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3.57/5 (sur 41 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Bronx, New York , le 27/01/1959
Biographie :

Stefan Petrucha est auteur de romans graphiques et de livres pour jeunes adultes.

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Bibliographie de Stefan Petrucha   (17)Voir plus

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Citations et extraits (19) Voir plus Ajouter une citation
« Aujourd’hui, le chien est mort. Ou peut-être hier, je ne sais pas.
Allez, les gars, vous ne voyez pas qu’il souffre ?
C’est encore plus flippant que de regarder pleurer Hulk »
(Page 127)
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A part ça... bon, si ça vous intéresse vraiment, vous n'aurez qu'à lire mes comics. A moins que vous soyez du genre "Oh, je ne lis que des livres, parce que je suis trop intelligent, la la la, regardez comme je suis intelligent."
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Ça ne le tue même pas, parce qu'il n'est pas vraiment mort. Pas parce qu'on se souviendra toujours de lui. Mais puisqu'il peut se régénérer, chacune de ses cellules est vivante. Simplement, au niveau collectif, il est réduit à l'état de grosse flaque rose qui ondule. Chaque élément rappelle un peu moins Goom, la Chose de la Planète X que Point, le Machin à la Fin de cette phrase.
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Petite fille : Papa Noël ?
Deadpool : Mais quoi, encore ?
Petite fille : J'ai soif.
Deadpool : Petite, il est très tôt. Papa Noël a eu une sale nuit, il est un peu de mauvaise humeur. SI je t'apporte un verre d'eau, tu me promets de la fermer et de te rendormir ? Sinon Papa Noël va faire des trous dans tes murs. Tu comprends ?
Petite fille : D'accord.
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Vous savez, la téléportation, c'est parfois pénible pour les auteurs. Si un personnage peut aller où il veut, quand il veut, où est la tension ? C'est pourquoi il y a toujours un charabia intergalactique qui vient perturber les compensateurs d'Heisenberg. Dans mon cas, ce n'est pas un problème parce que je ne suis pas ce qu'on appelle un acteur rationnel. Comme on l'a déjà vu, je n'irais jamais utiliser mon téléporteur pour gâcher une séquence de bataille intéressante. Je suis plutôt du genre à me téléporter dans une situation pire, ou de surprendre tout le monde en laissant complètement tomber l'intrigue pour aller buller sur la plage. (SPOILER : vous verrez tout à l'heure).
Mais c'est pratique pour éliminer les parties chiantes dont on peut se passer, comme moi qui tente d'arrêter un taxi, ou les regards louches dans le métro. Je ne veux pas vivre ça, vous ne voulez pas lire ça, alors... Bamf.
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« — Je sais pas comment t’as survécu, et je m’en fous. Rends-moi le chien, ou je te décime !
J’éclate de rire.
— Tu vas me détruire à dix pour cent ?
— De quoi ? crache-t-il en tournant la tête comme s’il se vexait.
— Décimer, boite de conserve, ça veut dire tuer une personne sur dix. Tu me crois pas ? » ---
(page 10)
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Au lycée Lake Crest, ce mercredi matin, personne ne s'étonna de l'absence de Nicolette Bennington. Nicki - ou Psycho Nic, comme on la surnommait en chuchotant - séchait régulièrement les cours. Quand elle n'avait pas d'ennuis à l'école, elle s'en attirait à la maison ou ailleurs. Ses camarades la trouvaient tantôt fascinante, tantôt hilarante. On ne s'ennuyait jamais avec elle. Elle ne s'amusait pas à inventer des blagues mesquines pour ridiculiser les gens; elle étant plutôt du genre agitatrice née. Un jours, se faisant passer pour aveugle, elle avait promené Hamlet, le dogue allemand de son père, à travers le centre commerciale; arrivé aux restaurants, le chien s'était promptement soulagé sur un stand de condiments. Dans le rayon femme de Foot Locker, il s'était découvert un grand appétit pour une paire de Reebok qu'il avait volée sur un présentoir, avant de la mâchouiller avec délectation. Au vendeur qui s'était précipité pour sauver la chaussure trempée de brave, Nic avait tendu une carte de crédit en disant :

- Désolée, mais franchement, vous devriez le remercier : ces godasses ne sont plus du tout à la mode.
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« Mais comme l’ont dit les Charlots (ou John Lennon, ou Hergé) : « La vie, c’est ce qui se passe pendant qu’on prévoit autre chose. » »
(Page 54)
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Si seulement j'avais mon truc à la main, je pourrais lui balancer une bonne giclée. Oui, forcément, si vous sortez ça du contexte...
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« Les bonnes sœurs commencent tout juste à lever le nez lorsque la bête annonce fièrement :
— Je suis GOOGAM, fils de…
Bon, bref.
Je lui tire dessus. Il se liquéfie. Fin de l’histoire »
(Page 100)
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