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Citations de Sarah Wilson (II) (42)


Apprendre à lâcher prise est vraiment difficile quand on a été anxieux toute sa vie. Il faut donc apprendre à mettre un peu de pagaille dans sa vie.
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Lorsque l'on n'abuse pas du sucre, le corps atteint un point d'équilibre qu'on nomme« homéostasie». On identifie son poids idéal. Les envies se font plus rares. Nous mangeons à satiété et finissons par nous désintéresser de la nourriture. Nous brOlons les calories. Et lorsque nous avons besoin de refaire nos forces, les hormones interviennent en envoyant au cerveau le message de la faim. Ce que je décris là n'a rien à voir avec une vision utopique du métabolisme humain. C'est le processus que notre organisme met naturellement en place.
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La vie finit toujours par l'emporter et boum ! notre tas de bois savamment disposé explose sous la force du courant. Nos affaires volent dans tous les sens. C'est la catastrophe.
Et puis la rivière se remet à couler comme elle n'aurait jamais dû cesser de le faire, si nous n'avions pas décidé d'intervenir.
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J'essaie de réduire les décisions à l'essentiel. Je ne veux pas avoir de décisions à prendre sur ce que je mange ou porte. Parce que j'ai trop de décisions à prendre par ailleurs.
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Il n'y a pas de décision parfaite. Elle devient parfaite quand nous la prenons.
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Avoir plus de choix est censé nous apporter plus de liberté (c'est ce que dit le capitalisme). Pourtant, nous sommes plus heureux quand nous sommes limités. En fait, ne pas avoir le choix est la plus grande des libertés.
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Quand on a nulle part où aller, rien à faire, on se pose près de soi.
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Il est plus facile de faire une chose tous les jours, sans exception, que de la faire "presque tous les jours". Quand on dit, "je vais marcher quatre jours par semaine", on se demande quels jours on va le faire et on se réveille en se demandant si on peut sauter le mardi.
Tout à fait exact. Cela nous prépare à une surcharge de décisions à prendre. Alors on se dérobe. Et on ne fait pas l'exercice, et on a un lit défait pendant des semaines.
Cette astuce active le circuit de la récompense. Jour après jour.
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Peu à peu, les nouvelles pensées s'assemblent et finissent par créer une habitude qui est plus forte que l'ancienne. On construit des habitudes qui déclenchent le circuit de la récompense plutôt que le système d'alarme lié aux menaces.
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L'insomnie est un cri de notre être qui nous enjoint de passer du temps avec nous-même.
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Quand les intestins s'enflamment, le cerveau s'enflamme.
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La marche me permet de prendre conscience de la valeur de l'ouverture à la souffrance, plutôt que de la résistance. À l'instar de l'anxiété. L'une comme l'autre me font puiser dans ma vie intérieure et me rapprocher de moi-même.
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Quand on comprend qu'il n'existe pas de mode d'emploi, une opportunité se présente soudain. Si personne ne sait ce qu'il est en train de faire, s'il n'y a aucune bonne façon de vivre sa vie, alors on doit pouvoir choisir la sienne, non ?
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On peut s'entraîner à trouver la beauté dans l'imperfection.
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Pour le dessert, faites griller quelques noix à sec, à la poêle, et parsemez-en un yaourt, avec de la cannelle et/ou de la vanille en poudre.
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Plus nous prenons de décisions, plus elles deviennent difficiles, stressantes et confuses. L'antidote est d'automatiser autant que possible.
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Quand on est dépressif, on vit dans le passé.
Quand on est anxieux, on vit dans le futur.
Quand on est en paix, on vit dans le présent.
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J'écris beaucoup, au crayon. Parfois, c'est simplement pour apaiser mon anxiété. Cela ralentit les choses et m'oblige à me connecter à mes pensées, celles qui sont perspicaces. Par contre, taper sur un clavier est trop rapide. Le fait que les doigts se précipitent pour suivre le rythme des pensées met les nerfs à vif.
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Si on n'est pas anxieux, on ne prête pas attention.
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En 1937, Carl Jung a écrit : "Une psychonévrose doit être comprise, en définitive, comme la souffrance d'une âme qui n'a pas découvert son propre sens."
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