Je sais, c'est égoïste, mais c'est comme ça : dans la douleur on pense souvent plus à sa pomme qu'à celle des autres.
Kiosque : (...) Quelques tabourets métalliques ou des chaises en plastique permettent de s'arrêter pour déguster son petit déjeuner en plaisantant avec la serveuse ou en regardant d'un oeil distrait la rue s'agiter.
Je me demandais si l'on écoute toujours des musiques qui nous ressemblent ou si, au contraire, ce sont elles qui font ce que nous sommes.
Elle disait toujours que dans la vie "il ne faut avoir ni remords ni regrets et, qu'à partir du moment où l'on a fait tout ce qui était en notre pouvoir, on n'a rien à se reprocher".
J'ai compris que la vie de couple n'est pas forcément idyllique, mais qu'on se rattache parfois à cette valeur sociale parce qu'elle ne coûte finalement rien.
Pourquoi suis-je musicalement attiré par une époque dans laquelle je n'ai pas vécu ? Est-ce que ces titres m'émeuvent parce qu'ils ont bercé mon enfance grâce à mes parents, ou est-ce qu'ils me touchent tout simplement par la force qu'ils dégagent ?
"On ne change pas un homme" disait-elle souvent. "On l'accepte ou on le quitte, mais on ne le change pas".
Dioula : (...) appelée aussi la "langue des commerçants", elle est, tout comme le Mooré, le Fulfudé et le Bissa, comprise par la plupart des soixante ethnies présentes dans le pays. Egalement très répandue au Mali et en Côte d'Ivoire, elle est parlée par plus de vingt millions de personnes dans toute l'Afrique de l'Ouest. Heureusement, les mots de salutation sont facilement mémorisables par le visiteur étranger ce qui lui permet de faire de belles rencontres avec la population locale et de partager de précieux instants.
Goudron : (...) On trouve aux abords du goudron, de plus en plus présent au sein même des villes et des campagnes, bon nombre de maquis, de cabarets, de campements, de boutiques, de petits marchés ou encore de kiosques fréquentés par une grande partie de la population qui saura guider et accompagner celui qui cherche son chemin.
Mon maitre dit que j'ai tort, que les Européens sont l'exemple à ne pas suivre, que les voitures ne sont pas indispensables, ni les ordinateurs. Il parle comme les ancêtres et dit que la vie était mieux sans tout ça. Si je suis né à la fin du vingtième siècle, ce n'est pas pour vivre comme mes aïeux.