Stefano Martino

BANDE DESSINEE / HEROIC FANTASY

Dans ce 2e tome Leoden le roi de l'Atlantide a retrouvé ses esprits grâce à son frère Eoden revenu d'exil, mais il leur faut au plus vite renouer et resserrer les alliances de l'empire pour affronter l'ennemi. Car si le grand prêtre Hak-Na est en fuite, c'est que pour mieux contre-attaquer en fomentant de nouveaux complots et de nouvelles révoltes pour affaiblir les Atlantes.



Mais la menace la plus inquiétante pour l'Atlantide c'est les armées de Mu dirigées par le général Thorun. Il y a 10 ans Thorun a pris un bras à Eoden, et Eoden a pris un oeil à Thorun. Les deux ont donc des comptes à régler et seul un nouveau duel à mort entre les deux combattants pourra mettre fin à la haine qu'ils nourrissent l'un pour l'autre. Les premières escarmouches entre les deux camps nous promettent donc plein de bruits et de fureur…

Du coup on se demande quelle mouche a piqué le récit pour qu'on mette en avant la reine et l'inventrice qui veulent prendre la défense des minorités ethniques de l'empire ! Serait-ce une pointe de wokisme malvenue ???



L'auteur italien Stefano Martino se décarcasse pour faire de l'epicness to the max. Et c'est vrai qu'en cours de lecture j'ai senti l'ombre de Frank Frazetta ici et là, mais c'est encore un peu trop « gentillet » et l'étincelle n'est pas devenue brasier. Dans tous les cas lui et son cycle ne déméritent pas !

Suite du combat entre le couple régnant sur l'Atlantide et leur ex grand prêtre Hak Na. Aidé par le retour d'Eoden le frère du roi, ce dernier se remet de l'empoisonnement méthodique diligenté par le prêtre félon. Rapidement celui ci a trouvé de nouveaux alliés, le peuple de Mu, qui sera mené par Thorun, ennemi particulier d'Eoden. L'intrigue est assez limitée, tous les rebondissements vont vers une ultime confrontation entre les antagonistes, mais il faut reconnaitre que les combats sont spectaculaires, et le graphisme est dynamique et percutant. idéal pour les amateurs des histoires de Conan le barbares.

Maintenant que le roi de l'Atlantide a retrouvé ses esprits, que le grand prêtre est en fuite, il faut encore renouer avec les anciens alliés. Le royaume de Mu va profiter de la faiblesse du mythique continent.



Un second tome dynamique avec des royaumes qui se préparent à la guerre, cela offre des belles planches de combats.

Le passé rattrape Eoden puisque que le chef de l'armée adverse n'est autre que Thorun qu'il a déjà combattu il y a dix ans. Eoden lui avait pris un œil, Thorun lui avait pris un bras...

Une bd très agréable à lire et aux dessins parfaitement maîtrisés.

Eoden vit seul depuis 10 ans sur un îlot isolé. Quand il a perdu son bras, il a laissé son frère monter sur le trône de l'Atlantide et épouser son amour de jeunesse. Mais un vieil ami vient solliciter son aide : le roi perd la raison, drogué par le grand prêtre qui lui fait prendre mauvaises décisions sur mauvaises décisions menant l'Atlantide au bord du gouffre.



Le scénario peut sembler un peu classique mais il faut avouer que cela fonctionne à merveille.

Eoden est un fabuleux guerrier qu'un bras en moins s'amoindrit même pas. Du genre bourru et solitaire, il est celui qui peut sortir son frère des griffes de son psychopathe de grand prêtre.

Le dessin de Martino est très bien fait. Il apporte du soin dans les paysages et les visages des personnages sont particulièrement bien réalisés.

Eoden, le frère du roi Leoden est rentré à Atlantide après un exil de dix ans.

L'heure est grave, et il n'y a plus de place pour la rancœur ou le ressentiment, Atlantide est en très grand danger.

Le grand prêtre Hak-Na est en fuite, mais ce n'est que pour mieux attaquer avec l'aide de Thorun, commandant en chef de l'armée de Mu.

