut pas tout écouter, j’ai découvert d’autres émissions.

Le dossier central sur Dominique Rocheteau de taille et couleur différente nous parle d’un footballeur en cette période de Mondiale cela forme un léger décalage. C’est toute une époque, mon enfance…

Les illustrations en commençant par la couverture sont magnifiques j’ai découvert ce qu’était une hyperphoto. Les gros plans du CERN et des Bosons, accélérateur de particule… Théodore Monod dans sa bibliothèque ou dans le désert.

J’ai trouvé les articles plus longs que dans les premiers numéros. Il y a bien sûr des passages plus courts mais les sujets sont plus développés. Bien sûr on retrouve « Paroles d’invités » qui sont des petites pépites de chocolat que l’on picore.

Ce que j’aime de cette revue très culturelle c’est qu’elle est dans l’actualité mais avec un pas sur le côté, celui de la réflexion.

La diversité des interventions nous donne une vue panoramique, différentes approches des sujets.

C’est avec tendresse que je me suis précipité sur mes chouchous « Les papous dans la tête » (p.158), « les pieds sur terre » (74 ; 89)…

Je ne m’était jamais demandé si j’étais plutôt « Madame Bovary » ou « l’éducation Sentimentale »… après réflexion je dirais Madame Bovary… Bon l’article porte sur autre chose mais j’ai bien aimé la discussion entre Alain Finklelkraut, Michel Winock et Yvan Leclerc.

La petite touche souvenir avec le dossier « Frédéric Dard », le côté création avec les fragments du scénario de « Evita » de Pablo Agüero. Ainsi que le jeu-feuilleton des Papous.

En guise de conclusion le magazine se termine sur la drôle d’aventure du manuscrit « cent vingt journées de Sodome » du marquis de Sade… il est dans la rubrique « grille d’été 2014 ».

Ce magazine est indépendant de l’écoute de la radio mais c’est aussi un bon moyen d’aller plus loin et d’avoir envie d’aller écouter d’autres émissions sur le site de France Culture.

Bonne lecture.

Merci Masse Critique / Babelio / Bayard pour ce petit moment de plaisir culturel.




Lien : http://ramettes.canalblog.co..

Comme beaucoup de personnes, j'imagine, je passais régulièrement devant ces grandes revues, sans jamais oser sortir le porte-monnaie, me demandant s'il serait intéressant d'un point à un autre.

L'opération Masse critique a été l'occasion, pour moi, de découvrir enfin la revue de France Cultures, basée sur des reportages diffusés à la radio. Suite à un léger retard dans l'envoi de ce magazine, je commente pas l'édition actuellement en kiosque, mais la précédente.

Mon regard a été attiré sur l'entrevue avec Michel Rocard, présentée au centre de la revue, dans un cahier spécial, légèrement moins large que les pages restantes. Très dense, elle m'a permis de mieux connaître un homme qui est pour moi quasi-inconnu (je n'ai que 27 ans !).

Le dossier principal, composé de multiples enquêtes, est également enthousiasmant, la multiplicité de ses rubriques jouant certainement en sa faveur.

Je ne l'ai pas lu d'une traite, il me reste encore des articles à lire...mais je pense que c'est une revue qui se feuillette, comme un recueil (ce qu'elle est, d'ailleurs !), de temps à autre, quand on n'a pas le temps de se plonger dans son livre, mais qu'on a 20 minutes à tuer en lisant un bon article.

Une très belle découverte, qui me donne envie de pousser la découverte avec d'autres titres, également !

Merci à l'édition !

Tout d'abord je souhaite remercier Babelio et son édition Masse Critique ainsi que l'éditeur bayard de m'avoir proposé la lecture de ce trimestriel.



Cela faisait un bout de temps maintenant que lorsque je passais chez mon libraire préféré, je regardais attentivement ce magasine (quel pavé!) en me disant, non définitivement ce n’est pas raisonnable, tu as déjà bien des choses à lire, dont des magasines passionnants, et de plus, étant une inconditionnelle de France Culture, tu n’y trouveras pas grand chose de nouveau.



