Critiques de Serge Boudoux (13)
Après une trilogie et trois autres livres, Serge Boudoux vient de publier À toutes les femmes qu'on aime pendant quelques instants secrets, un thriller fantastique truculent au style décapant.
Les fans de Georges Brassens auront peut-être reconnu dans ce titre les paroles d'une de ses chansons « Les passantes ». Il faut cependant savoir que c'est Antoine Pol qui a écrit ce poème que Brassens a ensuite mis en musique. L'auteur cite d'ailleurs au cours de l'histoire, les vers du poète, tout comme il insère quelques vers de Jean Richepin, de Ronsard ou encore des paroles de la chanson «Le bleu de l'été » de Yvette Giraud, sans oublier le poème de Rosemonde Girard « L'éternelle chanson », dont deux vers sont devenus célèbres dans le monde : « Car vois-tu chaque jour je t'aime davantage, Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain », la médaille orne la couverture du bouquin.
Mais n'allez pas croire qu'il s'agit d'un roman d'amour conventionnel, pas du tout.
Le récit débute le 25 juin 2022 et l'été semble bien démarrer, la vie pouvant reprendre son cours normal, les multiples variants du coronavirus étant provisoirement apprivoisés.
Notre narrateur, Pierre, écrivain, héros de cette histoire, entend bien couler des jours heureux dans son petit paradis provençal, à Montauroux, pays de Fayence auprès de son épouse Nathalie.
Mais voilà qu'une belle jeune femme se présente chez lui, alors qu'il est seul. Sa femme est partie faire du shopping et son fils Lucas, 22 ans, étudiant en médecine, est en randonnée dans le Mercantour pour cinq jours. C'est donc avec beaucoup d'empressement et d'enthousiasme que Pierre accueille cette charmante personne.
Pierre n'hésite pas à dire, à l'issue de cette rencontre « j'ai rencontré le diable… En réalité c'est lui qui est venu à ma rencontre. »
En effet, cette belle intruse, Léa, va embarquer notre homme assez volage jusque-là, à l'instar de beaucoup, d'après lui, dans une aventure complètement folle où des meurtres horribles s'enchaînent.
Serge Boudoux écrit dans un style inimitable et sans pareil, n'hésitant pas à faire dire à son narrateur, amoureux invétéré de toute belle femme, toutes les pensées qui lui trottent dans la tête, des plus sérieuses aux plus foldingues, avec un humour omniprésent et souvent assez caustique. Des allusions et références aux témoins de Jéhovah ou au professeur Raoult ou plus loin dans le temps à la bête du Gévaudan sont autant de clins d'oeil ironiques. C'est également avec beaucoup de psychologie et une imagination débordante que l'écrivain brosse les portraits de ses personnages, leur donnant force et véracité. J'ai pu cependant, être parfois un peu lassée par quelques répétitions.
J'ai trouvé intéressant aussi la manière dont l'auteur fait dire à Pierre ce qu'écrire est pour lui.
À toutes les femmes qu'on aime pendant quelques instants secrets est un bouquin pour le moins original qui laisse beaucoup de place à l'imaginaire et qu'il est difficile de quitter avant de l'avoir fini, tant le suspense est maintenu jusqu'au bout, un bouquin porté par l'amour.
Serge Boudoux que je remercie pour son extrême gentillesse et sa magnifique dédicace dédie son livre tout comme Brassens avait dédié son poème :
À toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
À celles qu'on connaît à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais.
Lien : https://notre-jardin-des-liv..
Les fans de Georges Brassens auront peut-être reconnu dans ce titre les paroles d'une de ses chansons « Les passantes ». Il faut cependant savoir que c'est Antoine Pol qui a écrit ce poème que Brassens a ensuite mis en musique. L'auteur cite d'ailleurs au cours de l'histoire, les vers du poète, tout comme il insère quelques vers de Jean Richepin, de Ronsard ou encore des paroles de la chanson «Le bleu de l'été » de Yvette Giraud, sans oublier le poème de Rosemonde Girard « L'éternelle chanson », dont deux vers sont devenus célèbres dans le monde : « Car vois-tu chaque jour je t'aime davantage, Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain », la médaille orne la couverture du bouquin.
Mais n'allez pas croire qu'il s'agit d'un roman d'amour conventionnel, pas du tout.
Le récit débute le 25 juin 2022 et l'été semble bien démarrer, la vie pouvant reprendre son cours normal, les multiples variants du coronavirus étant provisoirement apprivoisés.
Notre narrateur, Pierre, écrivain, héros de cette histoire, entend bien couler des jours heureux dans son petit paradis provençal, à Montauroux, pays de Fayence auprès de son épouse Nathalie.
Mais voilà qu'une belle jeune femme se présente chez lui, alors qu'il est seul. Sa femme est partie faire du shopping et son fils Lucas, 22 ans, étudiant en médecine, est en randonnée dans le Mercantour pour cinq jours. C'est donc avec beaucoup d'empressement et d'enthousiasme que Pierre accueille cette charmante personne.
Pierre n'hésite pas à dire, à l'issue de cette rencontre « j'ai rencontré le diable… En réalité c'est lui qui est venu à ma rencontre. »
En effet, cette belle intruse, Léa, va embarquer notre homme assez volage jusque-là, à l'instar de beaucoup, d'après lui, dans une aventure complètement folle où des meurtres horribles s'enchaînent.
Serge Boudoux écrit dans un style inimitable et sans pareil, n'hésitant pas à faire dire à son narrateur, amoureux invétéré de toute belle femme, toutes les pensées qui lui trottent dans la tête, des plus sérieuses aux plus foldingues, avec un humour omniprésent et souvent assez caustique. Des allusions et références aux témoins de Jéhovah ou au professeur Raoult ou plus loin dans le temps à la bête du Gévaudan sont autant de clins d'oeil ironiques. C'est également avec beaucoup de psychologie et une imagination débordante que l'écrivain brosse les portraits de ses personnages, leur donnant force et véracité. J'ai pu cependant, être parfois un peu lassée par quelques répétitions.
J'ai trouvé intéressant aussi la manière dont l'auteur fait dire à Pierre ce qu'écrire est pour lui.
À toutes les femmes qu'on aime pendant quelques instants secrets est un bouquin pour le moins original qui laisse beaucoup de place à l'imaginaire et qu'il est difficile de quitter avant de l'avoir fini, tant le suspense est maintenu jusqu'au bout, un bouquin porté par l'amour.
Serge Boudoux que je remercie pour son extrême gentillesse et sa magnifique dédicace dédie son livre tout comme Brassens avait dédié son poème :
À toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
À celles qu'on connaît à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais.
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Le tribunal de l’ombre n’est rien moins que le septième thriller que je lis de Serge Boudoux.
Le sujet principal de ce dernier est contenu dans cette phrase : « On ne combat pas le terrorisme aveugle avec le seul arsenal des lois ordinaires. »
Il s’agit d’un thriller d’anticipation. La première partie se déroule à Nice, promenade des Anglais le 15 novembre 2025, avec l’exécution d’une sentence prononcée par ce fameux tribunal de l’ombre, thème central du roman. Pour saisir ce qui s’est passé, un retour en arrière est nécessaire et le lecteur se retrouve alors le 10 août 2024. Les J.O vivent leurs dernières heures. Dans sa demeure de Montauroux, le déjà bien connu écrivain Serge, est en train d’apprécier la pluie qui s’est enfin décidée à tomber sur ce superbe pays de Fayence. Il est alors appelé sur son téléphone par son ami Régis, avec qui il a par ailleurs écrit son dernier livre De l’autre côté du tunnel. Celui-ci lui enjoint d’allumer la télé. Des évènements atroces viennent de se produire. Le lendemain, ils vont être suivis par l’assassinat du Président de la République venu se recueillir sur les lieux du carnage.
Le samedi suivant, Serge reçoit une invitation non signée qui lui demande de venir en urgence et en toute discrétion à un rendez-vous fixé près du village de Saint-Cézaire-sur-Siagne, accompagné de son ami Régis.
Les deux hommes se rendent à l’adresse indiquée, excités par l’atmosphère de mystère.
Ils sont reçus par une élue régionale dans une ancienne bergerie rénovée, puis présentés à deux députés et un criminologue. S’ils ont été conviés à cette réunion secrète, c’est que leur participation à un projet leur serait très utile. Mais de quel projet peut-il s’agir ?
La réponse qui leur est donnée est simple : l’État étant incapable de protéger la population contre le terrorisme, « pour suppléer à l’impuissance du pouvoir, nous allons créer une sorte de juridiction occulte qui s’interposera avant. »
Serge Boudoux, partie prenante du thriller comme vous l’avez compris, après avoir émis beaucoup de réserves sur l’illégalité de ce projet répond de façon convaincante à toutes les questions que le lecteur est en droit de se poser : pourquoi ces éminents personnages font-ils appel à des petits inconnus comme lui et Régis, qui exécutera la sentence de mort, sans oublier les risques que chacun encourt du fait de son adhésion à un groupement d’individus formés en vue de la préparation d’un ou plusieurs crimes ou délits.
Bref, en ces temps où le terrorisme revient avec force sur le devant de la scène, où l’extrême-droite est florissante, Le tribunal de l’ombre, cette œuvre de fiction n’a jamais été aussi proche de la réalité et pourrait sans aucun doute tenter plus d’un gouvernement d’utiliser « cette justice préventive ». Ce serait alors pour un état totalitaire le contrôle et la surveillance absolue de la population, mais n’est-ce pas déjà en place dans certains pays, suivez mon regard...
Il fallait bien la plume libre et sauvage comme Serge Boudoux ne craint pas de se définir pour oser imaginer un tel scénario.
Dans le contexte assez tendu parfois dans lequel se déroule cette machination, il n’hésite pas à se référer à la mythologie grecque, évoquant par exemple la boite de Pandore, les écuries d’Augias, ce cinquième des douze travaux d’Hercule ou encore Cassandre…
Toujours aussi surprenant, peut-être avec un peu moins de gouaille, cette fois-ci, avec son style complètement atypique, tellement peu conventionnel, Serge Boudoux a su, pour mon plus grand plaisir, une nouvelle fois, me tenir en haleine, du début de l’intrigue jusqu’à son dénouement et qu’il soit ici remercié très sincèrement pour sa confiance renouvelée.
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Le sujet principal de ce dernier est contenu dans cette phrase : « On ne combat pas le terrorisme aveugle avec le seul arsenal des lois ordinaires. »
Il s’agit d’un thriller d’anticipation. La première partie se déroule à Nice, promenade des Anglais le 15 novembre 2025, avec l’exécution d’une sentence prononcée par ce fameux tribunal de l’ombre, thème central du roman. Pour saisir ce qui s’est passé, un retour en arrière est nécessaire et le lecteur se retrouve alors le 10 août 2024. Les J.O vivent leurs dernières heures. Dans sa demeure de Montauroux, le déjà bien connu écrivain Serge, est en train d’apprécier la pluie qui s’est enfin décidée à tomber sur ce superbe pays de Fayence. Il est alors appelé sur son téléphone par son ami Régis, avec qui il a par ailleurs écrit son dernier livre De l’autre côté du tunnel. Celui-ci lui enjoint d’allumer la télé. Des évènements atroces viennent de se produire. Le lendemain, ils vont être suivis par l’assassinat du Président de la République venu se recueillir sur les lieux du carnage.