Thorun a un compte à régler avec Eoden, il lui doit la perte de son œil lors d'un combat, et même si Eoden y a laissé un bras, seule la mort de l'autre pourra satisfaire le survivant.

Mais il existe aussi une autre vérité sur la puissance d'une armée, ce n'est pas forcément son armement, sa force, sa puissance, parfois c'est juste de croire qu'elle se trouve en face de vous...



Un deuxième volet qui tient bien ses promesses. Les premières escarmouches nous réservent leur lot de surprises, et le décor de l'ultime bataille est planté.

Rendez-vous dans le dernier tome de ce triptyque pour l'épilogue de cette saga !

Cette bande dessinée est un bon livre selon moi, car le scénario est le même que la série, les illustrations sont très belles, l'auteur fait plonger le lecteur dans un monde plutôt horrifique. Ce premier jet, est pour moi réussi. Je le conseillerai aux fans de la série.

Un tome très sympathique et assez poignant avec son orc qui vie une aventure comme le titre l'indique de poisse certe ordinaire mais assez fun pour nous faire garder les yeux sur cette bd toujours avec nos fameux dessins élégant et avec ce brin d'humour

Je ressors de cette lecture avec une impression assez mitigée.

C'est un récit de fantasy à la trame assez classique, avec deux frères rivaux, l'un roi d'Atlantide, l'autre guerrier retiré du monde, une reine au cœur des rivalités entre les frères, un méchant qui cherche à accaparer le pouvoir à force d'intrigues, un grand méchant qui apparaît dans les dernières pages, etc.



Avec des dessins riches en détails et en couleurs, l'auteur redonne vit à l'Atlantide, la cité merveilleuses et ses forêts exubérantes peuplées d'animaux fantastiques et de créatures mythiques comme les Valkyries.



Un bémol cependant (du moins pour moi) : la B.D. semble destinée avant tout à un public masculin. Il y a des combats, du sang, des morts, mais surtout les femmes ne sont pas très couvertes, qu'il s'agisse de la reine, des domestiques ou des Valkyries et elles ont tendance à prendre des poses suggestives un peu trop systématiquement...



Malgré le potentiel de l'intrigue et des dessins, je n'ai pas été séduite par cette B.D. à cause de ce parti pris trop sexiste.

J'avais entendu parler de la série « Stranger Things » sur Netflix ; une série fantastique et horrifique avec de bonnes critiques, j'ai donc imaginé que ce premier tome en bande dessinée serait une bonne approche pour connaître cette série.

Malheureusement ce premier album ne m'a pas enchanté. On suit Will Byers, une jeune adolescent, en proie à une situation oppressante : poursuivi par un monstre, errant dans une ville vidée de ses habitants et n’ayant aucune idée du « pourquoi » ni du « comment » il est arrivé là.

Bref, j'ai été aussi perdu que le jeune héros de l'histoire, sans trop comprendre où on allait dans ce récit.

Je n'aime pas du tout les récits où on a aucuns points de repère et encore moins quand l'histoire s'éternise dans les mystères.

J'ai l'impression que cette bande dessinée doit plus éclairer la série télévisée que l'inverse - Bref, un livre à réserver aux connaisseurs de la série et non à ceux voulant la découvrir. Dommage !

Nouvel épisode dans ce second cycle de la série des forets d'Opale.



C'est un second cycle, nous avons donc une petite impression de déjà vu dans le scénario. Pour autant, on se laisse prendre par cette nouvelle quête qui doit nous mener au titan de lumière que l'on trouve enfin dans ce tome, mais la découverte est-elle si décisive que cela ?



Le caractère manichéen des personnages est renforcé dans ce second cycle, avec une reine araignée franchement antipathique.



Le graphisme quant à lui est très bon et permet aux albums de tirer leur épingle du jeu.



J'ai passé un très bon moment.

Luksand, Altai et Rodombre poursuivent leur quête du titan de lumière mais les rédempteurs radieux sont derrière eux.