Et bien je suis ravie d’avoir reçu ce numéro qui m’a démontré que j’avais tort. Non seulement j’y ai retrouvé les émissions de France Culture qui m’avaient le plus marquées à l'écoute (interview de M. Rocard, notamment pour ce numéro) et en plus j’y ai découvert de nombreux sujets et de nombreuses émissions que je n’écoutais pas auparavant.



Un magasine de plus dans bibliothèque, que j’achèterai chez mon libraire avec mon autre compagnon trimestriel “La Revue XXI”.



Et vive France Culture!


Lien : http://piccolanay.blogspot.f..

Cet épais trimestriel me faisait de l'oeil depuis un moment, Babelio et sa célèbre opération "Masse Critique" m'a permis de satisfaire ma curiosité, qu'il en soit ici remercié ! Beau papier, bel objet que j'ai feuilleté frénétiquement sans jamais réussir à me poser et lire un article en entier. Il reflète assez bien l'espèce de frilosité que j'ai longtemps ressenti face aux émissions de France Culture, ça me faisait envie mais je peinais à y entrer. Si mes podcasts vont de plus en plus piocher de ce côté, mon accès est grandement facilité par les voix qui sont là pour m'accompagner. Je suis presque certaine que si France Inter produisait aussi sa revue, j'y entrerais en terrain connu et savourerais bien mieux ce prolongement, cette version "bonus" des ondes fixées sur le papier. Peut-être à retenter d'ici quelques temps lorsque les émissions de France Culture me seront plus familières...
Lien : http://laetitiaberanger.over..

C'est le deuxième numéro que je lis. Lorsque j'ai vu que Masse Critique proposé ce partenariat, je me suis dit voyons si leur projet et toujours aussi intéressant. Je suis une auditrice de France Culture, du moins pour certaines émissions. Il y a des articles qui ont attiré plus l'attention que d'autres car cela correspondait à des émissions écoutées.



Ce magazine se compose comme tous les magazines d'un édito du directeur et un du rédacteur en chef, d'un sommaire, d'articles de genre et de longueur différent. Des photos et reproductions de qualité.



Ce que j'aime dans ce magazine, c'est qu'en début d'article on a les références de l'émission, la date, les noms des invités et une brève présentation, ce qui permets de se situer. J'aime les notes en marges.



Ce qui me plaît aussi c'est le support photo, que l'on a pas en écoutant la radio. Aujourd'hui avec internet, la radio a un visage et une présentation "visuelle" au jour le jour, mais le support papier de cette qualité se garde comme un livre documentaire auquel on peu se référer à tout moment.



Nous avons des articles de fond, par le biais de la transversale on a divers regards qui se complètent.



Les différentes polices d'écriture évitent la monotonie, même si certaines sont trop "claires" à mon avis.



On a de petits messages plus ou moins longs qu'il appellent "florilège de propos saisis au vol, inattendus, drôles et émouvants" qui permettent de glaner des pensées, des idées...



La rubrique "d'hier à aujourd'hui" est un voyage dans le temps, un peu comme les émissions de la nuit où l'on rediffuse de très vieilles émissions.



La mise en page est dynamique et actuelle. Les flash codes ( pages 28, 60, 84 etc) je n'ai pu les tester mais c'est dans l'air du temps.



C'est un bon moyen pour découvrir le monde "France Culture" qui est riche et pas aussi rébarbatif qu'on le pense. Pour les fidèles de la station c'est un moyen de continuer l'aventure ou découvrir des émissions que l'on ne connaît pas forcément. On trouve des idées pour les podcasts !



C'est avec plaisir que j'essaierais de lire les prochains numéros.




Lien : http://www.canalblog.com/cf/..

France Culture est une radio pas toujours facile à appréhender, que dis-je, à apprivoiser. J'avais déjà commencé à le faire, en m'intéressant à certaines émissions seulement - car, en effet, qu'il est difficile d'écouter "par hasard" France Culture ! La chose est beaucoup plus facile dans cette "radio à lire", ainsi qu'elle se réclame.



J'ai beaucoup apprécié de pouvoir lire un article par ci, par là, et j'ai pu constater (comme je m'y attendais) la richesse et la diversité des sujets, toujours ancrés dans une certaine actualité . Il me semble que France Culture a cette vocation qu'est celle de parler à l'humain, quand bien même on la croit réservée à une élite.



