Citations de Stjepan Sejic (58)
On est tous des monstres en cage. Avec la bonne peur, la bonne douleur, le verrou de la civilisation cède.
La vérité est ennuyeuse. Sèche... factuelle... sans âme. La vérité est un artiste à la petite semaine qui échoue perpétuellement à saisir l'essence de son modèle.
On est tous des monstres en cage. Avec la bonne peur, la bonne douleur, le verrou de la civilisation cède.
C’était le joker je pouvais être son arlequin
Je voulais aider mais je suis un monstre comme tout le monde dans cette ville
Mon histoire c’est celle où la fille danse avec le diable tandis qu’il la guide sur la route de l’enfer et comme souvent la route s’ouvre sur une bonne intention.
—Tu connais le dicton : "La sagesse vient d'une masturbation régulière".
—Je ne le connais pas, celui-là.
—C'est de moi.
On dit que parler tout seul, c'est un signe de folie. Bon, ils disent aussi aux garçons que la masturbation rend aveugle...
—Je vais attirer mon talon dans ton cul !
—Tu fais ça aussi, avec Tom ?
—Oh, désolée. J'avais oublié que t'avais déjà un balai dans le cul !
Vous savez, ce son de Windows quand vous plantez votre ordi ?
Ah, vous avec un Mac...
Eh bien, si ce son avait un visage... ça donnerait ça... Cerveau introuvable, veuillez réessayer ult... Mais le voici de retour, merci !
—Bonjour, Alan. Je suis désolée pour cette nuit. Je peux entrer ? Bien sûr, fais comme chez toi.
—Merci ! Alors, tu viens ?
Cher lecteur, c'est l'histoire de ma rencontre avec l'amour de ma vie, celle qui...
Hé ! Ne pars pas ! Il y a des scènes super chaudes avec des lesbiennes !
Voilà. J'ai ton attention...
Petit pervers, va...
Mais c'est normal, je vais te dire un secret...
On est tous un peu pervers...
Et si tu penses que ce n'est pas ton cas...
Bah...
Ça viendra...
—Thadeus parle fort, mais c’est un gentil. Moi, je parle doucement, mais je suis un gros méchant.
J’avais eu un beau coucher de soleil. Mais moi ?
Moi, je visais la lune.
Mais quand tu vises la lune, tu découvres vite que c’est glacial, que sa lumière est factice et tu te retrouves à y chercher de l’air qui n’y existe tout simplement pas.
—Tout va bien ?
—Quoi ? Euh ouais… désolée. Je n’étais pas prête pour toute cette lumière et tout ce… feuillage.
—Rassure-toi, ça va passer.
—Pas prête non plus pour le beau mec à moitié nu avec des ailes de papillon dans mon salon !
—Ah ça par contre, ça va rester.
Après tout, à Gotham, les gens ont des ailes d'Icare ... L'ascension mène à la chute .
Au début, ça ressemble à un cauchemar. Un de plus, dans lequel j’arpente un sentier tortueux dans une Gotham déformée. J’ai déjà rêvé de ce chemin auparavant. J’ai vu les erreurs auxquelles il mène. Mais je n’arrête jamais de marcher. À chaque fois, je me dis que ce sera différent. Cette fois j’ai raison.
Je m’en souviens. J’ai pensé ça va, je maîtrise la situation, j’avais tort. Et ce ne serait ni la première ni la dernière fois.
Mais vous savez ce qui se passe, quand on marche vers la lumière ?
On ne voit pas l'ombre qui s'étale dans notre dos.
Shondra avait raison sur un point ceci dit... Une bonne intention après l'autre, je pavais mon enfer dans l'ignorance la plus totale.