Marcel Staline ne serait donc qu’un perroquet de plus de la « sagesse des nations », nullement l’indice d’une nouvelle barbarie. Ce coach et ses semblables ne feraient que répéter des maximes millénaires : accepter ce qu’on est au lieu de rêver à des paradis illusoires, être calme et serein plutôt qu’agité et inquiet, voir les choses du bon côté, prendre soin de son organisme, vivre pleinement sa sexualité... Beaucoup de vieux bon sens, rien de vraiment faux, a fortiori rien de dangereux.