Nationalité : France
Né(e) : 1973
Né(e) : 1973
Biographie :
Née en 1973, Sophie Villers nourrit très tôt un amour inconditionnel pour les livres en fréquentant la bibliothèque municipale de son quartier. Dès douze ans, elle se lance dans l'écriture sur un cahier qui la suit partout, mais garde secret ce qu'elle y note et fait en parallèle carrière en qualité de manager dans le domaine de la mode, sans jamais se départir de son amour pour l'écriture. C'est pour se relever du décès de son mari, qu'elle décide de livrer dans son premier roman, N'oublie pas de laisser la place à l'inconnu(e), le récit transcendé de sa douleur, de ses espoirs, et de sa résilience.
Née en 1973, Sophie Villers nourrit très tôt un amour inconditionnel pour les livres en fréquentant la bibliothèque municipale de son quartier. Dès douze ans, elle se lance dans l'écriture sur un cahier qui la suit partout, mais garde secret ce qu'elle y note et fait en parallèle carrière en qualité de manager dans le domaine de la mode, sans jamais se départir de son amour pour l'écriture. C'est pour se relever du décès de son mari, qu'elle décide de livrer dans son premier roman, N'oublie pas de laisser la place à l'inconnu(e), le récit transcendé de sa douleur, de ses espoirs, et de sa résilience.
Source : https://www.fayard.fr/auteurs/sophie-villers
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"N'oublie pas de laisser la place à l'inconnu(e)" de Sophie Villers
Citations et extraits (10)
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Maintenant qu’elle est partie, il se rend compte qu’il n’avait pas de réel amour pour Tiphaine. C’était l’idée de l’amour qu’il aimait. L’envie de vivre pour, et à travers, quelqu’un. D’aimer l’autre à un point tel que tu n’as rien à lui promettre, juste à tout lui donner. Savourer ce qu’il t’offre en retour, en étant simplement là.
Elle est veuve.
Un mot de vieille. Un mot qui fait devenir laide, ridée et courbée. Et c’est ainsi qu’elle se sent, à l’intérieur : sèche et morte.
Un mot de vieille. Un mot qui fait devenir laide, ridée et courbée. Et c’est ainsi qu’elle se sent, à l’intérieur : sèche et morte.
l'espoir est la seule chose qui te reste quand tu n'as plus rien. Le perdre est un luxe que je n'ai jamais pu m'accorder. Ceux qui le peuvent n'ont pas eu de véritables chagrins. Ils se complaisent dans une forme de victimisation qui les remplit puisqu'ils pensent qu'il leur manque l'essentiel faute de n'avoir pas assez souffert pour comprendre le sens de la vie. Alors que l'essentiel, justement c'est de vivre. Peu importe le reste, puisque tout peut s'arrêter un jour...
il suffit parfois d'un instant pour que la vie bascule ... Un seul petit mot ... Celui de l'annonce qui s'est résumé pour eux en un petit " désolé" .
Elle est veuve. Un mot de vieille. Un mot qui fait devenir laide, ridée et courbée. Et c’est ainsi qu’elle se sent, à l’intérieur : sèche et morte.
L'amour n'a pas de règles établies, Sarah. Il s'abat sur nous comme la foudre sur un arbre. Sans choisir. Sans prévenir. Et on ne peut décider d'en être touché ou non.
Nous cherchons trop souvent ce qui n'existe pas voyez vous ? Le secret est souvent de se laisser guider , tout simplement. De s'ouvrir à la beauté et à la magie de l'instant présent. Mais nous oublions tous cette vérité. Celle qui consiste à vivre avec l'univers dans toute sa complexité et ses grands cadeaux, même quand ils sont apparemment trop petit. La gratitude est la porte secrète, laissez vous guider .....
Nous devions nous aimer, c'était écrit la-haut. Les âmes sœurs finissent par se trouver quand elles savent attendre.
Elle le sent. Il n'est plus là et s'est amusé à céder la place à un inconnu virtuel qu'elle ne verra probablement jamais. Elle n'en veut pas dans sa vie. S'attacher à quelqu'un, c'est se mettre en danger...
C'est accepter que les choses tournent mal un jour ou l'autre. C'est finir par rester seule, clouée au sol.
C'est accepter que les choses tournent mal un jour ou l'autre. C'est finir par rester seule, clouée au sol.
"Mon enfant,
Quarante ans de bonheur à tes côtés.
Ne change rien, reste curieux de tout sans jamais te lasser de rien... Mais dans ta quête de découverte, nous te demandons : n'oublie pas de laisser de la place à l'inconnu(e)...
Tes parents qui t'aiment."
(p. 83)
Quarante ans de bonheur à tes côtés.
Ne change rien, reste curieux de tout sans jamais te lasser de rien... Mais dans ta quête de découverte, nous te demandons : n'oublie pas de laisser de la place à l'inconnu(e)...
Tes parents qui t'aiment."
(p. 83)
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