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Critiques de Sonia K. Laflamme (56)
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Intra Muros

Polar pour la jeunesse qui est extrêmement bien structuré, qui maintient le lecteur alerte et qui expose une certaine critique sociale par la même occasion. J'avais déjà lu Amnésia de la même auteure, roman que j'avais adoré et qui m'avait donné envie de lire celui-ci. Intra-Muros est aussi bon qu'Amnésia, on reconnaît d'ailleurs le style de l'auteure. Les personnages sont à la fois attachants et bien définis psychologiquement (ce qui est somme toute assez rare en littérature jeunesse, surtout pour un roman policier). le contexte est celui d'un quartier cossu carrément barricadé et sécurisé au maximum par un expert en informatique et en sécurité. Malgré tout, des événements laissent croire que quelqu'un de l'extérieur est capable de s'introduire entre les murs de la cité. De plus, lorsqu'un crime y est commis, les spéculations vont bon train: le quartier est-il aussi sécuritaire que le prétend le chef de la sécurité? Quelqu'un de l'intérieur peut-il avoir commis un crime? Les voisins sont-ils ce qu'ils prétendent être?



Un roman envoûtant qui se lit d'une traite et qui donne également envie de lire d'autres romans de Sonia K. Laflamme. Je vais recommander cette lecture à mes élèves du deuxième cycle du secondaire.

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Scène de crime

Très court roman avec une chute (fin inattendue). C'est intrigant, mais beaucoup trop court pour mon goût, rien n'est approfondi.
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L'affaire Saint-Aubin

Meilleur que le tome 1, ce roman est la suite de la relation trouble entre Johanne et Philippe, maintenant adolescents (2 ans se sont écoulés). Toujours partagée entre son attirance et sa peur d'être manipulée par Philippe, Johanne prend le parti de le croire innocent de la mort suspecte de sa sœur aînée. C'est bien la seule, car tous les autres habitants de même que les policiers l'ont déjà condamné. Sera-t-elle déçue de s'être fait encore avoir par Philippe ou au contraire saura-t-elle démontré qu'elle seule avait raison? C'est encore une fois une enquête intéressante (mais très brève) que même la jeune fille. À la fin du roman, il y a une apparition de l'enquêteur Sarto que l'on retrouvera dans les romans plus récents de l'autrice. D'ailleurs, bien que ce récit policier soit assez intrigant pour être proposé aux élèves (surtout aux lecteurs moins attirés par les histoires volumineuses), on est bien loin des enquêtes beaucoup plus fascinantes de Sarto (Amnésia, Intra-Muros).
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La Main de fer

Même si j'ai moins apprécié ce roman qu'Amnesia et Intra-Muros de la même auteure (et avec le même personnage d'inspecteur), je l'ai tout de même trouvé très intéressant et intrigant. Il s'agit évidemment d'un autre roman policier qui met en scène, cette fois, des élèves d'une école secondaire de la Cité. Le personnage central meurt assez rapidement mais sera au cœur de toutes les discussions: Kristofer Gunnarsen, solitaire, premier de classe en science, immigré norvégien qui passe tous ses temps libres dans son laboratoire dans le sous-sol de sa maison à travailler sur un mystérieux projet qu’il envoie à un concours. Sa voiture explose et c'est l'enquêteur Sarto Duquette qui suivra les nombreuses pistes de cette affaire (assurance vie d’un million de dollars, petite amie qui cache des informations à la police, organisateurs du concours qui disparaissent, Philippe Mandeville, élève avec qui il a eu de multiples accrochages en classe, ...) Bon suspense qui saura maintenir le lecteur adolescent en haleine.
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Amnésia

Roman policier jeunesse (plus près du polar) très mystérieux qui met en scène un jeune adulte qui se réveille dans une clinique privée amnésique. Il ne sait plus qui il est, il n'a aucun souvenir de sa vie et aucun parent proche pour l'aider à retrouver le fil de sa mémoire. Il fera donc enquête seul, après avoir découvert de premiers indices épouvantables sur ce qu'il est et ce qu'il aurait fait, afin de savoir s'il est réellement capable de gestes criminels. Plusieurs personnages plus ou moins louches (anciens proches) le mèneront parfois sur des fausses pistes ou lui donneront de nouveaux éléments sur lesquels enquêter. Son histoire est captivante pour le lecteur qui a très envie, lui aussi, de connaître le vrai Matis et les raisons pour lesquelles on essaie aussi fort de lui faire croire autre chose que la vérité.
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Intra Muros