C'est plaisant à lire, il y a du rythme et un peu d'humour même si je trouve que ce second cycle n'atteint pas le niveau du premier.

Cela manque un peu de nuance, les méchants sont très méchants, cruels, assoiffés de sang et ont la tête de l'emploi.

Le dessin est plutôt sympathique, coloré et offre de la richesse à ce monde.

Ce cinquième album de la série Orcs et gobelins est centré sur un personnage déjà rencontré dans un volume de la série Elfes.Il s'agit d'un métis "orkelin" (on adore les bâtards dans la saga) aux surprenants yeux bleus,qui outre cette curiosité génétique, est affligé d'une deveine non moins héréditaire qui lui a valu son surnom. Et les premières planches semblent bien confirmer ce sombre pronostic:seul survivant de sa troupe de mercenaires'il erre dans un paysage hivernal autour d'un château draculesque, deux poignards plantés dans le dos!Mais au fait ,est-il bien vivant?L'histoire est particulièrement violente et "gore" avec fantômes, monstres physiques et moraux,ambiance lovecraftienne.Le héros n'engendre la sympathie du lecteur que par son obstination hargneux à refuser le destin funeste qui lui est prescrit.Un bon moment de lecture.

Christophe Arleston poursuit la quête dans laquelle se sont engagés ses personnages récurrents de ce deuxième cycle des Forêts d’Opale. Après avoir survécu à la destruction de la Carrière des Titans au sein de laquelle Rodombre a pu trouver les coordonnées de l’endroit où se trouve le fameux Titan qu’ils recherchent activement, le danger permanent dans lequel le Maître archéologue, Luksand, Altaï et Lycophèle étaient plongés ne s’est pas dissipé pour autant et de ce fait, l’aventure continue.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..

Rodombre et ses deux compagnons se sont arrétés pour soigner l'archéologue qui peine à se remettre. Ils vivent de petits boulots, Luksand fait des numéros de jonglage dans la rue tandis qu'Altai est serveuse dans un bouge. Aidés par Lycophéle, amoureux de Fandarille, qui habitait le corps d'Altai, quelques tomes précédents, ils cherchent à remettre sur pied Rodombre. Mais ils sont recherchés avec ardeur par les sbires d'Amperle de Kurtoze qui veut récupérer le bracelet qui l'amenera vers le titan de lumière. Ils ont découvert que nos 3 amis ont changé de corps et ils ont décidé de mettre sous les surveillances les 6 corps qui correspondent à leur ancienne et nouvelle signature physique.

Une aventure mouvementée plutôt bien faite même si l'intrigue se traine un peu dans ce tome.

Qui ne connait pas la célèbre série Netflix aux accents horrifiques Stranger Things mettant en scène une bande d'adolescents durant les années 80 ?

Je l'ai dévorée et aimée cette série. Dans une volonté d'approfondir toujours plus l'exploration de cet univers, je me suis procuré les comics et les romans.



Le tome 1 du comics nous présente une histoire inédite si je puis dire. Il s'agit de la disparition de Will Byers abordée de son côté, chose que nous avons suivi du côté de ses amis et de sa maman dans la série.

Du côté des illustrations, ben c'est pas foufou. Les personnages paraissent asymétriques, difformes tant les traits sont peu précis. Peu de détails, traits grossiers. Seul le choix des couleurs nous démontre un climat oppressant et sans espoir.

Pour l'histoire, elle est en fait inexistante. Peu de bulles de dialogue, quelques une de mise en contexte par ci par là. Mais c'est tout. La lecture fût courte, trop courte. Le démogorgon nous parait même trop gentillet. Seul le petit clin d'oeil à Barbara a retenu mon attention.



En conclusion, ce n'est pas le meilleur comics que j'ai lu. Les illustrations ne sont pas vraiment belles. L'intrigue est assez pauvre. Ce n'est clairement pas indispensable pour les fan de la première heure. Je ne reste toutefois pas sur cet échec et vais entamer la lecture du second tome, qui peuvent se lire, à priori, indépendamment les uns des autres.