Le samedi suivant, Serge reçoit une invitation non signée qui lui demande de venir en urgence et en toute discrétion à un rendez-vous fixé près du village de Saint-Cézaire-sur-Siagne, accompagné de son ami Régis.
Les deux hommes se rendent à l’adresse indiquée, excités par l’atmosphère de mystère.
Ils sont reçus par une élue régionale dans une ancienne bergerie rénovée, puis présentés à deux députés et un criminologue. S’ils ont été conviés à cette réunion secrète, c’est que leur participation à un projet leur serait très utile. Mais de quel projet peut-il s’agir ?
La réponse qui leur est donnée est simple : l’État étant incapable de protéger la population contre le terrorisme, « pour suppléer à l’impuissance du pouvoir, nous allons créer une sorte de juridiction occulte qui s’interposera avant. »
Serge Boudoux, partie prenante du thriller comme vous l’avez compris, après avoir émis beaucoup de réserves sur l’illégalité de ce projet répond de façon convaincante à toutes les questions que le lecteur est en droit de se poser : pourquoi ces éminents personnages font-ils appel à des petits inconnus comme lui et Régis, qui exécutera la sentence de mort, sans oublier les risques que chacun encourt du fait de son adhésion à un groupement d’individus formés en vue de la préparation d’un ou plusieurs crimes ou délits.
Bref, en ces temps où le terrorisme revient avec force sur le devant de la scène, où l’extrême-droite est florissante, Le tribunal de l’ombre, cette œuvre de fiction n’a jamais été aussi proche de la réalité et pourrait sans aucun doute tenter plus d’un gouvernement d’utiliser « cette justice préventive ». Ce serait alors pour un état totalitaire le contrôle et la surveillance absolue de la population, mais n’est-ce pas déjà en place dans certains pays, suivez mon regard...
Il fallait bien la plume libre et sauvage comme Serge Boudoux ne craint pas de se définir pour oser imaginer un tel scénario.
Dans le contexte assez tendu parfois dans lequel se déroule cette machination, il n’hésite pas à se référer à la mythologie grecque, évoquant par exemple la boite de Pandore, les écuries d’Augias, ce cinquième des douze travaux d’Hercule ou encore Cassandre…
Toujours aussi surprenant, peut-être avec un peu moins de gouaille, cette fois-ci, avec son style complètement atypique, tellement peu conventionnel, Serge Boudoux a su, pour mon plus grand plaisir, une nouvelle fois, me tenir en haleine, du début de l’intrigue jusqu’à son dénouement et qu’il soit ici remercié très sincèrement pour sa confiance renouvelée.
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Fin 2021, une avocate et députée de la douzième circonscription de Lyon est propulsée sous les feux de l’actualité en tenant tête à un fou furieux qui s’était introduit dans une école maternelle, réussissant au terme de négociations féroces à faire exfiltrer tous les enfants avant que le forcené ne soit abattu par les hommes du Raid. « Surfant sur sa notoriété, les Républicains lui confièrent le soin de ramener la droite au pouvoir ». Aux élections présidentielles d’avril 2022, ridiculisant tous les sondages, cette députée LR du Rhône prénommée Marie est élue Présidente de notre République française.
Le devoir de Franck était d’assurer sa sécurité « avant ce qui est arrivé », ce 11 juillet 2022.
La Présidente était entrée dans son bureau de l’Élysée, à 7 h du matin, avec un thermos de café et trois croissants, demandant à ne pas être dérangée. Et, quant à 20 h, le directeur de la sécurité, frappe deux fois à la porte, afin de lui remettre les derniers sondages sur le referendum qu’elle souhaitait lancer, il n’obtient pas de réponse. Il ouvre alors la porte et son cœur manque alors de s’arrêter : le bureau est vide, sans plus aucune affaire personnelle : « C’était comme si elle n’avait jamais existé ».
C’est donc par l’intermédiaire de Franck que Serge Boudoux va nous conter cette fantastique et inconcevable histoire. Il va nous entraîner dans ce thriller fou, qu’à maintes reprises, le lecteur sera sur le point de laisser tomber tant les aller-retour dans le passé et le futur deviendront absolument foldingues, et qui pourtant poursuivra sa lecture, les données et hypothèses scientifiques soumises à sa lecture et à son jugement n’étant pas aussi azimutées que cela et pouvant, pourquoi pas, se révéler possibles… Il suffit de laisser son esprit vagabonder dans ces errances.
Comme le dit si justement cet écrivain inimitable qu’est Serge Boudoux : « Pensez-vous qu’un homme du quinzième ou seizième siècle aurait pu croire que télévision, smartphone, internet, ordinateur, Airbus 380 existeraient un jour, pourtant ils existent ? Ce qui vous paraît fou aujourd’hui sera banal pour vos descendants ! »
C’est donc ce que j’ai fait, je me suis laissée porter par ce roman plutôt déjanté et reconnaissons-le un peu halluciné, et ce, pour mon plus grand plaisir.
Il faut dire que les digressions du narrateur au cours du récit sont loin de porter préjudice à celui-ci, bien au contraire, car en nous prenant à témoin, elles le rendent encore plus véridique et réactivent notre attention à des moments où elle pourrait décroître.
Des incursions dans la période fin des années 1960, aux découvertes d’un enfant surdoué de 11 ans prêtes à faire chavirer le monde, voilà l’univers savoureux dans lequel Serge Boudoux nous plonge avec maestria, dans son nouveau bouquin La prophétie de Valentine, thriller qui vous tiendra en haleine jusqu’à la dernière ligne, avec un humour omniprésent, et qui a le mérite d’ouvrir grand les portes de notre imagination.
La belle couverture illustre parfaitement le contenu de ce thriller, mélange de fantastique, d’anticipation, de science-fiction, d’inconnu et d’amour.
Dans la continuation de Méfiez-vous du vieux qui porte une casquette à carreaux sur la tête !, La prophétie de Valentine vous emmènera une nouvelle fois dans la folie, les élucubrations et le parler-franc de cet auteur inclassable qu’est Serge Boudoux.
Je le remercie ici une nouvelle fois pour sa confiance et sa générosité.
À signaler que les livres de Serge Boudoux sont actuellement disponibles uniquement en vente directe auprès de l'auteur (via FB, par MP). J'ajoute qu'il envoie le livre à votre domicile et que le paiement se fait après réception.
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Le devoir de Franck était d’assurer sa sécurité « avant ce qui est arrivé », ce 11 juillet 2022.
La Présidente était entrée dans son bureau de l’Élysée, à 7 h du matin, avec un thermos de café et trois croissants, demandant à ne pas être dérangée. Et, quant à 20 h, le directeur de la sécurité, frappe deux fois à la porte, afin de lui remettre les derniers sondages sur le referendum qu’elle souhaitait lancer, il n’obtient pas de réponse. Il ouvre alors la porte et son cœur manque alors de s’arrêter : le bureau est vide, sans plus aucune affaire personnelle : « C’était comme si elle n’avait jamais existé ».
C’est donc par l’intermédiaire de Franck que Serge Boudoux va nous conter cette fantastique et inconcevable histoire. Il va nous entraîner dans ce thriller fou, qu’à maintes reprises, le lecteur sera sur le point de laisser tomber tant les aller-retour dans le passé et le futur deviendront absolument foldingues, et qui pourtant poursuivra sa lecture, les données et hypothèses scientifiques soumises à sa lecture et à son jugement n’étant pas aussi azimutées que cela et pouvant, pourquoi pas, se révéler possibles… Il suffit de laisser son esprit vagabonder dans ces errances.
Comme le dit si justement cet écrivain inimitable qu’est Serge Boudoux : « Pensez-vous qu’un homme du quinzième ou seizième siècle aurait pu croire que télévision, smartphone, internet, ordinateur, Airbus 380 existeraient un jour, pourtant ils existent ? Ce qui vous paraît fou aujourd’hui sera banal pour vos descendants ! »
C’est donc ce que j’ai fait, je me suis laissée porter par ce roman plutôt déjanté et reconnaissons-le un peu halluciné, et ce, pour mon plus grand plaisir.
Il faut dire que les digressions du narrateur au cours du récit sont loin de porter préjudice à celui-ci, bien au contraire, car en nous prenant à témoin, elles le rendent encore plus véridique et réactivent notre attention à des moments où elle pourrait décroître.
Des incursions dans la période fin des années 1960, aux découvertes d’un enfant surdoué de 11 ans prêtes à faire chavirer le monde, voilà l’univers savoureux dans lequel Serge Boudoux nous plonge avec maestria, dans son nouveau bouquin La prophétie de Valentine, thriller qui vous tiendra en haleine jusqu’à la dernière ligne, avec un humour omniprésent, et qui a le mérite d’ouvrir grand les portes de notre imagination.
La belle couverture illustre parfaitement le contenu de ce thriller, mélange de fantastique, d’anticipation, de science-fiction, d’inconnu et d’amour.
Dans la continuation de Méfiez-vous du vieux qui porte une casquette à carreaux sur la tête !, La prophétie de Valentine vous emmènera une nouvelle fois dans la folie, les élucubrations et le parler-franc de cet auteur inclassable qu’est Serge Boudoux.
Je le remercie ici une nouvelle fois pour sa confiance et sa générosité.
À signaler que les livres de Serge Boudoux sont actuellement disponibles uniquement en vente directe auprès de l'auteur (via FB, par MP). J'ajoute qu'il envoie le livre à votre domicile et que le paiement se fait après réception.
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Emmanuelle venant de divorcer « d'un homme plus intéressé par sa console de jeux que par le corps de sa femme », pense avoir la révélation de sa vraie nature en rencontrant Isabelle. Elles se marient et, suite à une part d'héritage laissée par sa grand-mère à Isabelle, leur rêve peut enfin se réaliser. Elles acquièrent, ou plus exactement, Isabelle achète une superbe maison provençale à Montauroux, pays de Fayence dans le Var. Il faut préciser que cette élégante demeure que les gens du village nommaient « la maison du malheur » n'était vraiment pas chère, les héritiers pressés de tourner la page ; mais, « notre couple fusionnel de femmes soudées par les épreuves n'avaient plus peur de rien. »
En nettoyant la cave pour y déposer quelques bouteilles précieuses rescapées de la noce, elles trouvent une clé USB cachée sous une dame-jeanne. Curieuses, nos deux femmes s'empressent de la lire. Son contenu, c'est l'histoire incroyable de Jean-Paul celui qui a fait bâtir cette maison et y a vécu avec Martine son épouse. Une histoire de fou, une histoire impossible, complètement irrationnelle qui est arrivée à cause de celui qui a donné son titre au roman, d'où ce conseil : Méfiez-vous du vieux qui porte une casquette à carreaux sur la tête ! Emmanuelle ne s'en est sans doute pas assez méfiée, ni Cédric, quelque temps plus tard et bien sûr Jean-Paul, avant eux...
