Citations de Tamara Balliana (338)
Je m’étonne moi-même avec cette réplique que je viens de sortir comme un slogan publicitaire. Est-ce que je serais en train d’être atteinte par le syndrome du lutin de Noël ?
– Je ne peux pas avoir un sapin chez moi.
– Pourquoi ? Tu as peur que le Grinch vienne faire une inspection et te reproche d’avoir l’esprit trop festif cette année ?
"T'inquiète pas. Tu as beau être tout choupinou, tu restes mon collègue le plus sexy et le plus drôle."
– Je suis là parce que Matt m'a invitée. Et quand il m'a parlé du concert, il n'a pas mentionné les fessiers des musiciens, si tu veux tout savoir. Mais si tu te sens laissée pour compte Doris, il suffit de me le dire, je materai tes fesses toute la soirée s'il le faut.
Je soutiens sont regard alors qu'Adam éclate de rire.
Tu n’as jamais pensé que si nous dépensions d’une autre façon, ne serait-ce que la moitié de l’énergie que nous mettons à nous détester, ça pourrait être explosif?
Je repense à toutes ces fois où j’ai dit qu’une simple conversation derrière un écran ne suffisait. C’est faux, car ce qui se passe dans ce regard, il n’y a aucun mot, écrit au prononcé, qui peut le décrire. Il me sourit et je ressens la profondeur de son sourire dans chaque molécule de mon être.
Mon paternel est devant la baie vitrée de son bureau, les mains dans le poches, le regard fixé sur la vue. C’est tellement cliché que j’ai envie d’en rire, on se croirait dans un film américain mettant en scène un quelconque homme d’affaires new-yorkais. L’homme de pouvoir contemple les petites gens du haut de sa tour de verre, tel un roi Midas contemporain devant ses richesses.
Je notai qu'il m'avait appelée Cassie pour la première fois depuis que nous nous connaissions, et cela me blessa. Comme si le fait de m'appeler Cassandra créait un lien spécial entre-nous, et qu'il était maintenant rompu.
Dans ma tête, la vie, c'est comme une multitude de routes. Tu as l'autoroute, celle qui va exactement là où tu voulais aller. Parfois, tu es obligé de la quitter pour emprunter un itinéraire secondaire, ou tu choisis même de le faire volontairement. Et tu peux avoir de belles surprises. Même si le chemin est un peu plus long, tu peux rejoindre ta destination initiale, tu prends plaisir à faire ce détour. Tu peux même te retrouver à un endroit où tu n'avais pas prévu d'aller, mais peu importe si au final l'endroit est beau, tu ne crois pas ?
C’est intéressant de parler avec quelqu’un dont les préoccupations sont aux antipodes des miennes. Pas de contrats de milliers d’euros à gérer, pas d’avions à attraper pour se rendre à l’autre bout de la terre pour Solène
Rien n’énerve plus mon frère actuellement que le fait qu’on lui rappelle qu’il est loin d’avoir été un modèle de sagesse pendant l’enfance et l’adolescence. Et moi, j’adore le mettre en rogne depuis toujours. Je pense que la réciproque est tout à fait correcte. Nous sommes jumeaux.
Il y a des théories qui prétendent que le jumeau qui sort le premier est celui qui est entré le dernier. Donc ça veut dire que j’aurais été conçu avant toi et que je me suis installé au fond.
Ce mariage est la suite logique de l’évolution de leur relation et je ne peux que m’en réjouir. Même si au fond de moi j’ai un petit pincement au cœur, et c’est bien normal. Je ne me laisse cependant pas gagner par la nostalgie.
« Aimer est une aventure sans carte et sans compas où seule la prudence égare. »
Romain Gary
- J'ai jamais dit que tu devais l'épouser, fait remarquer Léonie. Tu peux juste t'envoyer en l'air avec lui.
Et j'avais tellement peur de ne jamais te voir comme ça, toi, qui un jour m'avais dit qu'on ne pouvait aimer qu'une seule fois dans sa vie, et que tu étais déjà passée à côté de ta chance.
[...] lorsque l'on a un rêve, on a envie de le vivre, mais pas de l'imposer à ceux qui nous aiment.
Au mois de juin, j'eux l'impression de vivre au cœur d'une carte postale. La région accueillit les premières cigales, la floraison des lavandes, la chaleur estivale. Tout ce qui attirait les touristes en masse.
Je trépignais d'impatience sur mon siège, j'étais à quelques minutes du début d'une nouvelle aventure. Je m'installais pour les 18 prochains mois en Provence.
Certains acteurs demandent à avoir des lys blancs, ou des rideaux bleus ou leur marque de glace préférée systématiquement dans leur loge. Personnellement j’ai toujours trouvé ça ridicule. Je veux juste un endroit pour me reposer, me détendre et pouvoir prendre une douche. La déco je m’en fiche. Ce qui rend un endroit chaleureux c’est les gens qui s’y trouvent, le reste c’est artificiel. Ça ne sert qu’à se faire remarquer, et pas toujours de la meilleure des façons.