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Critiques de Sonia Chiambretto (8)
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Polices !

GÉNIAL sur la forme, mais ATTENTION résolument militant sur le fond : C'est un véritable OLNI, que j'ai dégoté au rayon « théâtre-poésie » de ma librairie ! J'écartais délicatement Emilie DICKINSON qui me semblait trop proche, bien trop proche de Charles BUKOWSKI, quand - SOUDAIN - les « POLICES ! » de Sonia Chiambretto m'ont crié de mettre mes mains bien en évidence sur sa couverture pour le feuilleter un peu. Curieuse, j'obéis et entrouvre :





« LES MAINS EN EVIDENCE. LES MAINS EN EVIDENCE. LES MAINS EN EVIDENCE S'IL VOUS PLAÎT. SORTEZ VOS MAINS DE VOS POCHES. SORTEZ LES MAINS DE VOS POCHES S'IL VOUS PLAÎT. ARRÊTEZ ! STOP ! SORTEZ LES MAINS DE VOS POCHES ! »





Aïe, les yeux, les oreilles ! Quoi Sonia, tu trouves que notre police en fait un peu trop c'est ça ? Heu, tu sais, elle affronte des trucs pas drôles de nos jours… Des délinquants toujours plus armés, plus dangereux. Des terroristes aussi, que la population l'implore de gérer quand c'est trop tard. Alors il faut aussi lui donner les moyens de prévenir ou de réagir ! Nous ferais-tu un énième livre anti-police ? En l'absence de ton avocat, interrogeons la quatrième…





« Ce long poème de Sonia Chiambretto interroge toute l'ambiguïté de notre rapport à l'autorité, sans concession. »





Ce côté moderne de la forme et l'actualité du sujet me semblait prometteur. Alors je rouvre ce livre et BAM, j'en prends encore plein les yeux, plein les oreilles :





« A GENOUX TOUT LE MONDE OUI A GENOUX A GENOUX dans le salon A GENOUX dans la salle de bain A GENOUX dans le couloir A GENOUX dans la chambre des… » etc…





On s'y croirait. Et pour cause : Issu du SPOKEN WORD - ces écrits pour la parole, où la parole devient action grâce à son incantation - POLICES ! de Sonia Chiambretto nous donne matière à réfléchir sur les actions répressives de nos gouvernements. Avec ce thème POLICES !, celles d'écritures sont également exploitées, et le pluriel du titre est intéressant.





« CASQUE

BOUCLIER

CHAUSSURES « COMMANDO »

BLOUSON RESPIRANT (ouverture latérale pour le passage de l'arme)

(…)

PANTALON RESSERRÉ AUX CHEVILLES

GILET PARE-BALLES

MATRAQUES

FLASH BALL

PISTOLET AUTOMATIQUE (…) »





On sent un vrai MILITANTISME, dans l'utilisation du SPOKEN WORD. D'ailleurs, les textes de l'auteure sont également mis en scène par des chorégraphes et performés par elle-même dans des lieux alternatifs. Pour bouger les consciences et attirer l'attention sur les dysfonctionnements qu'elle perçoit, l'auteure, dans ce livre, CRIE théâtralement pour mettre en valeur la violence des forces de l'ordre, puis (chuchote) poétiquement pour évoquer les « victimes » de ces diverses « agressions » policières, puis, ensuite encore, cite un bon vieux faits divers qui fera pleurer dans les chaumières. En mêlant savamment les genres donc, ce petit ouvrage de 100 pages amène de manière aussi poétique que théâtrale des propos en réalité éminemment politiques.





Bien entendu, ce genre d'écrit pour la parole sert un parti pris revendiqué : Il faut donc souligner que tout fait divers cité sera choisi pour aller dans le sens du propos de l'auteure, qui éludera de préférence les circonstances « atténuantes » dues à la situation. C'est à la fois le but du spoken word, sa force, son savoir faire ; Mais c'est aussi sa faiblesse : Vous ne trouverez dans ce genre d'ouvrage aucune neutralité, aucune volonté de réellement peser le pour et le contre, AUCUNE OBJECTIVITÉ. En revanche, en poussant sa réflexion par des comparaisons extrêmes et des faits marquants, le genre crée la discussion, le débat, la réflexion. Il a le mérite de faire parler des sujets, dénoncer les dérives actuelles du systèmes, et peut-être prévenir ou anticiper les éventuelles futures dérives possibles. Et là, l'auteur réussit parfaitement à mettre en lumière des parallèles marquants qui interpellent forcément son lecteur.





« (à partir des archives du procès Papon, 16/10/1997 Bordeaux)

Au pont Saint-Michel

Un garde mobile écrase à coup de crosse

Les doigts d'un Algérien qui se tient sous le parapet du pont et

Frappe jusqu'à ce que l'homme lâche prise et

Tombe dans la Seine

Au pont de Clichy les Algériens sont jetés du haut du pont

Des milliers de personnes sont RAFLÉES !