En ouvrant ce livre, dès les premiers mots, le lecteur est emporté illico dans une histoire délirante avec moultes aventures, mêlant fantastique et science-fiction.
L'imagination débordante, le style décapant et jubilatoire, la gouaille de Serge Boudoux rendent ce thriller très divertissant et quasiment visionnaire.
La verve de l'auteur nous emporte malgré nous dans son délire et parvient presque à nous convaincre de l'existence de ces univers parallèles. Est posée la question qui avait également été soulevée par Hervé le Tellier dans L'anomalie, à savoir quel aurait été notre avenir, si à un certain moment, nous avions choisi une autre voie que celle que nous avons empruntée.
Quant à l'Apocalypse prédite par ce fameux « extraterrestre » que prétend être Charles-Henri, il a de quoi nous faire vraiment flipper et Il reste juste à espérer que cette fiction ne devienne réalité et que ces prévisions plus que glaçantes ne voient jamais le jour.
Un grand coup de chapeau à Serge Boudoux pour avoir su créer un univers aussi original, où le vrai côtoie sans arrêt le faux, la réalité la fiction sans qu'on sache parfois les différencier.
Je remercie Serge Boudoux pour la gentillesse et la confiance qu'il a eues à mon égard en m'offrant ce livre.
Précision importante : Les livres de Serge Boudoux sont actuellement disponibles uniquement en vente directe auprès de l'auteur (via FB, par MP). J'ajoute qu'il envoie le livre à votre domicile et que le paiement se fait après réception.
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En nettoyant la cave pour y déposer quelques bouteilles précieuses rescapées de la noce, elles trouvent une clé USB cachée sous une dame-jeanne. Curieuses, nos deux femmes s'empressent de la lire. Son contenu, c'est l'histoire incroyable de Jean-Paul celui qui a fait bâtir cette maison et y a vécu avec Martine son épouse. Une histoire de fou, une histoire impossible, complètement irrationnelle qui est arrivée à cause de celui qui a donné son titre au roman, d'où ce conseil : Méfiez-vous du vieux qui porte une casquette à carreaux sur la tête ! Emmanuelle ne s'en est sans doute pas assez méfiée, ni Cédric, quelque temps plus tard et bien sûr Jean-Paul, avant eux...
En ouvrant ce livre, dès les premiers mots, le lecteur est emporté illico dans une histoire délirante avec moultes aventures, mêlant fantastique et science-fiction.
L'imagination débordante, le style décapant et jubilatoire, la gouaille de Serge Boudoux rendent ce thriller très divertissant et quasiment visionnaire.
La verve de l'auteur nous emporte malgré nous dans son délire et parvient presque à nous convaincre de l'existence de ces univers parallèles. Est posée la question qui avait également été soulevée par Hervé le Tellier dans L'anomalie, à savoir quel aurait été notre avenir, si à un certain moment, nous avions choisi une autre voie que celle que nous avons empruntée.
Quant à l'Apocalypse prédite par ce fameux « extraterrestre » que prétend être Charles-Henri, il a de quoi nous faire vraiment flipper et Il reste juste à espérer que cette fiction ne devienne réalité et que ces prévisions plus que glaçantes ne voient jamais le jour.
Un grand coup de chapeau à Serge Boudoux pour avoir su créer un univers aussi original, où le vrai côtoie sans arrêt le faux, la réalité la fiction sans qu'on sache parfois les différencier.
Je remercie Serge Boudoux pour la gentillesse et la confiance qu'il a eues à mon égard en m'offrant ce livre.
Précision importante : Les livres de Serge Boudoux sont actuellement disponibles uniquement en vente directe auprès de l'auteur (via FB, par MP). J'ajoute qu'il envoie le livre à votre domicile et que le paiement se fait après réception.
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Été 2024, le narrateur, Serge, de retour de promenade trouve devant son portail trois hommes qui l’attendent. Ces hommes il les reconnaît, il s’agit de César, cet enfant génial et surdoué, d’Octave son père, scientifique de renom, accompagnés d’un prêtre en soutane, mathématicien exceptionnel touché par la grâce. Ces personnages, le lecteur les connaît aussi s’il a eu la chance de lire La prophétie de Valentine du même auteur.
Tous trois font partie d’une équipe internationale de scientifiques et mathématiciens de très haut niveau qui ont rejoint discrètement les États Unis. Ils lui expliquent qu’à l’approche de la prochaine élection présidentielle, les States sont menacés par les réseaux complotistes et au bord de la guerre civile.
Aussi, l’armée américaine et la NASA doivent prendre de vitesse ces mouvements sectaires pseudo-religieux terriblement dangereux et tenter d’accélérer leur programme de recherches pour mettre au point un algorithme capable de révolutionner notre perception du temps et .. percer les mystères de l’Au-delà.
Leur dernier espoir de prouver l’existence de l’Au-delà repose sur… Serge. Se laissera-t-il convaincre et leur apportera-t-il la preuve ?
L’homme qui avait vu l’Au-delà se lit sans pause tant Serge Boudoux a le don d’emmener son lecteur dans son délire. Mais est-ce vraiment du délire ? On finit par en douter tant l’auteur est convaincant !
Le monde d’ici-bas, n’est-il pas le champ que nous cultivons pour en récolter les fruits dans l’Au-delà ?
Certes ce roman est un thriller mené de main de maître par un auteur à l’imagination toujours aussi débridée et à la verve incomparable, mais il pourrait quasiment être apparenté à un essai philosophique tant le thème abordé, la quête de l’Au-delà, est bien étayée par de nombreuses questions et réflexions. Sont passées au crible les principales religions monothéistes tout comme les religions et philosophies orientales sans oublier la question de la finalité ultime ou l’avantage évolutif lié à une survie éternelle de chaque être humain. Vous pourriez penser que la lecture va être ardue, mais que nenni, impossible de s’ennuyer ou d’être dépassé par des explications trop complexes. Serge Boudoux veille continuellement à ne pas perdre son lecteur et bien au contraire, grâce à son parler-franc, à une verve étourdissante et à une imagination créatrice extraordinaire, il parvient à nous tenir en haleine de bout en bout avec cette recherche improbable de l’existence de l’Au-delà, tout en nous immergeant dans la dure réalité contemporaine et ses excès, discourant sur les trahisons des religions ou mettant en avant les progrès de la médecine.
À signaler pour les fans de Jean Ferrat comme moi, que la chanson « Tu peux m’ouvrir cent fois les bras, c'est toujours la première fois », paroles d’Aragon, est comme un fil rouge dans le livre, couplets commentés par l’auteur, s’il vous plaît, et c’est pas triste !
L’homme qui avait vu l’Au-delà, thriller, où imagination et fantaisie se disputent la vedette et dans lequel l’humour est omniprésent, est à mon avis, l’ouvrage le plus abouti de Serge Boudoux, même si j’avais lu avec un immense plaisir les trois précédents : Méfiez-vous du Vieux qui porte une casquette à carreaux sur la tête, À toutes les femmes qu’on aime pendant quelques instants secrets et La prophétie de Valentine.
Un post-scriptum en fin d’ouvrage laisse à penser qu’un prochain bouquin est déjà sur le grill…
Si Serge Boudoux met bien en exergue toutes les turpitudes du monde moderne, il n’en met pas moins en avant des messages positifs, à savoir qu’il faut garder foi en l’avenir et notamment en la capacité des jeunes à faire souffler un vent nouveau sur le monde, et je me joins à lui pour inciter chaque habitant de cette terre à retrouver le chemin de sa propre humanité et à inviter chaque humain à effectuer une vraie recherche sur le sens de sa vie.
J’adresse une nouvelle fois un très grand merci à Serge Boudoux tout en vous invitant à découvrir cet auteur ô combien inclassable !
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Tous trois font partie d’une équipe internationale de scientifiques et mathématiciens de très haut niveau qui ont rejoint discrètement les États Unis. Ils lui expliquent qu’à l’approche de la prochaine élection présidentielle, les States sont menacés par les réseaux complotistes et au bord de la guerre civile.
Aussi, l’armée américaine et la NASA doivent prendre de vitesse ces mouvements sectaires pseudo-religieux terriblement dangereux et tenter d’accélérer leur programme de recherches pour mettre au point un algorithme capable de révolutionner notre perception du temps et .. percer les mystères de l’Au-delà.
Leur dernier espoir de prouver l’existence de l’Au-delà repose sur… Serge. Se laissera-t-il convaincre et leur apportera-t-il la preuve ?
L’homme qui avait vu l’Au-delà se lit sans pause tant Serge Boudoux a le don d’emmener son lecteur dans son délire. Mais est-ce vraiment du délire ? On finit par en douter tant l’auteur est convaincant !
Le monde d’ici-bas, n’est-il pas le champ que nous cultivons pour en récolter les fruits dans l’Au-delà ?
Certes ce roman est un thriller mené de main de maître par un auteur à l’imagination toujours aussi débridée et à la verve incomparable, mais il pourrait quasiment être apparenté à un essai philosophique tant le thème abordé, la quête de l’Au-delà, est bien étayée par de nombreuses questions et réflexions. Sont passées au crible les principales religions monothéistes tout comme les religions et philosophies orientales sans oublier la question de la finalité ultime ou l’avantage évolutif lié à une survie éternelle de chaque être humain. Vous pourriez penser que la lecture va être ardue, mais que nenni, impossible de s’ennuyer ou d’être dépassé par des explications trop complexes. Serge Boudoux veille continuellement à ne pas perdre son lecteur et bien au contraire, grâce à son parler-franc, à une verve étourdissante et à une imagination créatrice extraordinaire, il parvient à nous tenir en haleine de bout en bout avec cette recherche improbable de l’existence de l’Au-delà, tout en nous immergeant dans la dure réalité contemporaine et ses excès, discourant sur les trahisons des religions ou mettant en avant les progrès de la médecine.
À signaler pour les fans de Jean Ferrat comme moi, que la chanson « Tu peux m’ouvrir cent fois les bras, c'est toujours la première fois », paroles d’Aragon, est comme un fil rouge dans le livre, couplets commentés par l’auteur, s’il vous plaît, et c’est pas triste !
L’homme qui avait vu l’Au-delà, thriller, où imagination et fantaisie se disputent la vedette et dans lequel l’humour est omniprésent, est à mon avis, l’ouvrage le plus abouti de Serge Boudoux, même si j’avais lu avec un immense plaisir les trois précédents : Méfiez-vous du Vieux qui porte une casquette à carreaux sur la tête, À toutes les femmes qu’on aime pendant quelques instants secrets et La prophétie de Valentine.