Je n'ai pas très bien compris l'histoire...
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Le grand jaguar

Roman initiatique qui se lit bien sans être véritablement enthousiasmant. Le début est meilleur que la suite, alors qu'on découvre un personnage principal arrogant, superficiel et ayant uniquement des amis "achetés". Il est intéressant de le voir perdre ce qu'il a et réaliser que l'amitié et l'amour de ses amis et de sa petite amie ne sont que du vent. Toutefois, son voyage au Guatemala est un peu trop rapide pour être véritablement intéressant ou significatif. De même, le changement du personnage principal est peu crédible de par sa rapidité (ou par le peu de pages pour approfondir ce changement).
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Le Catnappeur

Roman policier jeunesse très court qui met en scène des jeunes du primaire, mais dont le vocabulaire et la complexité de l'histoire fait en sorte que le récit s'adresse plutôt aux jeunes du secondaire (premier cycle). Le fait que les personnages soient au primaire risque toutefois de déplaire à ce lectorat-cible et empêcher d'apprécier l'intrigue à sa juste valeur. Récit qui n'est pas déplaisant, qui intrigue, mais qu'on oublie rapidement: rien à voir avec les romans plus étoffés de l'autrice comme Amnésia ou Intra-muros.
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13 peurs

Je n'ai vraiment pas été impressionnée par ce recueil de nouvelles littéraires, au contraire, j'ai trouvé les nouvelles d'ennuyantes à carrément dégueulasses à lire (déplaisantes, même - surtout - pour des ados). À éviter!
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Klondike, tome 1 : La ruée vers l'or

Une plongée dans le Canada de la ruée vers l'or, plutôt bien documentée.



On vit la grande aventure américaine (ouais le Canada c'est en Amérique, les USA ont pas l'exclusivité), les difficultés d'une crise économique terrible, les espoirs souvent vains des aventuriers, la brutalité des brigands, le racisme envers les autochtones, la merveilleuse entraide qu'on peut avoir dans les milieux ruraux entre voisins.



et j'ai été plus qu'être sidérée par le courage et la totale inconscience de ces pionniers qui se trimbalent une tonne de vivre sur le dos par l'hiver du grand Nord. Des grands malades quoi.



Nicolas a beau être le personnage principal, c'est aussi le moins intéressant. Il ne pense jamais à rien, a une chance de c*** parce qu'il arrive toujours a se faire tomber la solution sur la tête. Les autres sont mieux. On suit plusieurs points de vue différents, Nicolas et ses compagnons de voyages, les frères Dubois et la famille Aubry qui tente de reconstruire et même sur la fin, celui d'une jeune fille que Nicolas a rencontré dans son train.



Chacun aborde des problèmes très différents mais ne manque jamais de courage. Avec des motivations plus ou moins claires ou louables suivant les personnages, bien entendu.
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La Nuit de Tous les Vampires

Roman jeunesse à la fois amusant et intrigant à propos de vampires. C'est un genre peu traité dans la littérature québécoise jeunesse, il est intéressant de constater que c'est très différent que ce qu'on retrouve dans la littérature états-unienne qui utilise abondamment ce sujet. Le roman est un peu trop court pour être véritablement satisfaisant (ce qui plaira tout de même aux lecteurs peu habiles), mais il présente un bon moment de lecture avec des actions originales.
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L'affaire Saint-Aubin

J'ai bien aimé le roman L'affaire Saint-Aubin à cause des personnages qui sont très détaillés et attachants. C'est le personnage de Johanne que j'ai le plus aimé en raison de son caractère déterminé. Je ne lis pas beaucoup de romans de ce genre, mais je trouve que L'affaire Saint-Aubin est un bon livre pour commencer!
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Klondike, tome 1 : La ruée vers l'or

moi dans opinion Klondike n’était pas in roman intéressant. Quand je suis triste à les étudiant d’avoir cette opurtunity. To conclude my preach of statement I hope that the author of the book redices his life choices and hope that he makes a better book
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L'affaire Saint-Aubin