Dès que cette nouvelle série ayant pour thème la mythologie grecque est sortie il y a quelques années, j'ai voulu découvrir ces nouvelles épopées. Étant bien sûr un passionné, j'ai donc redécouvert avec la même plaisir cette saga.



Premier tome : Aspasie, Oracle de Delphe contre le dieu Apollon.



Et oui car dans cette série, c'est bien des mortels qui font face aux dieux de l'olympe. Ici l'oracle de Delphe Aspasie veut se venger du dieux Apollon qui a abusé d'elle ce qui en perdant sa virginité perd ses pouvoirs de divination. Elle demandera l'aide de Eurycratidès roi de Sparte et recevra la venue de la déesse Athéna. S'en suivra un guerre entre les spartiates et les créatures mythologiques.



Au fil de l'histoire, on a de la peine pour Aspasie, et l'attitude des dieux n'est pas nouveaux, adorant toujours jouer avec les mortels. Athéna se démarque des autres mais joue un double jeux entre les humains et les olympiens.



Graphiquement, le dessin est très beau, Olivier Peru et Stefano Martino retranscrit à merveille les paysages de la Grèce antique, les personnages sont bien représentés que ce soit les humains ou les dieux.



Un premier tome qui commence fort. A découvrir si vous aimez les épopées mythologiques à travers la Grèce antique.

Déjà le 5ème tome de la saga Orcs & Gobelins. Ce dernier nous présente La Poisse, un Orkelin maudit, se réveillant aux abords d’une cité dans laquelle des forces obscures semblent à l’œuvre.

La magie noire est au cœur du récit donc si vous êtes amateurs de fantômes et de monstres en tout genre, vous aimerez sans doute cet album. Pour ma part, je préfère les histoires moins fantasques avec des ambiances plus réalistes (comme sur le tome précédent par exemple).

Ce numéro n’est pas mon préféré de la saga, néanmoins, le personnage de La Poisse a beaucoup de potentiel et il fera son retour prochainement sur la série Elfes pour le plus grand plaisir des lecteurs.

Cette lecture m'a laissé sur une très bonne impression. Il s'agit d'explorer les chroniques d'une grande île qui a jadis existé dans l'Océan Atlantique et qui aurait été détruit par un grand cataclysme il y a près de 11.000 ans selon le célèbre philosophe Platon. Il s'agit de l'Atlantide. Certains disent que c'est un mythe, une fiction mais d'autres voudraient y croire.



On va retourner près de 28.000 années en arrière du temps de sa splendeur pour appesantir sur le sort de ce royaume qui serait à l'aube d'une guerre nouvelle contre Mu, un autre royaume légendaire. On sait que l'expansionnisme et la frénésie de conquête a marqué la chute de cette belle civilisation. Cette cité vouée à la mer a périt dans la mer...



Eoden a perdu son bras il y a dix ans lors d'une dernière guerre qui a vu l'avènement de son frère sur le trône. Cependant, une puissante secte a fait main basse sur le royaume en contrôlant le roi grâce à des substances nuisibles.



J'adore ce genre d'univers de fantasy. Il y a véritablement un côté « Conan le Barbare ». Cependant, il n'y aura pas de créatures fantastiques comme des dragons. Tout cela semble si authentique. Il est fait référence à diverses divinités qui vont par la suite parcourir le monde selon les différentes cultures : les walkyries, Neptune, Ganesh...



On a droit à de la fantasy assez mature et adulte qui est adoubé avec un univers assez complexe. Les relations entre les différents personnages et les factions vont très sans doute plaire aux amateurs de « Game of Thrones ». Les bases du scénario sont établies dès les premières pages, ce qui nous permet de s'introduire dans l'histoire avec beaucoup de facilité.



Les dessins et couleurs sont également à couper le souffle. Certaines pages décrivent des paysages grandioses. J'ai rarement vu plus beau. Je ne peux que constater une réelle maîtrise tant au niveau des paysages que des personnages. Bref, la qualité graphique est extraordinaire. Il est vrai que rien qu'avec la couverture, on est déjà séduit.



