Car l'âme des vivant est ce qui les empêche d'aimer, ce qui dans tout amour reste sur la réserve, ne contemple que soi. Les vivants ne peuvent se donner en offrande ; ils restent toujours eux-mêmes, viennent se livrer, les mains liées et les yeux clos, et pourtant n'aiment l'autre que parce que leur solitude saigne doucement après lui.