Un post-scriptum en fin d’ouvrage laisse à penser qu’un prochain bouquin est déjà sur le grill…
Si Serge Boudoux met bien en exergue toutes les turpitudes du monde moderne, il n’en met pas moins en avant des messages positifs, à savoir qu’il faut garder foi en l’avenir et notamment en la capacité des jeunes à faire souffler un vent nouveau sur le monde, et je me joins à lui pour inciter chaque habitant de cette terre à retrouver le chemin de sa propre humanité et à inviter chaque humain à effectuer une vraie recherche sur le sens de sa vie.
J’adresse une nouvelle fois un très grand merci à Serge Boudoux tout en vous invitant à découvrir cet auteur ô combien inclassable !
Lien : https://notre-jardin-des-liv..
Que ceux parmi vous qui ont l'habitude de porter une casquette à carreaux sur la tête lèvent la main !
Personne ? Personne parmi vous ne porte une casquette à carreaux ?
Ah si ! Là, au fond de la salle, je vois une main levée. Mais qui vois-je ? C'est mon ami croquignol, quelle bonne surprise... Bien au chaud collé contre le radiateur, il a encore la trace de sa main sur la joue et à côté de lui les deux copains Fandol et Pancrace.
Tu lèves la main car tu as une question à poser croquignol ? Oui. Tu veux savoir si on peut remplacer la casquette à carreaux par un Stetson comme celui de Johnny Cash. Pourquoi pas même si le sujet aujourd'hui ne porte pas sur le Stetson mais sur la traditionnelle casquette à carreaux. Mon petit Fandol tu as une remarque à faire ? Tu préfères porter ton nouveau casque HJC Ibex sonic 16 ventilations, tu trouves que c'est plus flatteur avec le maillot jaune pour les sorties du dimanche. Pancrace aussi ? Un bonnet de neige à gros pompon pour randonner dans le Valais. Ah ! Tu viens d'obtenir ta première étoile, félicitations.
Et bien vous me prenez de court tous les trois, je pensais vous faire une rétrospective sur l'art et la manière de porter la casquette à carreaux aussi il ne me reste plus qu'à vous raconter une histoire incroyable et tenez-vous bien car je ne devrais même pas vous la raconter tant il est dangereux d'en répéter le moindre mot. Cette histoire je ne la tiens pas de n'importe qui, c'est Serge Boudoux en personne qui me l'a soufflée. Bien sûr d'autres que moi ont eu vent de cette histoire comme mon amie Cancie et la pauvre n'a plus jamais été la même après ça.
Vous avez peur ? Non. Pourtant vous devriez...
2019, Emmanuelle et Isabelle, deux jeunes trentenaires fraîchement mariées décident de tout plaquer. Elles laissent tomber leur vie trépidante à Lyon pour celle bien plus douce de la Provence, du beau Pays de Fayence. Elles font l'acquisition avec une facilité déconcertante (un peu trop même) d'une somptueuse demeure nichée dans un cadre idyllique au milieu des vieux oliviers face à la Baie de Saint-Raphaël. le rêve à porter de main me direz-vous. Oui mais pour lequel les acheteurs ne se bousculent pas puisque dans le village de Montauroux on la surnomme "la maison du malheur". Faisant fi des superstitions, l'affaire étant trop belle pour passer à côté, nos deux jeunes mariées y posent prestement leurs valises et c'est en nettoyant la cave qu'elles font une découverte des plus inattendues : dissimulée sous une dame-jeanne, une petite boîte en plastique contenant une mystérieuse clé USB dont Emmanuelle se dépêche de découvrir le contenu, qui ne l'aurait pas fait à sa place ?
Si la clé USB contient des photos et des articles du journal local relatant la disparition macabre d'une gamine de la région le 8 mai 2018, plus surprenant encore, elle contient un témoignage écrit, un témoignage désespéré, celui d'un homme : Jean-Paul, professeur de grec et de latin qui fit bâtir avec sa femme Martine la belle demeure qu'Emmanuelle et Isabelle viennent de s'offrir pour une bouchée de pain. Jean-Paul, un enfant du Pays qui raconte son histoire et quelle histoire effroyable que celle de sa rencontre avec le vieil homme prénommé Charles-Henri, un drôle d'hurluberlu qui a pour particularité de toujours porter une casquette à carreaux sur la tête et qui dit avoir 120 ans si ce n'est pas 150, il ne sait plus... Mais qui est ce vieux fou qui vit à quelques centaines de mètres seulement du Mazet et dont, chose curieuse, Jean-Paul ignorait l'existence jusqu'à ce jour fatidique du mois de mai 2018 ? Ce maudit jour comme il dit si bien, durant lequel il a bu le breuvage au goût de paradis que lui avait servi le vieux sorcier sans se douter un seul instant des répercussions que cela allait avoir sur sa vie, sur celle de sa douce Martine mais aussi sur celle d'Emmanuelle et d'Isabelle car dans la vie soyez en certains, il n'y a pas de hasard, chacune de nos actions, aussi anodine, aussi insignifiante peut-elle nous paraître au moment où nous l'exécutons (ou pas...) aura des conséquences qui dépassent l'entendement.
Alors je vous le dis, si demain vous rencontrez le vieil homme qui porte une casquette à carreaux sur la tête, fuyez malheureux ! Passez votre chemin ! Surtout ne le touchez en aucun cas et une dernière chose : veillez toujours à emporter un parapluie avec vous où que vous alliez même s'il fait un soleil radieux car sait-on jamais vous pourriez croiser sur votre route non pas un chat noir mais le chat de Schrödinger et vous retrouver réduits à l'état d'une insignifiante petite mouche sur la main d'un individu dangereux et malveillant.
Je ne vous en dis pas plus, je vous laisse le soin de découvrir la suite de l'histoire mais sachez que j'ai été happée de la première à la dernière page de ce thriller fantastique aux allures d'Ancien Testament. L'écriture de Serge Boudoux est savoureuse, teintée de cet humour noir que j'aime tant, il n'hésite pas à nous accompagner durant la lecture en intervenant régulièrement avec des réflexions pertinentes et universelles, il nous offre également de nombreuses citations de poètes, de philosophes qui viennent s'insérer comme par magie dans le récit qui est divisé en sept parties. Il nous est même conseillé de prévoir quelques doses de paracétamol et d'Ibuprofène pour pouvoir appréhender les parties dans lesquelles nous prenons connaissance de l'effroyable prédiction de Charles-Henri, prédiction qui m'a laissée bien songeuse avec sa date funeste échue au 15 novembre 2021 car personne ne saurait croire, vous m'entendez, personne, tant ce qu'il a prédit ne peut pas et ne doit surtout pas exister !
"Ils sont là depuis bien longtemps et vous observent comme vous observez des animaux dans un zoo... Et moi je suis le gardien du Zoo."
Épilogue :
Trois heures plus tard, la salle s'est vidée de ses occupants, mes trois chahuteurs sont rentrés chez eux, je suis seule, je m'apprête à partir quand la porte s'ouvre. Un retardataire à cette heure-ci ? Qui ça peut bien être ?
Soudainement un flash de lumière violent vient m'aveugler, m'obligeant à fermer les yeux durant quelques secondes, quand je les réouvre je ne suis plus dans la salle mais chose incroyable devant le mazet à Montauroux, un homme avance tranquillement vers moi, il porte une casquette à carreaux sur la tête. Je distingue mal. C'est vous Charles-Henri ? Voilà que je deviens folle, Cancie m'avait prévenue. Mon Dieu ! Mais... Mais c'est... Mais c'est mon camarade berni29 ! Qu'est-ce-qu'il dit ? Quoi ?!
Je suis le gardien du Zoo.
* Mille mercis à Cancie, (je vous invite à lire sa belle critique) et à Serge Boudoux dont l'imagination débordante et l'amour qu'il porte à son beau Pays de Fayence ont su me toucher.
Personne ? Personne parmi vous ne porte une casquette à carreaux ?
Ah si ! Là, au fond de la salle, je vois une main levée. Mais qui vois-je ? C'est mon ami croquignol, quelle bonne surprise... Bien au chaud collé contre le radiateur, il a encore la trace de sa main sur la joue et à côté de lui les deux copains Fandol et Pancrace.
Tu lèves la main car tu as une question à poser croquignol ? Oui. Tu veux savoir si on peut remplacer la casquette à carreaux par un Stetson comme celui de Johnny Cash. Pourquoi pas même si le sujet aujourd'hui ne porte pas sur le Stetson mais sur la traditionnelle casquette à carreaux. Mon petit Fandol tu as une remarque à faire ? Tu préfères porter ton nouveau casque HJC Ibex sonic 16 ventilations, tu trouves que c'est plus flatteur avec le maillot jaune pour les sorties du dimanche. Pancrace aussi ? Un bonnet de neige à gros pompon pour randonner dans le Valais. Ah ! Tu viens d'obtenir ta première étoile, félicitations.
Et bien vous me prenez de court tous les trois, je pensais vous faire une rétrospective sur l'art et la manière de porter la casquette à carreaux aussi il ne me reste plus qu'à vous raconter une histoire incroyable et tenez-vous bien car je ne devrais même pas vous la raconter tant il est dangereux d'en répéter le moindre mot. Cette histoire je ne la tiens pas de n'importe qui, c'est Serge Boudoux en personne qui me l'a soufflée. Bien sûr d'autres que moi ont eu vent de cette histoire comme mon amie Cancie et la pauvre n'a plus jamais été la même après ça.
Vous avez peur ? Non. Pourtant vous devriez...
2019, Emmanuelle et Isabelle, deux jeunes trentenaires fraîchement mariées décident de tout plaquer. Elles laissent tomber leur vie trépidante à Lyon pour celle bien plus douce de la Provence, du beau Pays de Fayence. Elles font l'acquisition avec une facilité déconcertante (un peu trop même) d'une somptueuse demeure nichée dans un cadre idyllique au milieu des vieux oliviers face à la Baie de Saint-Raphaël. le rêve à porter de main me direz-vous. Oui mais pour lequel les acheteurs ne se bousculent pas puisque dans le village de Montauroux on la surnomme "la maison du malheur". Faisant fi des superstitions, l'affaire étant trop belle pour passer à côté, nos deux jeunes mariées y posent prestement leurs valises et c'est en nettoyant la cave qu'elles font une découverte des plus inattendues : dissimulée sous une dame-jeanne, une petite boîte en plastique contenant une mystérieuse clé USB dont Emmanuelle se dépêche de découvrir le contenu, qui ne l'aurait pas fait à sa place ?