Ce roman policier intrigant est un œuvre littéraire fantastique. Le texte était très bien rédigé et le vocabulaire était très enrichît. La page de couverture était très belle et comprenais quelques indices discrèt comme le bain car ont sais plus tard que la victime est morte à l'intérieur. Je recommande ce livre aux amateurs de roman policier.
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L'affaire Saint-Aubin

J'ai beaucoup aimé l'affaire Saint-Aubain pour plusieurs raisons. Prémièrement, j'ai beaucoup aimé les personnages. En particulier Johanne, elle est déterminer, elle n'a pas peur d'afficher ce quelle pense et est très déterminer. Deuxiémement, j'aime beaucoup le fait que l'histoire se passe dans un endroit réel. durant le livre, ils parlent de l'université Laval et je trouve que ça apporte à l'histoire un petit plus.
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Klondike, tome 1 : La ruée vers l'or

Ah l'aventure, ce mot magique qui nous porte à nous dépasser ! Le roman jeunesse de Sonia K. Laflamme utilise différent prétexte pour amener son jeune Nicholas Aubry dans le Klondike. Malgré un certaine recherche de l'écrivaine pour nous faire voyager en 1898, ce roman du style terroir ne m'a pas tellement plus. Tout vient d'un coup et on sent qu'elle veut mettre des épreuves à son protéger (Nicholas autant que le lecteur afin d'étirer la sauce pour d'autres tomes). L'écriture est simple, on joue sur des personnages inspirer d'Harry Potter quand même (deux gars, un fille; un amérindien, une voleuse de riche, un pauvre fermier sans un sou). Dommage que la plupart des personnages ne sont que des esquisses autant les principaux que les secondaires. Pour le Klondike une seule série m'a enchanté et c'est celle de Mylène Gilbert-Dumas (Lili Klondike)
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Dopamine, tome 1

Après, entre autres, 29 romans, cinq documentaires et 9 nouvelles pour la jeunesse, Sonia K. Laflamme, originaire de Saint-Romuald, en banlieue de Québec, publie une première fiction pour adultes : Dopamine, « Un polar qui secoue » comme son éditeur en fait la promotion. Un slogan au double sens qu’on découvre en cours de lecture.



Sept jours d’enquête policière, à l’automne 2019, dirigée par le lieutenant-détective à la tenue vestimentaire monochrome, Louis Samson, de la police de Montréal, assisté de son adjointe Lili Chang – en trame de fond – et la maladie de Parkinson, qui occupe tout l’espace littéraire en avant plan. Le tout interrelié dans un scénario classique procédural : scène de crime, interventions des techniciens du laboratoire médico-légal…



« Dans la chambre, le corps de […] avait disparu. Il ne restait que deux techniciens de la Scientifique qui retiraient les draps du lit. Ils placèrent sous la zone contaminée par le sang de la victime une bande de plastique, puis une seconde par-dessus afin d'éviter que les substances corporelles n'imbibent les parties intactes du tissu lors du pliage. Ils ramenèrent ensuite les quatre coins du drap vers son centre, le plièrent trois fois de suite et le glissèrent dans un sac de papier avant de retourner au laboratoire, situé dans le même immeuble que la Centrale. »



… diagnostic du médecin légiste, recherches et rencontres de témoins et de suspects, visionnement de caméras de surveillance, présence policière aux funérailles, tableau d’enquête, hypothèses et contre hypothèses, fausses pistes, pression du supérieur immédiat... À noter, par contre, l’absence des médias, généralement intrusifs au cours des investigations.



D’entrée de jeu, dès le premier chapitre, le meurtre est commis…



« La mort étendit son bras et distribua sa propre justice. Un coup de feu déchira la nuit. »



« L’auréole de sang se propageait. Elle absorbait la vie, gourmande et impitoyable. »



…dans des circonstances qui m’ont paru plutôt invraisemblables. Je vous laisse le découvrir.



Et, pendant 350 pages, le titre du récit trouve sa justification dans la définition de la dopamine énoncée en couverture de première :



« DOPAMINE [dopamin] n. f.

