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Critiques de Terrance Dicks (9)
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Le cerveau de Morbius

Cinquième épisode de la treizième saison de Doctor Who (période « classique »), LE CERVEAU DE MORBIUS devait s’inspirer des histoires de robots à la Asimov. Mais cette idée du producteur Philip Hinchcliffe, mal comprise, est reprise par un Terrance Dicks qui souhaite, pour sa part, une variation sur FRANKENSTEIN. Dicks et Robert Holmes écrivent donc un récit gothique dans la tradition de l’épouvante anglaise à la Hammer. Dicks souhaite mettre en scène un criminel, Morbius, dont le corps est reconstitué par son assistant à partir d’éléments extraterrestre. Holmes transforme cet assistant, au départ un robot, par un savant fou, Solon, et son serviteur Condo, dans l’esprit des films de la Universal. Désappointé, Dicks refuse de signer l’intrigue, crédité de « Robert Bland ». Novélisé en 1977, le roman est ensuite publié dans une collection éphémère parrainée par les Bogdnavov qui servent simplement de prête-noms, alors en pleine gloire grâce à Temps X.

Dans LE CERVEAU DE MORBIUS, le Quatrième Docteur et Sarah Jane se retrouvent sur une planète inhospitalière confrontée à un savant fou dans un hommage appuyé à la Hammer et la Universal, agrémenté de quelques clins d’œil à « Planète Interdite ». L’intrigue est très réussie et le romancier parvient à étendre l’ampleur du récit sans devoir se limiter par des contraintes budgétaires. Il ajoute donc divers éléments et remanie quelque peu l’histoire tout en restant globalement fidèle à l’épisode. Ceux qui ont visionné la version télévisée argueront sans doute que ce petit bouquin vite écrit et vite lu n’apporte pas grand-chose mais, parfois, se replonger durant deux heures dans le monde délirant de Doctor Who reste une occupation plaisante.


Lien : http://hellrick.over-blog.co..
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Le docteur Who entre en scène

En voilà un monument, le mot n'est pas trop fort !

Certes le titre est à la fois ridicule et en même temps très bien trouvé, voilà la toute première aventure du Docteur, l'original si je puis dire, pour fêter les 60 ans de Doctor Who il n'y a pas meilleur choix. Voilà comment tout a commencé, diffusés en 1963 sur la BBC et novélisé au Royaume-Uni comme toutes les aventures du docteur, mais pour ce qui est des traductions françaises c'est autre chose, ces 8 bouquins des Éditions Garancière sont une véritable mine d'or pour les fans du Docteur.

Bref j'ai adoré, certes ce n'est pas la meilleure aventure, mais la première partie est totalement fascinante, la naissance d'une mythologie, la suite de l'histoire et tout de même pas mal bien sûr, mais c'est avant tout un symbole.

Vive Doctor Who.
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Le jeu suprême

Quelle belle surprise que ce petit roman ! Je l'ai trouvé dans le bric-à-brac des livres éliminés des collections de ma médiathèque, attirée par le thème du jeu.

La façon de traiter le thème de la virtualité peut faire penser à "No pasaran, le jeu" mais dans un genre très différent, moins sérieux mais pas forcément moins profond.

Zak est un ado pour qui les jeux sur l'ordinateur n'ont aucun secret mais il finit par se sentir blasé et cherche un jeu capable de susciter son intérêt. Alors quand un de ses amis lui parle du Jeu Suprême...

Le vieil homme dans la boutique, le Chercheur, propose de lui prêter le jeu pendant trois jours en lui demandant de revenir lui donner son avis après.

J'ai adoré la métaphore développée ici qui montre ce que le jeu peut apporter à la vie dans la mesure où la vie (la "vraie" vie !) nous amène aussi à résoudre des conflits et des énigmes, à faire des choix et à négocier de manière stratégique.

Une excellente lecture à partager à partir de 8 ans !
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Le docteur Who entre en scène

Ian Chesterton et Barbara Wright sont professeurs à la Coal Hill. Ils s’interrogent sur une de leur élève, Susan Foreman, qui a parfois des comportements étranges, sachant énormément de choses pour une jeune fille de son âge, mais en ignorant d’autres tout à fait basiques.