Si la clé USB contient des photos et des articles du journal local relatant la disparition macabre d'une gamine de la région le 8 mai 2018, plus surprenant encore, elle contient un témoignage écrit, un témoignage désespéré, celui d'un homme : Jean-Paul, professeur de grec et de latin qui fit bâtir avec sa femme Martine la belle demeure qu'Emmanuelle et Isabelle viennent de s'offrir pour une bouchée de pain. Jean-Paul, un enfant du Pays qui raconte son histoire et quelle histoire effroyable que celle de sa rencontre avec le vieil homme prénommé Charles-Henri, un drôle d'hurluberlu qui a pour particularité de toujours porter une casquette à carreaux sur la tête et qui dit avoir 120 ans si ce n'est pas 150, il ne sait plus... Mais qui est ce vieux fou qui vit à quelques centaines de mètres seulement du Mazet et dont, chose curieuse, Jean-Paul ignorait l'existence jusqu'à ce jour fatidique du mois de mai 2018 ? Ce maudit jour comme il dit si bien, durant lequel il a bu le breuvage au goût de paradis que lui avait servi le vieux sorcier sans se douter un seul instant des répercussions que cela allait avoir sur sa vie, sur celle de sa douce Martine mais aussi sur celle d'Emmanuelle et d'Isabelle car dans la vie soyez en certains, il n'y a pas de hasard, chacune de nos actions, aussi anodine, aussi insignifiante peut-elle nous paraître au moment où nous l'exécutons (ou pas...) aura des conséquences qui dépassent l'entendement.
Alors je vous le dis, si demain vous rencontrez le vieil homme qui porte une casquette à carreaux sur la tête, fuyez malheureux ! Passez votre chemin ! Surtout ne le touchez en aucun cas et une dernière chose : veillez toujours à emporter un parapluie avec vous où que vous alliez même s'il fait un soleil radieux car sait-on jamais vous pourriez croiser sur votre route non pas un chat noir mais le chat de Schrödinger et vous retrouver réduits à l'état d'une insignifiante petite mouche sur la main d'un individu dangereux et malveillant.
Je ne vous en dis pas plus, je vous laisse le soin de découvrir la suite de l'histoire mais sachez que j'ai été happée de la première à la dernière page de ce thriller fantastique aux allures d'Ancien Testament. L'écriture de Serge Boudoux est savoureuse, teintée de cet humour noir que j'aime tant, il n'hésite pas à nous accompagner durant la lecture en intervenant régulièrement avec des réflexions pertinentes et universelles, il nous offre également de nombreuses citations de poètes, de philosophes qui viennent s'insérer comme par magie dans le récit qui est divisé en sept parties. Il nous est même conseillé de prévoir quelques doses de paracétamol et d'Ibuprofène pour pouvoir appréhender les parties dans lesquelles nous prenons connaissance de l'effroyable prédiction de Charles-Henri, prédiction qui m'a laissée bien songeuse avec sa date funeste échue au 15 novembre 2021 car personne ne saurait croire, vous m'entendez, personne, tant ce qu'il a prédit ne peut pas et ne doit surtout pas exister !
"Ils sont là depuis bien longtemps et vous observent comme vous observez des animaux dans un zoo... Et moi je suis le gardien du Zoo."
Épilogue :
Trois heures plus tard, la salle s'est vidée de ses occupants, mes trois chahuteurs sont rentrés chez eux, je suis seule, je m'apprête à partir quand la porte s'ouvre. Un retardataire à cette heure-ci ? Qui ça peut bien être ?
Soudainement un flash de lumière violent vient m'aveugler, m'obligeant à fermer les yeux durant quelques secondes, quand je les réouvre je ne suis plus dans la salle mais chose incroyable devant le mazet à Montauroux, un homme avance tranquillement vers moi, il porte une casquette à carreaux sur la tête. Je distingue mal. C'est vous Charles-Henri ? Voilà que je deviens folle, Cancie m'avait prévenue. Mon Dieu ! Mais... Mais c'est... Mais c'est mon camarade berni29 ! Qu'est-ce-qu'il dit ? Quoi ?!
Je suis le gardien du Zoo.
* Mille mercis à Cancie, (je vous invite à lire sa belle critique) et à Serge Boudoux dont l'imagination débordante et l'amour qu'il porte à son beau Pays de Fayence ont su me toucher.
De l’autre côté du tunnel est déjà le sixième thriller que je lis de cet auteur absolument inclassable, Serge Boudoux, si ce n’est par son style complètement atypique et original. Mais pour la première fois c’est en collaboration avec Régis Pallanca qu’il a concocté ce dernier thriller.
Aussi fou et fantastique que les précédents mais peut-être encore plus extraordinaire si cela se peut !
Quand Serge Boudoux reçoit par mail, sans explication, un tapuscrit (texte tapé sur un ordinateur) plus qu’étonnant et ne parvient pas à contacter l’expéditrice, Régis Pallanca et lui décident immédiatement d’enquêter sur le sujet.
Il faut dire que ce texte d’une certaine Marie-Aline, Parisienne, archéologue et linguiste a vraiment de quoi intriguer.
Elle raconte qu’en 2018, a été déniché à Londres un vieux carnet écrit par les alchimistes médiévaux britanniques John Dee et son fils Arthur qui prétendirent avoir trouvé le secret de la pierre philosophale, et dans celui-ci un passage écrit en langage codé. Ce message qu’elle a contribué à déchiffrer a été remis aux chimistes, charge à eux de faire travailler leurs neurones. Mais elle a remarqué qu’un second code existait dans le code primaire mais « par omission », l’a tu. La découverte de ce second message l’a emmenée si loin que longtemps elle a cru avoir rêvé.
Cette révélation d’une telle importance va la conduire dans le sud de la France, jusqu’à un tunnel situé près d’un canal, à Saint-Cézaire-sur-Siagne dans les Alpes-Maritimes tout près de Montauroux, ce village si cher à l’auteur.
Ce que Marie-Aline va trouver à la sortie du souterrain dépasse toute imagination.
Serge Boudoux a déjà fait preuve dans ses précédents romans d’une imagination débridée, mais je pense que pour écrire De l’autre côté du tunnel, il s’est surpassé. Il fait preuve ici d’une inventivité effrénée et explosive mais pourtant contenue et fertile car terriblement convaincante.
Avec une inspiration endiablée, il nous ramène rien moins qu’au seizième siècle en ces journées des 28 et 29 août 1572 qui ont suivi le 24 août date du massacre de la Saint-Barthélemy, n’hésitant pas à utiliser un patois provençal du seizième, cru pour raconter les massacres perpétrés par les locaux imitant les assassins parisiens, mais absolument savoureux et truculent, quand il s’agit de « coqueliquer » (faire l’amour).
S’il y a retour dans le passé et que le lecteur se retrouve un temps auprès des « Machacreurs », celui-ci fait également plus ample connaissance avec le mathématicien, astronome, astrologue, géographe et occultiste John Dee et avec ce personnage historique emblématique de l'Égypte antique Imotep, sans pour autant oublier Claudia Procula, l’épouse de Ponce Pilate ...
Richement documenté, je dois avouer que j’ai eu recours plusieurs fois à Internet pour vérifier certains éléments, incertaine de leur réalité.
Rajoutez à cela, l’imbrication dans ce passé des toutes nouvelles découvertes concernant la télomérase, cette protéine miracle censée rallonger la durée de la vie humaine, cette télomérase devenue « très mode », censée être la plus grande découverte de tous les temps et vous aurez une petite idée, une infime idée de ce qu’a découvert cette personne.
J’ai été suspendue au récit de cette jeune femme de la première à la dernière ligne et pour tout dire presque convaincue par ce récit comme l’ont été Serge et Régis. Mais, comme eux, si ce choix très tentant pour certains, se présentait, je me rallierais à leur sagesse : « consacrer chaque seconde des dernières années de nos courtes vies à nous enivrer de cette nature magique qui nous entoure. »
De l’autre côté du tunnel est un thriller qui m’a émerveillée, enchantée, tant par la philosophie, l’humour, la fantaisie, l’originalité mais aussi la poésie, les marqueurs de l’écriture de Serge Boudoux. À la fois récréatif, addictif et très instructif, il m’a procuré de belles heures de lecture.
Que Serge Boudoux soit ici remercié pour sa confiance et son amitié.
À noter une très belle couverture 3D avec effets de surbrillance pour un « livre bio, garanti écrit par des humains sans intervention ni aide d’une intelligence artificielle ! », comprendra qui le lira ...
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Aussi fou et fantastique que les précédents mais peut-être encore plus extraordinaire si cela se peut !
Quand Serge Boudoux reçoit par mail, sans explication, un tapuscrit (texte tapé sur un ordinateur) plus qu’étonnant et ne parvient pas à contacter l’expéditrice, Régis Pallanca et lui décident immédiatement d’enquêter sur le sujet.
Il faut dire que ce texte d’une certaine Marie-Aline, Parisienne, archéologue et linguiste a vraiment de quoi intriguer.
Elle raconte qu’en 2018, a été déniché à Londres un vieux carnet écrit par les alchimistes médiévaux britanniques John Dee et son fils Arthur qui prétendirent avoir trouvé le secret de la pierre philosophale, et dans celui-ci un passage écrit en langage codé. Ce message qu’elle a contribué à déchiffrer a été remis aux chimistes, charge à eux de faire travailler leurs neurones. Mais elle a remarqué qu’un second code existait dans le code primaire mais « par omission », l’a tu. La découverte de ce second message l’a emmenée si loin que longtemps elle a cru avoir rêvé.
Cette révélation d’une telle importance va la conduire dans le sud de la France, jusqu’à un tunnel situé près d’un canal, à Saint-Cézaire-sur-Siagne dans les Alpes-Maritimes tout près de Montauroux, ce village si cher à l’auteur.
Ce que Marie-Aline va trouver à la sortie du souterrain dépasse toute imagination.
Serge Boudoux a déjà fait preuve dans ses précédents romans d’une imagination débridée, mais je pense que pour écrire De l’autre côté du tunnel, il s’est surpassé. Il fait preuve ici d’une inventivité effrénée et explosive mais pourtant contenue et fertile car terriblement convaincante.
Avec une inspiration endiablée, il nous ramène rien moins qu’au seizième siècle en ces journées des 28 et 29 août 1572 qui ont suivi le 24 août date du massacre de la Saint-Barthélemy, n’hésitant pas à utiliser un patois provençal du seizième, cru pour raconter les massacres perpétrés par les locaux imitant les assassins parisiens, mais absolument savoureux et truculent, quand il s’agit de « coqueliquer » (faire l’amour).
S’il y a retour dans le passé et que le lecteur se retrouve un temps auprès des « Machacreurs », celui-ci fait également plus ample connaissance avec le mathématicien, astronome, astrologue, géographe et occultiste John Dee et avec ce personnage historique emblématique de l'Égypte antique Imotep, sans pour autant oublier Claudia Procula, l’épouse de Ponce Pilate ...
Richement documenté, je dois avouer que j’ai eu recours plusieurs fois à Internet pour vérifier certains éléments, incertaine de leur réalité.
Rajoutez à cela, l’imbrication dans ce passé des toutes nouvelles découvertes concernant la télomérase, cette protéine miracle censée rallonger la durée de la vie humaine, cette télomérase devenue « très mode », censée être la plus grande découverte de tous les temps et vous aurez une petite idée, une infime idée de ce qu’a découvert cette personne.
