Un an plus tard, la consultation du rapport de synthèse 2003 me conduit à poser cette question simple à Marie-Pierre de La Gontrie : « Pourquoi ne pas publier, dans un souci élémentaire de transparence, la liste des associations subventionnées ? » La réponse vaut son pesant de langue de bois : « Cela n’offre aucun intérêt de présenter une liste. La plupart de ces associations, personne ne connaît. Tout le monde s’y perdrait. » Retenons donc cette leçon de transparence : la répartition par direction ou par montant intéresse les vrais citoyens, mais seuls les tordus, les malveillants, veulent des noms.