Les véhicules de la police ne suffisent plus.

Le préfet réquisitionne les autobus de la RATP

En 1942 pour la RAFLE ! du VEL'D'HIV* (*plus importante rafle de juifs en France)

Ce sont les autobus du TCRP

Qui ont été réquisitionnés. »





Le revers de la médaille est que, mis entre toutes les mains, ce genre de littérature pourrait bien être prise au pied de la lettre, sans nuance, sans rechercher de contradictoire, et créer un effet pervers de susciter encore plus de haines, et de jugements simplistes. Ce parallèle, par exemple, de notre police actuelle avec les moments peu glorieux de notre passé, aurait pu me faire lever les yeux au ciel… Mais depuis que j'ai lu ce roman de Frédéric PAULIN : La nuit tombée sur nos âmes, je reconnais que le parallèle avec les événements de Gêne en 2001 est bien vu et je comprends pourquoi l'auteure reproduit dans ce livre la pétition contre les lois anti-terroriste : Il faut se méfier des dérives… Par ailleurs, l'auteure nuance son propos en distinguant la politique que l'on demande aux policiers d'appliquer, et les policiers eux-mêmes - même si on peut aussi considérer qu'elle utilise cette concession pour appuyer encore son propos.





Au total, même si l'ensemble est très partisan, j'ai apprécié la créativité et la réflexion qu'elle crée, et j'ai trouvé très pertinent le rendu choral par rapport au but recherché de l'auteur : dénoncer les dérives sécuritaires. le montage est vivant et efficace, la façon de donner la parole à tout le monde en même temps, de plein de manières différentes, chacune la sienne, dans un tourbillon, une urgence comme si on y était. Je vous ai mis peu d'exemples différents pour que vous conserviez le plaisir de la découverte, mais je trouve très bien rendu ces situations que l'auteure fait s'imbriquer en petits et en GROS CARACTÈRES, en prose et en vers, pour nous prendre dans le tourbillon de l'action. Et je les ai entendues, ces voix, chacune avec le ton, le coffre qui lui correspondait : Elles résonnent dans mes oreilles grâce à mes yeux.





Les quatre étoiles sont pour l'adéquation parfaite de la forme comme moyen de défendre ses idées au fond. La cinquième étoile manquante reflète ma soif de justice : Force est de constater que si le but est militant, l'objectivité et la raison m'ont donné envie envie tout au long de cette lecture de donner les arguments et les faits qui contrebalancent ces dénonciations, afin de créer une vraie discussion juste, ou chaque arguments pèse dans la balance, plutôt qu'un jugement appuyé sur des seuls éléments à charge.





Malgré tout, un genre littéraire à découvrir sans hésiter, et pourquoi pas avec ce thème intéressant d'actualité et cette auteure qui m'a semblée assez douée - même si je découvre encore ce genre.



Amateurs d'OLNI : à vos pages, prêts, LISEZ !!!
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Ce qui (nous) arrive, tome 2

Merci à Babelio et aux éditions Espaces 34 de m'avoir permis de découvrir ce projet du Théâtre National de Strasbourg, engagé par Stanislas Nordey : donner à écrire du théâtre à des auteurs et autrices pour des comédiens et comédiennes en période de fermeture de théâtre imposée par le confinement.



Que ce soit ancré dans la réalité la plus pragmatique ou dans un univers d'imagination pure, la dimension philosophique voire métaphysique est bien présente dans chacun de ces textes, que cela porte sur le moi, sur l'autre, sur la famille, sur le passé, le présent, le futur, sur le monde - plusieurs des thématiques s'entremêlant bien souvent.



De l'intime à l'engagement, de l'art à la politique, ces textes illustrent comment les circonstances ont percuté, par le bouleversement de notre quotidien, notre être profond, notre rapport à nous-mêmes, aux autres et au monde. Quelques textes sont en lien avec des problématiques davantage liées à d'autres grandes thématiques de l'époque (telles que la place et le traitement des femmes). La grande variété d'écritures, de styles, de tons, se fait caléidoscope de ces expériences, de ces vécus, de ces réflexions, en même temps que panorama stylistique éclectique du théâtre contemporain.



Chacun sera plus ou moins touché par un texte ou un autre selon son histoire et/ou sa sensibilité, mais l'ensemble constitue un exutoire salutaire qui démontre à divers degrés, s'il en était besoin, l'absurdité d'une violence rare et d'une bêtise pharaonique véhiculée par les hautes sphères pendant cette crise, que le domaine de la culture (et donc ses professionnel.les... !?!?) était "non-essentiel".