1. Neurotransmetteur.

2. L'une des quatre hormones du bien-être, avec la sérotonine, l'endorphine et l'ocytocine, secrétées par le cerveau humain.

3. Hormone du plaisir immédiat que le cerveau associe à un sentiment de satisfaction, comme c'est le cas, par exemple, pour un orgasme sexuel et différentes addictions.

4. La dopamine assure, entre autres, la coordination des mouvements en transmettant l'information d'un neurone à l'autre. On dit que, lorsque le diagnostic de la maladie de Parkinson est rendu par le médecin, le patient a déjà perdu environ 75 % des neurones dopaminergiques, lesquels produisent la dopamine. »



Et dans les effets indésirables de la médication prescrite aux patients atteints par cette maladie neurodégénérative irréversible : le pramipexole, entre autres, sur l'hypersexualité et la levodopa qui possède la particularité de pouvoir être transformée directement et naturellement en dopamine dans le cerveau. Le comportement de Julie Hamelin multipliant les aventures d’un soir, personnage féminin principal imaginé par Sonia K. Laflamme qui souffre elle-même de cette maladie depuis une quinzaine d’années et qui en connaît bien les divers enjeux, en est une parfaite illustration :



« Ses pulsions et ses fantasmes se trouvaient exacerbés par un des trois médicaments qu'elle prenait, soit le pramipexole. Elle ingurgitait six doses de 0.5 milligramme par jour. Il avait la réputation d'induire des troubles compulsifs comme effets secondaires indésirables, tels que le jeu pathologique, des dépenses excessives et non justifiées, la boulimie, une augmentation importante de la libido... Le médicament, connu aussi sous le label Mirapex, avait été rebaptisé Mirasex par Julie. Et pour cause, puisqu'il lui faisait miroiter la recherche du bien-être, engendré par les plaisirs charnels avec un partenaire ou en solo, comme une solution avantageuse à la production naturelle de dopamine dans son cerveau. Ce moyen se révélait cependant efficace que pour une courte durée. Si Julie se portait beaucoup mieux au lendemain d'un orgasme sexuel – elle observait toujours une diminution de l'ensemble de ses symptômes –, tout était à recommencer le soir venu. Encore et encore. Elle se trouvait ainsi plongée dans un cercle vicieux, une centrifugeuse qui l'aspirait et la maintenait dans un certain état de dépendance, recherchant le vertige de la récompense sans fournir au préalable l’effort pour la mériter. »



S’ensuit un récit troublant de sensualité exacerbée, d’infidélités conjugales imbriquées, de défis malsains d’un « club d’investissement » à savoir « qui baiserait le plus de filles » pendant 15 ans :



« Tous les ans, on se réunit pour authentifier les preuves, soit les photos des filles inscrites sur chacune des listes de l'année. On profite de l'occasion pour renouveler notre cotisation annuelle, fixée à mille dollars chacun, et de l'investir dans un fonds négocié en Bourse en haute technologie. Les frais de gestion sont minimes et le risque, très élevé. […] Avec les intérêts composés et malgré la fluctuation de la devise canadienne, notre cagnotte représente une jolie somme. […] on devrait atteindre les sept cent cinquante mille dollars canadiens l'an prochain. À moins d'un effondrement de la Bourse, c'est ce qu'empochera le vainqueur. »



L’auteure ayant étudié la criminologie est aussi en mesure de dresser le portrait psychologique d’un meurtrier :



« Les délinquants ont tendance à agir à l'intérieur de leur propre groupe ethnique.

[…] Quatre raisons fondamentales poussent un individu à commettre un crime : la jalousie, la vengeance, l'argent et le désir de dominer.