La revue me semble donc un bon intermédiaire pour découvrir cette station trop souvent dédaignée ! Parmi les articles que j'ai aimés, on peut trouver :

- Orly ou le charme désuet de la modernité (jamais je n'aurais imaginé Orly ainsi !)

- Paroles de jeunes, leurs cris du cœur ! (la politique n'étant pas l'apanage des vieux)

- Belle-mère, figure sociale, mythe littéraire

- Le collectionneur de blé (avis aux écolos-gourmets)



Petite mention spéciale également pour les "paroles d'invités" citées au seuil de la revue.

Grâce à l’opération Masse Critique proposée par Babelio le 23 mai, j’ai découvert la revue France-Culture Papiers, dont le n°6 est arrivé au mois d’août dans ma boîte aux lettres pendant que j’étais en vacances.

Il s’agit d’une revue culturelle réalisée à partir d’émissions de radio qui ont été diffusées sur France-Culture lors des mois précédents. La retranscription des débats et des chroniques bénéficie avec son passage sur le papier de l’ajout d’illustrations, de photographies et d’un contenu enrichi.



Dans le n° 6 que j’ai reçu, j’ai pu apprécier des sujets très variés : une longue interview de Danielle Sallenave de l’Académie Française , une biographie de Walt Disney, un entretien avec Alain Resnais, un article qui donne la voix à des jeunes des cités, mêlés au trafic de drogues. J’ai été très touchée par un reportage sur les enfants sorciers du Bénin.



Chaque revue développe également un thème autour de plusieurs émissions. Ici, c’est la clandestinité qui est évoquée de multiples façons : Qui était le célèbre bandit Cartouche et pourquoi est-il passé à la postérité ? Une rencontre avec un détective privé nous apprend quelques trucs sur l’art de la filature. Connaissez-vous le Teillamed, ouvrage clandestin écrit par un naturaliste ? Parcourez l’interview de Liao Yiwu, poète chinois emprisonné des années dans un camp de rééducation, découvrez les rouages de la Black économie et le terrible périple des clandestins qui entrent en Europe par sa frontière la plus extrême, entre Grèce et Turquie.

Et je ne vous dis rien de l’interview de Michel Rocard ou de l’évocation du tour de France sous la plume d’Antoine Blondin, qui me restent à lire.



Une belle découverte, dont la présentation est très soignée, un beau papier épais, très agréable au toucher, qui porte des sujets graves, touchants, importants.
Lien : http://ruedesiam.blogspot.co..

Petite déception quand j'ai découvert l'envoi de masse critique dans ma boite à lettres car on m'avait promis avec masse critique le numéro 4 de france culture papiers avec un grand theme central consacré à la gastronomie, mon domaine de prédilection, or j'ai recu le numéro 5 consacré à la prostitution!!!

Bon la revue reste très bien menée et très intelligente, dans l'esprit de la radio en fait ( que je n'ai malheureusement plus le temps d'écouter) et il y a notamment une interwieiw longue et complexe avec Gégé Depardieu, mais quand meme j'aurais bien aimé celui qui était prévu!!

On voit que le temps passe lorsqu'on voit qu'un magazine que l'on a découvert à ses débuts en est déjà à son vingtième numéro.

Ce magazine a évolué et à même changé de maison d'édition tout en gardant son état d'esprit.

C'est la continuité de la radio France Culture, et pour ceux qui n'écoutent pas c'est un magazine de culture générale puisqu'on y aborde des sujets fort variés.

Lorsque j'ai demandé pour Masse Critique à le lire je n'avais noté que « numéro d'hiver » mais en fait le vrai titre c'est « la démocratie à l'épreuve », à quelques mois des élections présidentielles c'est logique. La couverture est magnifique puisque c'est un détail de « la Liberté guidant le peuple » de Delacroix.

Le sommaire en double page est visuellement très accrocheur. le magazine se découpe en six parties chacune avec une couleur. C'est une revue qui utilise des codes couleurs comme des balises de repérages, c'est très structuré, et pratique pour savoir dans quel dossier on se trouve.

L'Expérience du monde

A la une : la démocratie à l'épreuve

L'atelier du savoir

Nos archives

Les chemins de la création

A voix nue.