J’ai été suspendue au récit de cette jeune femme de la première à la dernière ligne et pour tout dire presque convaincue par ce récit comme l’ont été Serge et Régis. Mais, comme eux, si ce choix très tentant pour certains, se présentait, je me rallierais à leur sagesse : « consacrer chaque seconde des dernières années de nos courtes vies à nous enivrer de cette nature magique qui nous entoure. »
De l’autre côté du tunnel est un thriller qui m’a émerveillée, enchantée, tant par la philosophie, l’humour, la fantaisie, l’originalité mais aussi la poésie, les marqueurs de l’écriture de Serge Boudoux. À la fois récréatif, addictif et très instructif, il m’a procuré de belles heures de lecture.
Que Serge Boudoux soit ici remercié pour sa confiance et son amitié.
À noter une très belle couverture 3D avec effets de surbrillance pour un « livre bio, garanti écrit par des humains sans intervention ni aide d’une intelligence artificielle ! », comprendra qui le lira ...
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Nous sommes en 2025, et en cette fin de printemps, la Russie est à l’Apogée de sa puissance.
Il faut reconnaître que l’affaire avait été particulièrement bien menée par le président russe, Poutine qui, le 24 février 2022 avait envahi l’Ukraine, laissant l’Europe incrédule ! Pourtant, le 8 février, à l’occasion d’une rencontre au sommet, le dictateur, autocrate avait clairement exprimé ses intentions belliqueuses à son homologue ukrainien par ces termes « Que ça te plaise ou non, ma jolie, il faudra supporter ! » Cela fut simplement interprété comme une boutade, une plaisanterie un peu lourde…
Les troupes russes entrèrent donc en Ukraine et le président Zelensky et sa famille s’enfuirent aux États-Unis.
En novembre 2024, Donald Trump fut élu pour la seconde fois à la Maison blanche, quelques jours après que l’armée américaine et la NASA aient communiqué une information sidérante relayée par les chaînes télé et les réseaux sociaux du monde entier : « Nous avons enfin la preuve de l’existence de l’Au-delà et nous pourrons bientôt entrer en contact avec lui. »
Un mouvement étrange nommé Au-Delà venu des États-Unis envahit la planète, gagnant chaque jour les esprits, surtout ceux des adolescents dont les valeurs proclamées étaient humanité, fierté, dignité, honneur, amour, tendresse, compassion, joie de vivre, fraternité, et dont le slogan, simple, était « Le monde d’ici-bas est le champ que nous cultivons pour en récolter les fruits dans l’au-delà ».
Cette preuve de l’existence de l’Au-Delà, c’est notre Serge lui-même, ce brillant écrivain encore trop méconnu, résidant au Pays de Fayence dans le Var, plus précisément à Montauroux qui l’avait fournie, devenant malgré lui « L’Homme qui avait vu l’Au-Delà ».
Et c’est ainsi que malgré son profil de petit homme insignifiant comparé à ce physicien de génie, ce gamin de 14 ans nommé César, un danger pour certains, un espoir pour d’autres, notre homme fut le grain de sable qui sans le vouloir changea le cours de l’Histoire.
La présence de cette jeune femme Eve dans la chapelle de Saint-Saturnin en cette journée d’avril 2025, scène qui ouvre le roman, n’était sans doute pas un effet du hasard et représentait peut-être pour lui une menace mortelle…
Avec sa verve habituelle où profane et sacré se mêlent pour notre plus grand bonheur, Serge Boudoux en s’inspirant de l’histoire contemporaine, en y ajoutant une petite dose de dystopie et une belle part de science-fiction nous offre un thriller fantastique assez époustouflant !
Cet auteur est à mon sens unique en son genre et ne peut guère être classifié, tant son écriture est originale, pleine de bon sens populaire tout en étant très pointue.
Je dirais que Serge Boudoux a vraiment le sens de la formule et tout comme dans ses précédents romans, son parler-franc, ses railleries, son imagination créatrice extraordinaire m’ont à nouveau conquise et enchantée.
Il n’en faudrait pas beaucoup plus pour que l’on se mette à douter de la véracité de l’histoire…
N’hésitant pas de temps à autre à s’adresser directement au lecteur et à lui faire part de ses réflexions, réussissant ainsi une parfaite implication de celui-ci, la lecture de ses ouvrages s’avère un vrai délice.
Bien documenté et incluant dans son récit des anecdotes, souvent marginales mais bien réelles, son analyse de la situation politique actuelle, si elle paraît au premier abord un peu simplifiée et prêtant à sourire est en fait plus caustique et sarcastique qu’il n’y paraît…
Quant aux références religieuses, elles seraient tout bonnement comiques si elles n’étaient pas malheureusement, la plupart du temps fort exactes.
Son humour, certes, peut parfois déranger, mais son regard malicieux est toujours plein de tendresse et empreint de poésie.
Dans Eve, voyageuse de l’Au-Delà, la présence de cette inconnue va donner lieu à de belles séquences érotiques.
La capacité de Serge Boudoux à mettre en scène une intrigue haletante dans ses romans n’est plus à démontrer, de même qu’il excelle à s’y mettre en scène lui-même.
À noter que si Eve, voyageuse de l’Au-Delà est la suite de L’homme qui avait vu l’Au-Delà, celui-ci peut se lire indépendamment sans problème.
Si ce n’est déjà fait, je ne peux que vous inciter fortement à découvrir cet auteur inclassable !
Merci Serge pour cette délicieuse lecture !
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Il faut reconnaître que l’affaire avait été particulièrement bien menée par le président russe, Poutine qui, le 24 février 2022 avait envahi l’Ukraine, laissant l’Europe incrédule ! Pourtant, le 8 février, à l’occasion d’une rencontre au sommet, le dictateur, autocrate avait clairement exprimé ses intentions belliqueuses à son homologue ukrainien par ces termes « Que ça te plaise ou non, ma jolie, il faudra supporter ! » Cela fut simplement interprété comme une boutade, une plaisanterie un peu lourde…
Les troupes russes entrèrent donc en Ukraine et le président Zelensky et sa famille s’enfuirent aux États-Unis.
En novembre 2024, Donald Trump fut élu pour la seconde fois à la Maison blanche, quelques jours après que l’armée américaine et la NASA aient communiqué une information sidérante relayée par les chaînes télé et les réseaux sociaux du monde entier : « Nous avons enfin la preuve de l’existence de l’Au-delà et nous pourrons bientôt entrer en contact avec lui. »
Un mouvement étrange nommé Au-Delà venu des États-Unis envahit la planète, gagnant chaque jour les esprits, surtout ceux des adolescents dont les valeurs proclamées étaient humanité, fierté, dignité, honneur, amour, tendresse, compassion, joie de vivre, fraternité, et dont le slogan, simple, était « Le monde d’ici-bas est le champ que nous cultivons pour en récolter les fruits dans l’au-delà ».
Cette preuve de l’existence de l’Au-Delà, c’est notre Serge lui-même, ce brillant écrivain encore trop méconnu, résidant au Pays de Fayence dans le Var, plus précisément à Montauroux qui l’avait fournie, devenant malgré lui « L’Homme qui avait vu l’Au-Delà ».
Et c’est ainsi que malgré son profil de petit homme insignifiant comparé à ce physicien de génie, ce gamin de 14 ans nommé César, un danger pour certains, un espoir pour d’autres, notre homme fut le grain de sable qui sans le vouloir changea le cours de l’Histoire.
La présence de cette jeune femme Eve dans la chapelle de Saint-Saturnin en cette journée d’avril 2025, scène qui ouvre le roman, n’était sans doute pas un effet du hasard et représentait peut-être pour lui une menace mortelle…
Avec sa verve habituelle où profane et sacré se mêlent pour notre plus grand bonheur, Serge Boudoux en s’inspirant de l’histoire contemporaine, en y ajoutant une petite dose de dystopie et une belle part de science-fiction nous offre un thriller fantastique assez époustouflant !
Cet auteur est à mon sens unique en son genre et ne peut guère être classifié, tant son écriture est originale, pleine de bon sens populaire tout en étant très pointue.
Je dirais que Serge Boudoux a vraiment le sens de la formule et tout comme dans ses précédents romans, son parler-franc, ses railleries, son imagination créatrice extraordinaire m’ont à nouveau conquise et enchantée.
Il n’en faudrait pas beaucoup plus pour que l’on se mette à douter de la véracité de l’histoire…
N’hésitant pas de temps à autre à s’adresser directement au lecteur et à lui faire part de ses réflexions, réussissant ainsi une parfaite implication de celui-ci, la lecture de ses ouvrages s’avère un vrai délice.
Bien documenté et incluant dans son récit des anecdotes, souvent marginales mais bien réelles, son analyse de la situation politique actuelle, si elle paraît au premier abord un peu simplifiée et prêtant à sourire est en fait plus caustique et sarcastique qu’il n’y paraît…
Quant aux références religieuses, elles seraient tout bonnement comiques si elles n’étaient pas malheureusement, la plupart du temps fort exactes.
Son humour, certes, peut parfois déranger, mais son regard malicieux est toujours plein de tendresse et empreint de poésie.
Dans Eve, voyageuse de l’Au-Delà, la présence de cette inconnue va donner lieu à de belles séquences érotiques.
La capacité de Serge Boudoux à mettre en scène une intrigue haletante dans ses romans n’est plus à démontrer, de même qu’il excelle à s’y mettre en scène lui-même.
À noter que si Eve, voyageuse de l’Au-Delà est la suite de L’homme qui avait vu l’Au-Delà, celui-ci peut se lire indépendamment sans problème.
Si ce n’est déjà fait, je ne peux que vous inciter fortement à découvrir cet auteur inclassable !
Merci Serge pour cette délicieuse lecture !
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Si vous tenez ce livre entre vos mains vous ne pourrez plus le lâcher, ou plutôt il ne vous lâchera plus. Il y a d'abord le regard pénétrant du vieillard de la couverture qui vous interpellera où que vous posiez le livre tout comme la mise en garde intrigante du titre « Méfiez-vous du vieux qui porte une casquette à carreaux sur la tête », qui reviendra en boucle dans votre esprit comme au fil des pages. Serge Boudoux excelle dans l'art d'embarquer le lecteur dans une histoire où l'incroyable arrive, où l'invraisemblable côtoie le vraisemblable. Une maison dans le sud de la France, des propriétaires qui se succèdent, une clé USB, et un étrange vieillard, Charles-Henri, qui se souvient du futur car il l'a déjà vu. le tour est joué et même rejoué, le présent s'active et le passé se réactive. Chacun à son tour, le lecteur également, est aux anges ou aux mauvais anges puis emmené aux confins de l'apocalypse. Je ne dévoilerai rien de plus de cette histoire complètement folle, rondement menée et diablement addictive et pour ceux qui n'auraient pas tout suivi ou compris, p.329‐330, juste avant le bouquet final , Serge Boudoux a l'amabilité de faire un excellent résumé. Un livre prenant, drôle, original, bien écrit, un moment de lecture formidable. Ah ! j'oubliais, un conseil : désormais, méfiez-vous des vieux qui portent une casquette à carreaux sur la tête.