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Ce qui (nous) arrive, tome 2

Ce qui nous arrive, ce titre est terriblement parlant pour certains textes. Dans ce livre on trouve de la littérature du théâtre dans des écrits qui sont nés pendant le confinement. Quelques écrits m'ont vraiment bouleversées, me bousculant par leur force, d'autres m'ont semblée plus hermétiques. il y a de la vie, de la malice, des parents, des souffrances et des peurs dans ces pages. Ces textes je les ai lu dans le désordre, en plusieurs jours, revenant sur certains. Sautant des passages d'autres pour finalement les relire. Julie Aminthe nous raconte les peurs enfantines avec des phrases courtes. ça claque et c'est tellement vrai. J'ai aimé Piéta par sa force émotionnelle. Superbe. D'autres m'ont surprises par leur violence. Ce qui nous arrive, un panorama étrange où le théâtre n'est jamais loin.

Ce livre je le pose et puis je le reprends pour apprivoiser ces histoires. Des textes qui deviendront des courts-métrages ou des saynètes. Joli travail de création dans des univers différents où la parole est au cœur de la vie.

Merci à Babelio et à Edition espaces 34 pour cette découverte.
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Peines mineures

Sociétal, engagé, lucide, ce récit choral, est la parole-née en littérature tant elle est spéculative et nécessaire.

« Peines mineures » jeunes filles à peine nées et déjà l'horizon sombre. Sans un effort surhumain: une peine mineure, elles ne pourront s'affranchir d'un passé et d'un présent à bout de souffle et lacéré. La mise à mort de la liberté.

Elles sont ici dans un centre éducatif fermé. « Stupéfiantes » Sara, Vanessa, Awa, Sakina, Billie, Cindy et Dakota, âgées de 13 ans 1/2 à 16 ans. Elles content, se délivrent, expliquent, se révoltent, n'osent plus croire en un lendemain meilleur. La délinquance, les faillites parentales, les foyers pour antre, tours de passe passe. Franchir la ligne jaune, même si.

« T'inquiète pas Sara, je sais que c'est dur, mais je sais que tu es courageuse. Quoi qu'il arrive tu sauras affronter ça ».

« On me ramène dans les cellules ; on me laisse fumer une cigarette dans le couloir, en attendant qu'un véhicule se libère pour mon transfert à l'établissement pénitentiaire ».

Vanessa : 14 ans, « je suis transférée de l'autre côté de la France. Dans un endroit fermé avec de gros grillages, au milieu d'un champ où il y a des vaches. Il y a un trou dans la haie. Je sais comment fuguer d'ici, je sais quand ». « La gare la plus proche est celle d'A. Sorti du train aucun panneau routier n'indique l'emplacement du centre éducatif fermé ». « Signe là s'il te plaît ».

L'arrivée au centre, et la barrière tombe. L'inventaire des affaires personnelles, changeant selon la personnalité, qui du petit carnet recouvert de stickers, un brouillon de lettre adressée à la juge par Sara,  « pardon de ne jamais prendre les bonnes décisions. Pardon de ne pas penser à l'avenir ». « Je dois payer pour ma violence ».

L'habitus carcéral, entre les consignes, les règlements, les amitiés ou disputes entre ces jeunes filles, parfois difficiles, tristes, démunies, violentes et sombres. Compter les jours, s'émanciper en silence et en sagesse, se soumettre, ensuite un stage en réinsertion: le Graal. Mineures et déjà si âgées. Comment se reconstruire lorsque l'image d'un père incestueux hante les nuits dans ce centre encore et pour longtemps. Abolir les vengeances. Dévorées de l'intérieur, effrontées souvent, vulnérables aussi, elles sont des funambules sur le fil tendu d'un lieu de justice et de lois à réapprendre. Comme un nouvel alphabet, une parole sacrée. « Dehors, c'est dur/ Prends-moi dans tes bras/ Et serre-moi fort ».

Paroles lianes, confidences, paroles sous surveillance, elles sont l'idiosyncrasie et l'épars qui s'assemblent dans un même mouvement, syllabe après syllabe. Entre les murs où sanglotent les regrets incompris encore.

Ce texte fondamental, écrit dans l'instant même, est vivant, crucial et percutant. L'intimité toute de pudeur et le respect pour elle, elles et ailes qui ont fauté. Recoller les morceaux, ensuite viendra le temps de franchir la clôture et de marcher pied-nus sur l'herbe pleine de rosée. L'espace entre ces mineures aux peines légères mais réelles, l'enfermement-punition, le verrou sur le coeur. Renaître.

Dans l'internat du Bon Pasteur à la fin des années 50, c'est un autre versant. La réhabilitation par la religion et l'éducation forgée selon les diktats de religiosité. Dans cette ère, la délinquance n'avait pas la même prononciation. On se demande si les Soeurs n'étaient pas sadiques, véritablement des ogresses, l'oppression avant tout. Remettre la jeunesse d'équerre. « Au Bon Pasteur nous redressions les fugueuses, les apaches, les crapuleuses, les prostituées, les errantes, les perverses, les voleuses, les rebelles, les insoumises, les invaincues, les hystériques, les vagabondes, les opposantes, les butées ».