La barre a été placée assez haute. J'apprécie beaucoup et j'espère réellement ne pas être déçu par la suite. Il faut que l'histoire tienne la distance sur la longueur. Nul doute que c'est bien parti pour.

Cette histoire avait été une découverte puisque c’est par elle que j’ai fait la connaissance des Maîtres Inquisiteurs. Oui, en cours de route, je sais, pas très malin. Une fois de plus, c’était dans le "Lanfeust Mag" que j’avais croisé la route de ces Maîtres possédant des pouvoirs.



Hélas, j’avais pris l’histoire en cours de route, je n’avais donc lu que la dernière moitié de l’album, sans avoir le début. Un cumul de conneries, en effet.



Après avoir repris la série dans le bon sens, j’avais arrêté de la lire pour cause de prix des albums (que je ne trouvais pas toujours en seconde main). Une âme charitable m’ayant prêté les siens, je peux ainsi poursuivre ma quête avec ces valeureux guerriers.



Dans ce tome 6, on en apprend un peu plus sur la période du chaos, qui dura 1.000 ans (ça fait long la guerre, ça), avant de retrouver la paix avec la création de l’ordre des Maîtres Inquisiteurs, sorte de policiers, magistrats, juges, enquêteurs, toujours accompagné d’un elfe.



Oui, mais voilà, la magie revient plus forte que jamais, des Maîtres Inquisiteurs se font descendre et entre vous et moi, ça pue la merde à plein nez ! Le complot, quoi.



Comme si un vilain méchant tentait de foutre le bordel, le chaos à nouveau, afin de pouvoir vendre des armes… Heu, non, pas dans ce monde-là ! Juste pour faire augmenter la magie et avoir un plus grand pouvoir.



Cet album est tout simplement excellent : on a de l’action, des mystères, du suspense, des morts, une enquête, des trahisons et personne ne sait qui est derrière tout ce chaos.



Non, non, non, je ne vous dirai rien ! Hélas, pas de chance pour moi, j’avais parfaitement retenu QUI se tenait tapi dans l’ombre, et donc, suspense à zéro dans mon cas. Cela ne m’a pas empêché de jouir du final apocalyptique d’enfer que les auteurs nous ont réservé. Il est tout simplement génial, ni trop long, ni trop court…



Ni trop bourrin non plus. N’allez pas croire que tout le monde se tape dessus, juste pour donner de l’action, il y a aussi un scénario, derrière, il est travaillé, il a de la profondeur et les dialogues sont très souvent tintés d’un peu de philosophie. Rien n’est tout à fait blanc ou noir, mais teinté de gris dans toutes ses nuances (et c’est plus que 50).



Dans ce tome 6, on retrouvera tous les Maîtres Inquisiteurs dont nous avions fait la connaissance dans les 5 premiers tomes et ce fut un plaisir de les retrouver, même le bougon Obeyron (que j’adore).



Les dessins sont travaillés, précis, brillamment exécutés et les couleurs donnent à l’ensemble des tons chauds ou sombres, selon l’endroit où nous nous trouvons.



Bref, un excellent album !

Eoden et Leoden sont frères. Le premier fut un valeureux guerrier, estropié d’un bras lors d’une bataille, il a décidé de s’isoler loin d’Atlantide depuis longtemps. Leoden, lui, dirige Atlantide, avec à son bras la belle Leyon, qui l’a choisi lui pour époux malgré l’amour que lui portait également Eoden.



Mais la cité est en danger. Leoden est manipulé par son plus fidèle bras droit. Eoden brise son isolement et se met en route pour Atlantide.



Stefano Martino nous offre un premier volet d’une histoire alliant la fantasy, la mythologie, le mythe.



Le dessin est très beau, fourmille de détails. L’histoire ne manque pas de rythme et de rebondissements.



Néanmoins, je n’ai pas trouvé beaucoup d’originalité au propos alors que j’en attendais beaucoup, Atlantide fascine. Je me laisserai malgré tout tenter par le 2ème tome en espérant une envolée un peu plus majestueuse pour cette histoire.