Sur la fourche haute, un quintal de python dort, ou paraît dormir.(...) Heureusement, tout est redevenu immobile... Arrêtez ! De nouveau tout chancelle, glisse affreusement - je ne sens point de secousse, mais une douceâtre inclinaison, accompagnée d'une déformation convexe... C'est le python qui a bougé, le python que je croyais immobile - méfions-nous de ce mot, méfions-nous ; un petit détour, laissons-le là - et qui s'est mis en mouvement, entraînant mes sens surpris, mes yeux bornés et accoutumés à la patte, au saut, gouvernés par la logique du pas.