J'ai passé un très bon moment de lecture, ce livre a su me faire ressentir des émotions contradictoires, par moment j'étais énervée, des fois j'étais offusquée, d' autres fois j'ai sourie, j'ai même eu le cœur serré. Les auteurs ont bien su me faire ressentir ce roman, mais il peut être dur , et
! ATTENTION ! il comporte des scènes de sexe explicite pour ceux que ça dérange je préfère vous prévenir.
On se retrouve ici avec une histoire poignante, prenante, palpitante et parfois un peu dur et malsaine. A travers les yeux de son psychiatre, on va découvrir la folie d'Eden.
! ATTENTION ! (encore une fois) la religion est présente dans le livre.
Entre le sexe, la religion, la démence d'une femme, des meurtres, des viols, des cauchemars on se retrouve plongé dans une ambiance dépravée et angoissante.
Les personnages sont, mauvais, malsains, barrés, dépravés, fous, mais aussi attachants, par moments. Ils sont recherchés et bien travaillés, ils sont aussi originaux, ils apportent un bon point au roman.
La plume des auteurs est fluide et agréable à lire, c'est un roman à quatre mains je ne sais pas lequel à écrit quoi, mais j'ai aimé toute l'écriture, sans voir de réel changement de style.
En bref, c'était une très bonne lecture, un policier/ thriller qui mêle drame, dépravation, folie, ambiance noire et malsaine, avec des personnages tous plus bizarres les uns que les autres. Je le conseil vraiment, les deux seuls points où je vous mets en garde, sont le sexe et la religion qui peuvent en déranger certains.
Les personnages :
Ici on retrouve principalement Eden à travers les yeux de Gilles. Son psychiatre.
On découvre dans un premier temps Éden, à l'âge de 11 ans un accident la plonge dans le coma, et lui fait perdre la mémoire. Lorsqu'elle tombe malade des années plus tard, et fait un choc anaphylactique, des cauchemars horribles, de pédophilie hantent ses nuits, elle commence également, à entendre une voix de serpent dans sa tête, cette voix qui la rend folle. C'est une femme sur d'elle et de sa beauté, elle à une séxualité dépravée, ne souhaite pas s'attacher aux gens, elle m'a à la fois dérangée, et beaucoup touchée
Christiane, est la tante d'Eden, elle prend soin d'elle depuis son accident, car ses parents ont préférés l'éloigner de sa petite sœur Noémie. C'est une femme protectrice, à l'écoute et gentille. J'ai énormément aimé ce personnage.
Michel-Ange, est un homme qui va croiser la route d'Eden, une relation passionnelle et destructrice va se mette en place entre les deux protagonistes. C'est un homme étrange, avec un fond un peu pervers, j'ai trouvé ce personnage très intéressant.
La famille d'Eden,
Son père est un homme dur, horrible, très porté sur la religion, il a une relation de haine avec Eden qui va se concrétiser au fil des pages. Sa mère, est tout aussi portée sur la religion, soumise à son mari, elle est tout de même plus douce et moins horrible avec Eden. Noémie est sa petite sœur, elles on une relation plutôt forte, surtout du côté d'Eden qui voue un vrai culte à sa petite sœur.
Puis on a Gilles son psychiatre , c'est a travers ses yeux que l'on va découvrir son histoire . C'est un homme cultivé, intelligent. Je l'ai trouvé également intéressant.
Il y a également Laurence , une flic, sur d'elle, un peu hautaine, qui ne se remet jamais en question, je l'ai trouvé un peu pénible par moment, à se croire supérieure aux autres.
L'histoire :
Le roman commence par l'arrivée de Laurence, une jeune flic sur d'elle. Elle vient rendre visite à Gilles le psychiatre d'Eden, qui est soupçonnée de plusieurs meurtres.
A travers les yeux du psychiatre, on va se plonger dans la tête d'Eden. L'histoire commence fort avec une scène de pédophilie, commis par un homme en noir sur une petite fille. Petit à petit on va découvrir une Eden, instable et dévergondée, on découvre son passé et la progression de sa folie.
Sa rencontre avec Michel-Ange va rapidement prendre une place importante dans le livre, une histoire passionnelle et destructrice, se met en place entre eux, Eden, a une voix de serpent qui lui résonne dans la tête, et lui donne des envies de meurtres, sa relation avec Michel-Ange va dégénérer suite à un malentendu.
Eden décide alors de partir faire le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, l'horreur commence à se mettre en place, plusieurs meurtres que le psychiatre nous décrit avec précision, sont commis le long de ce pèlerinage. Eden a des images de ces meurtres, dans ses cauchemars, mais est-elle coupable ? Hallucine t-elle ? Invente elle ces meurtres pour ce purifier l'esprit ? Qui est la petite fille qui hante ses nuits ? Pourquoi se sent elle obligée de la protéger ? La fiction et la réalité vont alors se superposer.
Petit à petit des indices vont être semés, pour nous conduire avec brio à la conclusion finale. Surprenante, mais pas du tout tirée par les cheveux, la fin est réaliste et donne envie de lire absolument la suite.
Toute l'histoire se met en place uniquement par les yeux du psychiatre, ce qui donne un plus au roman. Qui croire ? Entre la dépravation, les meurtres, les révélations, la folie, les auteurs ne nous laissent pas souffler. Une histoire à en perdre alène, prenante et palpitante.
les auteurs:
À aucun moment j'ai trouvé un changement d'écriture, je ne sais donc pas qui à écrit quoi. En tout cas, leurs plumes est super agréable, fluide, rapide, entraînante et passionnante. Ils ne nous laissent aucun répit et n'hésite pas à être dur dans leurs écrits. J'ai beaucoup aimé leurs plumes.
Conclusion :
Je ne peux que vous le conseiller . C'est vraiment un très bon thriller policier. Le récit est parfois dérangeant, parfois malsain, mais toujours maitrisé à la perfection.
Les personnages sont très originaux, attachants, intéressants, bien travaillés. Je l'ai est tous trouvé très intéressants, il apporte un bon point au roman.
L'histoire est vraiment prenante, entre viol, pédophilie, meurtre sanglant, folie, sexualité, dépravation, l'histoire nous laisse très peu de répit. On ne s'ennuie jamais, et surtout on est jamais épargné par la noirceur d'Eden. La fin est bien amené et originale.
En bref, c'est un très bon roman policier. J'ai hâte de lire la suite et je vous le conseil vivement, la poésie à aussi une bonne place dans le roman, avec le sexe et la religion.
Lien : https://colorandbook.blogspo..
! ATTENTION ! il comporte des scènes de sexe explicite pour ceux que ça dérange je préfère vous prévenir.
On se retrouve ici avec une histoire poignante, prenante, palpitante et parfois un peu dur et malsaine. A travers les yeux de son psychiatre, on va découvrir la folie d'Eden.
! ATTENTION ! (encore une fois) la religion est présente dans le livre.
Entre le sexe, la religion, la démence d'une femme, des meurtres, des viols, des cauchemars on se retrouve plongé dans une ambiance dépravée et angoissante.
Les personnages sont, mauvais, malsains, barrés, dépravés, fous, mais aussi attachants, par moments. Ils sont recherchés et bien travaillés, ils sont aussi originaux, ils apportent un bon point au roman.
La plume des auteurs est fluide et agréable à lire, c'est un roman à quatre mains je ne sais pas lequel à écrit quoi, mais j'ai aimé toute l'écriture, sans voir de réel changement de style.
En bref, c'était une très bonne lecture, un policier/ thriller qui mêle drame, dépravation, folie, ambiance noire et malsaine, avec des personnages tous plus bizarres les uns que les autres. Je le conseil vraiment, les deux seuls points où je vous mets en garde, sont le sexe et la religion qui peuvent en déranger certains.
Les personnages :
Ici on retrouve principalement Eden à travers les yeux de Gilles. Son psychiatre.
On découvre dans un premier temps Éden, à l'âge de 11 ans un accident la plonge dans le coma, et lui fait perdre la mémoire. Lorsqu'elle tombe malade des années plus tard, et fait un choc anaphylactique, des cauchemars horribles, de pédophilie hantent ses nuits, elle commence également, à entendre une voix de serpent dans sa tête, cette voix qui la rend folle. C'est une femme sur d'elle et de sa beauté, elle à une séxualité dépravée, ne souhaite pas s'attacher aux gens, elle m'a à la fois dérangée, et beaucoup touchée
Christiane, est la tante d'Eden, elle prend soin d'elle depuis son accident, car ses parents ont préférés l'éloigner de sa petite sœur Noémie. C'est une femme protectrice, à l'écoute et gentille. J'ai énormément aimé ce personnage.
Michel-Ange, est un homme qui va croiser la route d'Eden, une relation passionnelle et destructrice va se mette en place entre les deux protagonistes. C'est un homme étrange, avec un fond un peu pervers, j'ai trouvé ce personnage très intéressant.
La famille d'Eden,
Son père est un homme dur, horrible, très porté sur la religion, il a une relation de haine avec Eden qui va se concrétiser au fil des pages. Sa mère, est tout aussi portée sur la religion, soumise à son mari, elle est tout de même plus douce et moins horrible avec Eden. Noémie est sa petite sœur, elles on une relation plutôt forte, surtout du côté d'Eden qui voue un vrai culte à sa petite sœur.
Puis on a Gilles son psychiatre , c'est a travers ses yeux que l'on va découvrir son histoire . C'est un homme cultivé, intelligent. Je l'ai trouvé également intéressant.
Il y a également Laurence , une flic, sur d'elle, un peu hautaine, qui ne se remet jamais en question, je l'ai trouvé un peu pénible par moment, à se croire supérieure aux autres.
L'histoire :
Le roman commence par l'arrivée de Laurence, une jeune flic sur d'elle. Elle vient rendre visite à Gilles le psychiatre d'Eden, qui est soupçonnée de plusieurs meurtres.
A travers les yeux du psychiatre, on va se plonger dans la tête d'Eden. L'histoire commence fort avec une scène de pédophilie, commis par un homme en noir sur une petite fille. Petit à petit on va découvrir une Eden, instable et dévergondée, on découvre son passé et la progression de sa folie.
Sa rencontre avec Michel-Ange va rapidement prendre une place importante dans le livre, une histoire passionnelle et destructrice, se met en place entre eux, Eden, a une voix de serpent qui lui résonne dans la tête, et lui donne des envies de meurtres, sa relation avec Michel-Ange va dégénérer suite à un malentendu.
Eden décide alors de partir faire le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, l'horreur commence à se mettre en place, plusieurs meurtres que le psychiatre nous décrit avec précision, sont commis le long de ce pèlerinage. Eden a des images de ces meurtres, dans ses cauchemars, mais est-elle coupable ? Hallucine t-elle ? Invente elle ces meurtres pour ce purifier l'esprit ? Qui est la petite fille qui hante ses nuits ? Pourquoi se sent elle obligée de la protéger ? La fiction et la réalité vont alors se superposer.
Petit à petit des indices vont être semés, pour nous conduire avec brio à la conclusion finale. Surprenante, mais pas du tout tirée par les cheveux, la fin est réaliste et donne envie de lire absolument la suite.
