J'avais besoin d'une connivence, d'un regard qui en dise long, d'un "tope-là", d'un fou rire communicatif ou d'un "tu l'as dit bouffi !". J'en avais l'eau à la bouche de l'aimer mon père. Et je m'en suis donné à cœur joie de l'aimer. Il n'y avait rien de meilleur. Peut-être qu'un jour on pourra fanfaronner pareil mais dehors. Aux yeux de tous. Pas juste devant la télé