Filles mal nées, « ni caractérielles, ni des traînées ». La malchance d'être du mauvais côté. La normalité, le conformisme, se fondre dans le rang d'une société qui montre du doigt les filles-mères, les amoureuses, les révoltées, les robes trop courtes et les regards farouches. Un pas de côté et on t'enferme. « Je vais lâcher les chiens dans la cour, au lit mesdemoiselles ». « Gisèle est envoûtée. Notre mission est de la redresser ».

« Peines mineures » de Sonia Chiambretto est collecte et devoir. Ce livre a un impact considérable sur nos consciences. L'acuité au garde à vous. Il est un outil pour les juges et les avocats (tes), les éducateurs (trices)… Un livre essentiel, politique, la parole libérée. Un livre de salut et d'utilité publique. « Peines mineures » est né d'une version scénique écrite. Le langage en pleine lumière. La parole vraie des jeunes filles du centre éducatif fermé qui ont toujours confié leurs paroles pour Sonia Chiambretto. Publié par les majeures Éditions L'Arche « Des écrits pour la parole ». L'oralité en diapason.

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Peines mineures

Poésie documentaire sur l’enfermement carcéral d’adolescentes dont nous entendons ici colère, parcours cabossé, la très grande vivacité face à l’inflexible d’un système qui, hier comme aujourd’hui, les condamne et les relègue. Par un patient travail de l’oralité, par une versification de ce quotidien documenté, son abrupt prise de langue qui en dit tant, par aussi la froideur administrative qui fort mal tente de légitimer cet enfermement, Peines mineures donne à entendre cette jeunesse trop souvent invisible. Avec empathie, sans fard pourtant, Sonia Chiambretto signe un livre témoignage sur l’échec que représente cet enfermement, sur la nécessité de transmettre la parole.
Lien : https://viduite.wordpress.co..
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Ce qui (nous) arrive, tome 2

Tout d'abord, grand merci à masse critique et aux éditions espace 34 pour l'envoi de cet ouvrage ;-)



Le point de départ de ce recueil a été le covid, le confinement, les changements que tout cela entraînaient pour les artistes. Nous sont présentés 15 textes écrits sous le thème "Ce qui (nous) arrive".

Nous y trouvons de la poésie, du théâtre, des monologues (je viens d'apprendre le mot "soli"!) ; 15 textes pas très gais, parfois noirs, souvent poétiques, et pour la plupart très joliment écrits. Il y a des auteurs avec qui 'ai vraiment accroché, tel Thibault Fayner avec "La maladie", mais aussi Jean-René Lemoine avec "Piéta" ou encore Fanny Mentré avec "L'aube adamantine" pour n'en citer que trois. Il y en a d'autres que j'ai détesté, mais je crois que par là-même le pari est réussi : donner à voir, à sentir, ces voix qui nous parlent aussi de nous, donner à rêver, mais aussi à interpréter chacun à sa guise, avec des styles très différents où chacun peut trouver sa perle.

Une belle réussite, bravo !
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Zone Education Prioritaire

Deux lycéennes, Kate et Bone, nous font faire la visite de leur lycée. Visite très schématique, plan à l’appui, et très ironique. L’institution en prend pour son grade : la sortie pédagogique tournée en dérision, la Sécurité des élèves assimilée à Big Brother, les jeux de cour des jeux de guerre (avec panel ethnique des guerres du monde, ce passage-là est d’ailleurs le plus complexe à comprendre), les règles rendues stupides…etc. Tout ça écrit un peu comme si elles écrivaient à leur tour cette drôle de visite, les coups de gommes et les rires pleuvent. De bons passages plutôt fendarts sur les gothiques skatters, les habitudes des profs, la course au self…etc. Mais pas simple à lire, mise en scène nécessaire pour tout suivre. Où l’on touche les limites de la lecture du texte de théâtre.
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Peines mineures

Un livre choc, une œuvre construite avec des témoignages, dans des formes très libres. La parole est donnée à des personnes qui, d'habitude, ne l'ont pas. Un récit nécessaire pour comprendre un petit peu la réalité et le quotidien de ces jeunes filles qui arrivent en centres éducatifs fermés. J'aurais aimé en lire plus et, pourquoi pas, avoir une partie un peu plus de contexte historique, politique... J'irai chercher cela dans d'autres ouvrages mais je vous conseille tout de même fort chaleureusement celui-là !
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Confession, Charles Baudelaire : Une fois, une seule, aimable et douce femme, A mon bras votre bras poli S'appuya (sur le fond ténébreux de mon âme Ce souvenir n'est point pâli) ; Les rimes sont :

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