Dans chaque dossier de 3 à 5 articles d'émissions différentes. Comme on a un reflet de la radio tous les articles sont sur la base des discussions et des interviews, donc des dialogues. On a là aussi des teintes différentes selon qui parle.

Vous vous doutez bien que j'ai commencé par les dossiers qui m'attirent le plus, à savoir tout ce qui touche à la création et à l'art, avant de passer vers des articles plus philosophiques ou politiques.

Ce que j'aime dans cette version papier de France Culture c'est d'une part retrouver des émissions que j'écoute (plus ou moins régulièrement) et explorer celles que m'attirent moins. de plus, la version papier permet des encadrés avec des renseignements sur les participants. Informations que l'on a en début d'émission ou certainement dans sur le site, mais qu'on ne va pas forcément chercher. Il y a aussi un aspect que j'aime bien dans la presse écrite qui fait des articles de fond et qu'on retrouve aussi dans ce magazine, c'est le recul. Ce n'est pas l'actualité à chaud. C'est une sélection thématique, il y a de la réflexion au moment où l'émission à lieu et là les mois ont passé et on ne revoit pas les choses de la même façon.

Ce que j'ai aimé sur la partie « politique » c'est le regard sur l'histoire et d'un point de vue plus général, les stratégies et non pas sur ce que nous vivons au quotidien, de plus les émissions datent de fin 2016 il ne faut donc pas y chercher des scoops.

Qu'est-ce qu'une année présidentielle

Se faire connaître en politique

Le big data pour cerner les électeurs

Tocqueville à la découverte de la démocratie

Parles de jeunes

C'est un autre focus qui aide à la réflexion plus en général.

Cela vaut pour tous les articles puisqu'on a du recul sur certains sujets.

Prenons par exemple l'interview d'Amos Oz, son roman est sorti à la rentrée « le baiser à Judas ». On en a entendu parler sur le moment, mais un livre en chassant un autre, on est passé à autre chose. Je me souviens avoir écouté l'émission « le temps des écrivains » de Christophe Ono-Dit-Biot (1/10/16) et sur d'autres médias. Je ne l'ai pas lu, mais je suppose que si je l'avais lu cela m'aurait apporté un autre regard. Et si vous n'avez pas écouté ni lu cet interview pourrait vous donner envie.

Je vous laisse découvrir cette lecture passionnante.

Je remercie Babelio et les Editions Place de la Victoire.

Je remercie tout d'abord Babelio et son édition Masse Critique ainsi que les éditions Bayard et Radio France de m'avoir permis de découvrir ce numéro de France Culture Papiers.



Je suis une auditrice assidue de France Culture et j'aime beaucoup lire les France Culture Papiers.

Une fois n'est pas coutume, je n'ai pas été passionnée par ce numéro.

Peut être est ce dû à son dossier proéminent sur le sport... je ne suis pas une grande sportive et franchement la philo du sport ne me passionne pas!

Je ne suis pas non plus une grande fan du personnage de Luchini (que j'apprécie néanmoins dans ses rôles)...

Je n'ai finalement apprécié que l'interview retranscrite de 1997 de Germaine Tillion ainsi que la retranscription du dossier de 1967 sur "le paradoxe Churchill" (il faudrait vraiment que je lise ses mémoires...).

Bref, dans le France Culture papier, pas d'inquiétude, on trouve quelque chose à se mettre sous la dent, mais là j'avoue que toutes mes lectures n'ont pas été passionnantes.
Lien : http://piccolanay.blogspot.c..

C'est avec une grande joie que j'ai reçu France culture papiers, cette dernière étant ma radio favorite, je désirai fortement connaître sa version écrite. Cette édition spéciale aborde tous les thèmes culturels : littérature, art, musique... Alliant parfaitement retranscription radiophonique et articles rédigés pour l'occasion nous avons là une presse papier d'une très grande qualité. Le point fort s'avère être la diversité des sujets, on retrouve un parfait condensé d'actualité, de culture avec un soupçon d'humour. Cette édition spéciale Utopies plaira tout particulièrement aux littéraires et aux étudiants en quête de savoir. Je suis persuadée d'une chose il s'agit de la première fois que je lis France Culture papiers mais certainement pas la dernière !