Dans ma galaxie à moi, ça va dans tous les sens, sans s'arrêter. (p.27)
Peu importait le passé, peu importait notre histoire, la nature de notre cerveau, le quotient intellectuel. Ce qui importait, c'était les actes. On se définissait moment après moment, par ce que l'on accomplissait.
C'était étrange, cette faculté qu'avait le quotidien de reléguer des pans entiers d'une vie au second plan, de les effacer d'un simple revers de main.
« Le doute. Le plus grand ennemi de l’amour est le doute (…) Comment être sûr de son choix ? En confiant la validation de son partenaire à une entité aux capacités d’analyse mille fois supérieures à nous ! La confiance dans la pertinence de son choix devient totale. Le Match a levé l’obstacle contemporain de l’amour. Il a supprimé le doute. Merci Cupidon ».
Est-ce que ça existe les médicaments pour arrêter de réfléchir ? (p.10)
Danaé, elle, ne voulait pas qu'on décide à sa place, elle ne voulait pas être heureuse, elle voulait être libre.
On dit de moi que je suis excessive, que j'exagère tout. Parfois de l'extérieur, c'est très impressionnant. De l'intérieur aussi. (p.20)
L'amour était l'arme la plus redoutable qui soit.
Seul le temps et l'amour avaient le pouvoir de véritablement changer quelqu'un.
Est-ce que les fourmis ont le sens de l'humour ? (p.8)