Sabah Rahmani est journaliste.
Elle est diplômée en anthropologie à l'Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3 et en journalisme presse audiovisuelle du Centre de formation pratique de journalisme.
Sabah Rahman travaille sur la question des peuples racines depuis plus de vingt ans. Après de nombreux reportages auprès de communautés autochtones, ses sujets de prédilection portent sur les relations entre l'humain et la nature.
Depuis 2017, elle est rédactrice en chef adjointe du magazine "Kaizen", média de solutions écologiques et sociales.
Elle est également l'auteure du livre "Paroles des peuples racines - Plaidoyer pour la Terre", préface de Pierre Rabhi (Actes sud, 2019).
Twitter : https://twitter.com/sabahrahmani?lang=fr
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Ivanice Tanoné est la première femme cacique dans l'histoire de son peuple Kariri Xocó. À 68 ans, elle est aussi l'une des rares leaders féminins autochtones du Brésil. Depuis plus de 30 ans, elle dénonce la déforestation en Amazonie et la condition difficile des peuples autochtones. À ses côtés, l'anthropologue et journaliste Sabah Rahmani. Elle est l'auteure de Paroles des peuples racines (Actes Sud, 2019), qui donne la voix à 19 représentants de ces peuples, et notamment à Tanoné. Rédactrice en chef adjointe du magazine Kaïzen, média “explorateur de solutions écologiques et sociales", elle est également directrice de la nouvelle collection “Voix de la terre” inaugurée en avril 2022 par les éditions Actes Sud. #écologie #Amazonie #autochtones _____________ Prenez place à La Grande Table pour rencontrer d'autres personnalités qui font l'actualité des idées https://www.youtube.com/watch?v=xJHbbKHstIM&list=PLKpTasoeXDrpsBVAaqJ_sANguhpPukaiT ou sur le site https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-2eme-partie Suivez France Culture sur : Facebook : https://fr-fr.facebook.com/franceculture Twitter : https://twitter.com/franceculture Instagram : https://www.instagram.com/franceculture
Je ne pense pas que le mode de vie occidental soit compatible avec la vie traditionnelle. Parce que les Occidentaux prennent, prennent, prennent mais ne rendent jamais rien en retour à la nature. Ils en abusent. Alors que les peoples indigènes, si vous prenez quelque chose à un arbre, vous faites une offrande pour promettre de l’utiliser correctement. La Terre Mère nous a donné ces arbres pour construire nos abris, nos maisons, fabriquer nos médicaments ou faire nos cérémonies. Nous exprimons donc notre gratitude pour tout ce qui vient de la Terre. Mais cette reconnaissance n’est pas ancrée chez les Occidentaux ; ils ne comprennent pas. Un téléphone, un ordinateur par exemple : toutes ces machines viennent de la terre ! Or combien de fois disent-ils merci ? Certes, il y a beaucoup de bonnes choses dans le monde occidental qui rendent la vie plus facile…
Hervé Soumouna Ngoto, dit Assossa du peuple pygmée.
de Mundiya Kepange du peuple Huli
de Manuel Vacuna Nieve du peuple Kogi.
Pérou
...la nature n'est pas une ressource morte, elle est vivante! Nous la sentons, nous sommes profondément liés à elle et nous souffrons sincèrement du mal que l'homme lui inflige...
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