[…] Le passage à l'acte dépend de trois conditions sine qua non : une motivation, des moyens et une occasion. Lorsqu'elles sont réunies, elles permettent au délinquant d'évaluer si le jeu en vaut la chandelle. C'est le principe du choix rationnel. [Le] ‘’ rationnel ‘’ n'équivaut pas ici à un choix objectif, rigoureux ou scientifique. Ce choix n'est rationnel que par rapport au vécu, aux sentiments, aux attentes, aux griefs personnels de la personne qui le fait. D'où l'importance de se mettre dans sa peau afin d'établir le meilleur profil possible. Ce qui prend du temps et un certain entraînement. »



J’ai noté au passage quelques réflexions intéressantes, dont celles-ci :



« … les gestes d’une personne momentanément lâche marquent toujours davantage l’imaginaire collectif qu’un cursus sans réels faux pas. »



« … nous sommes un peu comme les écrivains: quand on n'écrit pas, on pense à ce qu'on va écrire et à la manière de raconter les choses. Le cerveau ne s'éteint jamais. Il n'y a pas de commutateur. »



Et également les détails cliniques sur la stimulation cérébrale profonde comme solution pour réduire pendant une dizaine d’années la consommation de pramipexole :



« Le traitement se faisait en deux étapes. Au cours d'une première opération, on pratiquait deux petits trous dans la calotte crânienne et on insérait des électrodes dans le cerveau, jusqu'au noyau sous-thalamique. La cible anatomique de chaque électrode ayant été déterminée au préalable par imagerie médicale. Au cours de cette étape, l'anesthésiste faisait alterner chez le patient les périodes de sommeil et de veille afin que le neurochirurgien vérifie le bon emplacement des électrodes. Il soumettait alors le patient à de légers exercices de coordination manuelle, visuelle et vocale.



L'observation des effets instantanés des électrodes sur le corps lui permettait de corriger leur positionnement au besoin.

Quelques jours plus tard, lors d'une seconde intervention chirurgicale, on reliait avec des fils les électrodes à un neurostimulateur qu'on implantait dans la poitrine du patient, de la même manière qu'un stimulateur cardiaque.



[…] En prévision du traitement, elle devait se soumettre à une batterie de tests préopératoires : prélèvements sanguins, électrocardiogramme, évaluation psychologique, tests cognitifs, physiothérapie, imagerie par résonance magnétique, réactivité à la lévodopa... »



Écrit dans un style fluide, Dopamine sait garder notre intérêt jusqu’en finale plus ou moins prévisible. Sonia K. Laflamme nous offre une lecture à la fois divertissante et pédagogique qui mérite de s’y intéresser. Si on doit se fier au site Babelio, une suite serait à prévoir.



Un dernier commentaire : est-ce parce que ce roman écrit par une Québécoise est publié chez un éditeur de l’Hexagone qu’on dénombre plus d’une dizaine de « du coup », expression favorite des Français ?



Au Québec, vous pouvez commander et récupérer votre exemplaire auprès de votre librairie indépendante sur le site leslibraires.ca.





Originalité/Choix du sujet : ****



Qualité littéraire : ****



Intrigue : ***



Psychologie des personnages : *****



Intérêt/Émotion ressentie : ***



Appréciation générale : ***1/2


Lien : https://avisdelecturepolarsr..
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L'affaire Saint-Aubin

J'ai bien aimé le livre de L'affaire Saint-Aubin en général. J'ai beaucoup aimé les personnages surtout celui de Johanne puisqu'elle est très déterminer, curieuse et veut aider son ami Philippe. Également, le format du livre est bien parce qu'il n'était ni trop long, ni trop court et pouvait bien se lire. 4/5
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L'affaire Saint-Aubin

L'affaire saint-Aubin est un livre intriguant avec déroulement inatendu très bien écrit et qui du prendre pas mal d'étude pour l'écrire plutôt court mais passionant du début à la fin
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L'affaire Saint-Aubin

Appréciation générale 5/5



L'affaire Saint -Aubin est un livre que j'ai particulièrement apprécié. En effet, j'ai adoré le personnage de Johanne, car elle est très curieuse et veut aidé son ami Philipe. De plus, la fin est surprenante, je ne n'y attendais vraiment pas. D'habitude, je devine la fin très vite après avoir commencé ma lecture, mais cette fois-ci, j'ai été très surprise! Aussi, j'ai aimé le format du livre (court), car c'est un livre que l'on pourrait facilement lire en attendant l'autobus ou dans la voiture. Finalement, j'ai aimé essayer à mon tour de décoder des codes inventés par mes amies. Bref, une très bonne histoire pour les plus petis et les plus grands.
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