Toute l'histoire se met en place uniquement par les yeux du psychiatre, ce qui donne un plus au roman. Qui croire ? Entre la dépravation, les meurtres, les révélations, la folie, les auteurs ne nous laissent pas souffler. Une histoire à en perdre alène, prenante et palpitante.
les auteurs:
À aucun moment j'ai trouvé un changement d'écriture, je ne sais donc pas qui à écrit quoi. En tout cas, leurs plumes est super agréable, fluide, rapide, entraînante et passionnante. Ils ne nous laissent aucun répit et n'hésite pas à être dur dans leurs écrits. J'ai beaucoup aimé leurs plumes.
Conclusion :
Je ne peux que vous le conseiller . C'est vraiment un très bon thriller policier. Le récit est parfois dérangeant, parfois malsain, mais toujours maitrisé à la perfection.
Les personnages sont très originaux, attachants, intéressants, bien travaillés. Je l'ai est tous trouvé très intéressants, il apporte un bon point au roman.
L'histoire est vraiment prenante, entre viol, pédophilie, meurtre sanglant, folie, sexualité, dépravation, l'histoire nous laisse très peu de répit. On ne s'ennuie jamais, et surtout on est jamais épargné par la noirceur d'Eden. La fin est bien amené et originale.
En bref, c'est un très bon roman policier. J'ai hâte de lire la suite et je vous le conseil vivement, la poésie à aussi une bonne place dans le roman, avec le sexe et la religion.
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' Quand j'ai commencé cette lecture, je ne savais rien de ce livre, je me suis gardée le suspense jusqu'au bout. Du coup je m'étais fait un avis via le titre et je pensais que ça aller se passer dans le désert ou quelque chose comme ça. Puis au final nous nous retrouvons avec une policière qui mène une enquête interdite sur notre fameuse Eden, car plusieurs meurtres ont été commis à chaque endroit où Eden s'est retrouvée. Toute l'histoire se passe dans le bureau du psy d'Eden avec des flashback sur toute la vie de celle ci. Pour vous parler en bref d'Eden, je dis en bref car si j'en dis trop je vais vous spoiler obligatoirement et sincèrement j'en ai pas envie se serait du gâchis. Donc pour résumer, Eden qui en réalité s'appelle.. ' la suite sur mon blog ! :)
Lien : http://elodiebooks.blogspot...
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La couverture est jolie et originale. On se demande ce que comporte ce roman.
Quand nous commençons, nous rentrons très facilement dans l'histoire. Nous nous trouvons en compagnie d'Henri, le narrateur de cette histoire et personnage principal. Nous sommes amusés de voir comment il se comporte.
Par la suite, nous rencontrons plusieurs personnages, en passant de policiers à meurtriers. Ils sont attachants même s'ils sont mauvais.
Ce qui nous chagrine beaucoup dans ce roman, c'est qu'il y a certains passages qui sont très longs. Ceux-ci sont limite de trop et nous nous disons que s'ils n'étaient pas dedans, ça ne gênerait pas du tout la lecture du roman. Sans ces nombreuses longueurs, l'histoire est vraiment plaisante. Nous avons mal au cœur pour certains personnages et nous comprenons toutes les misères qu'ils leur sont arrivés dans le passé. On comprend rapidement pourquoi l’assassin est devenu comme cela. On n’a pas l'habitude de connaître le meurtrier dès le début dans les autres thrillers et pour le coup, nous trouvons cela original, car nous pouvons apprendre à le connaître tout du long. Et nous voyons comment il réfléchit pour ses crimes.
Nous sommes surpris de voir que les auteurs ont installé l'affaire DSK dans l'histoire. Dans un sens, nous trouvons ça gonflé et dans un autre, assez drôle à vrai dire.
Dans les derniers meurtres, nous trouvons que ça se passe vraiment trop rapidement et c'est franchement dommage. Mais aussi, nous trouvons que ça nous rappelle une triste tragédie qui s'est déroulée il y a quelques années et ça nous ennuie un peu de voir les mêmes conditions réinterprétées dans ce roman.
À la fin, on ne se serait pas douté de ce qui se c'est passé. On passe de la joie à la tristesse en deux secondes et là, dans un sens, nous trouvons dommage que ça se passe de cette manière.
Est-ce que j'ai aimé ce livre ?
Pour moi, c'est vraiment un avis mitigé. Autant, j'ai beaucoup aimé l'histoire et les personnages, autant, j'ai trouvé que les auteurs ont beaucoup installé de choses dont le livre n'avait pas beaucoup besoin. C'est dommage parce que sinon il aurait vraiment été super et d'autant plus que les auteurs écrivent vraiment bien.
Lien : http://lesangdeslivres.blogs..
Quand nous commençons, nous rentrons très facilement dans l'histoire. Nous nous trouvons en compagnie d'Henri, le narrateur de cette histoire et personnage principal. Nous sommes amusés de voir comment il se comporte.
Par la suite, nous rencontrons plusieurs personnages, en passant de policiers à meurtriers. Ils sont attachants même s'ils sont mauvais.
Ce qui nous chagrine beaucoup dans ce roman, c'est qu'il y a certains passages qui sont très longs. Ceux-ci sont limite de trop et nous nous disons que s'ils n'étaient pas dedans, ça ne gênerait pas du tout la lecture du roman. Sans ces nombreuses longueurs, l'histoire est vraiment plaisante. Nous avons mal au cœur pour certains personnages et nous comprenons toutes les misères qu'ils leur sont arrivés dans le passé. On comprend rapidement pourquoi l’assassin est devenu comme cela. On n’a pas l'habitude de connaître le meurtrier dès le début dans les autres thrillers et pour le coup, nous trouvons cela original, car nous pouvons apprendre à le connaître tout du long. Et nous voyons comment il réfléchit pour ses crimes.
Nous sommes surpris de voir que les auteurs ont installé l'affaire DSK dans l'histoire. Dans un sens, nous trouvons ça gonflé et dans un autre, assez drôle à vrai dire.
Dans les derniers meurtres, nous trouvons que ça se passe vraiment trop rapidement et c'est franchement dommage. Mais aussi, nous trouvons que ça nous rappelle une triste tragédie qui s'est déroulée il y a quelques années et ça nous ennuie un peu de voir les mêmes conditions réinterprétées dans ce roman.
À la fin, on ne se serait pas douté de ce qui se c'est passé. On passe de la joie à la tristesse en deux secondes et là, dans un sens, nous trouvons dommage que ça se passe de cette manière.
Est-ce que j'ai aimé ce livre ?
Pour moi, c'est vraiment un avis mitigé. Autant, j'ai beaucoup aimé l'histoire et les personnages, autant, j'ai trouvé que les auteurs ont beaucoup installé de choses dont le livre n'avait pas beaucoup besoin. C'est dommage parce que sinon il aurait vraiment été super et d'autant plus que les auteurs écrivent vraiment bien.
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Eden, est le deuxième volet d'une trilogie, écrite par Cécile de Laget & Serge Boudoux. Je n'ai pas lu le premier livre, mais les auteurs m'ont assuré que ce n'était pas un souci et que les volumes pouvaient se lire indépendamment. Cela faisait longtemps que j'avais ce SP dans ma PAL, malheureusement, manquant cruellement de temps pour honorer en temps et en heure mes engagements, je ne l'ai lu que maintenant.
Dans L'ange de la mort est assis sur mon banc, nous faisons la connaissance d'Henri, un homme de 90 ans qui habite dans un petit village du Gers, où il a ses habitudes. Un jour, alors qu'il se rend comme à son habitude sur la place de l'Eglise, il fait la connaissance d'Eden, une femme sublime. Ils vont alors diescuter, et Henri va alors se retrouver mêler à une sombre histoire. Il va ainsi nous raconter l'histoire d'Eden. Et le moins qu'on puisse dire c'est qu'il y en a des choses à dire sur cette femme !
Bien, on va s'arrêter là pour l'histoire afin de ne pas trop vous en dévoiler. L'ange de la mort est assis sur mon banc est un roman vraiment bien écrit malheureusement je n'ai pas du tout accroché à l'histoire.
Certains passages sont trop longs. Il y a deux façons de lire ce livre, on peut le lire dans son intégralité ou sauter les chapitres "l'école buissonnière". Si au départ je lisais tous les chapitres, j'ai rapidement sauté "l’école buissonnière".
Le style est vraiment bon, c'est bien écrit, mais là où j'ai eu du mal c'est le mélange des genres. En effet, parfois on a le sentiment d'être plongé dans un bon thriller, et la page d'après on se croirait dans un livre érotique. Bref, si au départ j'étais bien partie dans l'histoire, malheureusement j'en ai vite décroché. Il y a eu trop de "sous-histoires" auxquelles je n'ai pas vraiment adhéré.
Les personnages sont bien travaillés, mais j'ai eu du mal à m'attacher à l'un d'entre eux. Eden est peut être celle qui m'a le plus touché malgré son manque d'empathie et tout ce qui la caractérise.
En conclusion, c'est un rendez-vous manqué pour Eden et moi.
Mais comme je vous le dis souvent, il faut toujours se faire sa propre idée et peut être que vous, vous aimerez Eden.
Lien : http://aubazaardeslivres.blo..
Dans L'ange de la mort est assis sur mon banc, nous faisons la connaissance d'Henri, un homme de 90 ans qui habite dans un petit village du Gers, où il a ses habitudes. Un jour, alors qu'il se rend comme à son habitude sur la place de l'Eglise, il fait la connaissance d'Eden, une femme sublime. Ils vont alors diescuter, et Henri va alors se retrouver mêler à une sombre histoire. Il va ainsi nous raconter l'histoire d'Eden. Et le moins qu'on puisse dire c'est qu'il y en a des choses à dire sur cette femme !
Bien, on va s'arrêter là pour l'histoire afin de ne pas trop vous en dévoiler. L'ange de la mort est assis sur mon banc est un roman vraiment bien écrit malheureusement je n'ai pas du tout accroché à l'histoire.
Certains passages sont trop longs. Il y a deux façons de lire ce livre, on peut le lire dans son intégralité ou sauter les chapitres "l'école buissonnière". Si au départ je lisais tous les chapitres, j'ai rapidement sauté "l’école buissonnière".
Le style est vraiment bon, c'est bien écrit, mais là où j'ai eu du mal c'est le mélange des genres. En effet, parfois on a le sentiment d'être plongé dans un bon thriller, et la page d'après on se croirait dans un livre érotique. Bref, si au départ j'étais bien partie dans l'histoire, malheureusement j'en ai vite décroché. Il y a eu trop de "sous-histoires" auxquelles je n'ai pas vraiment adhéré.
Les personnages sont bien travaillés, mais j'ai eu du mal à m'attacher à l'un d'entre eux. Eden est peut être celle qui m'a le plus touché malgré son manque d'empathie et tout ce qui la caractérise.
En conclusion, c'est un rendez-vous manqué pour Eden et moi.
Mais comme je vous le dis souvent, il faut toujours se faire sa propre idée et peut être que vous, vous aimerez Eden.
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