En la suivant chez elle, ils débarquent dans une décharge de ferrailleur dans laquelle se trouve une cabine de police qui est en réalité un T.A.R.D.I.S., une machine à voyager dans le temps et l’espace, pilotée par le Docteur, le grand père de Susan.

Pour les empêcher de divulguer son secret, le Docteur les emporte avec eux et ils se retrouvent sur Terre, au milieu d’hommes préhistoriques qui ont perdu le feu.



Ce livre est une novélisation très fidèle du tout premier arc de Doctor Who, An Unearthly child.

Comme pour la version télé, la première partie est bien plus intéressante que tout ce qui se passe avec les hommes préhistoriques. Sur ce point là, j'ai tout de même préféré le livre. Ici, on découvre les pensées des personnages, ce qui rend bien plus compréhensibles les actions pour retrouver le feu qui a disparu.

Et on n'a plus les grognements qui constituaient les seuls dialogues des hommes préhistoriques, ce qui est un ÉNORME progrès.

Rien de particulier à en dire de plus, la traduction est plutôt bonne et comme il s'agit d'une retranscription très fidèle, il n'y a pas de grosses surprises, les personnages sont exactement les mêmes et certaines répliques sont reprises au mot près.

Pour les personnes ne supportant pas la VOSTFR, c'est un bon moyen de débuter la saga et de faire connaissance avec l'univers Doctor Who.
Lien : https://yodabor.wordpress.co..
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Le docteur Who entre en scène

Le premier épisode, le vrai, de la série Doctor Who retranscrit dans une version roman. De quoi faire rêver ! D'autant plus que l'épisode n'existe pas en français c'est donc super de pouvoir le découvrir sous cette forme. Forcément le récit et les personnages ont vieillit et il faut le garder à l'esprit mais du coup on peut dire que c'est une machine à voyager dans le temps!
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Le docteur Who entre en scène

c trop trop bien surtout quand le docteur voyage dans le temp

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L'abominable homme des neiges

Je suis une fan inconditionnelle de la série Doctor Who donc mon avis n'est peut être pas me plus critique : j'adore chacun des livres de l'univers. Du reste j'ai toujours aimé quand un livre reprend un mythe ou un fait historique mystérieux pour l'expliquer dans la réalité du récit. Donc forcément, ça ne pouvait que marcher
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L'abominable homme des neiges

Le seigneur du temps, héros de l'éternité, le doctor WHO revient pour une aventure extraordinaire au cœur de l'Himalaya pour explorer la nature et résoudre le mystère entourant le monastère de Det-sen, un secret qui cache peut être une créature surnaturelle en l'occurrence l'abominable homme des neiges ou Yeti. Un voyage unique à la découverte des superbes paysages naturels du Tibet et du sud de l'Asie en compagnie d'un extraterrestre âge de plus de 900 ans et qui a l'apparence d'un être humain. De l'excellente science-fiction digne de la magnifique série télé Doctor WHO.
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Méglos

Meglos est la version novellisé d'un épisode en quatre parties dans lequel on retrouve le quatrième docteur, Four, interprété par Tom Baker, qui est mon préféré dans l'ancienne série.



Four est accompagné de Romana, une seigneur du temps comme le docteur, et du chien robot K9. Alors qu'ils sont dans le TARDIS en train de réparer ce dernier, Four est appelé à la rescousse par Zastor, chef de la planète Tigella, qu'il a visité autrefois. Sur cette planète, où les habitants vivent sous-terre, s'affrontent deux groupes : les savants et les religieux.

La survie de la planète dépend du Dodécaèdre, un objet à douze faces, considéré comme un dieu ou un artefact tombé du ciel, et principale source d'énergie. Mais il donne des signes de faiblesse et les savants aimeraient y avoir accès, afin de l'étudier pour une réparation éventuelle. Ce qui est hors de question pour les religieux, qui l'honorent dans un sanctuaire.



Sur une planète voisine, Zolfa-Thura, Méglos, le dernier survivant, a fait venir un terrien, kidnappé par un groupe de pirates de l'espace. Il a besoin d'un nouveau corps, le sien est celui d'un cactus géant, pour mener à bien son projet : voler le Dodécaèdre. Lorsqu'il se rend compte que le docteur arrive à la rescousse des tigelliens il l'emprisonne dans une boucle spatio-temporelle et décide de se faire passer pour lui...



Le roman est une retranscription fidèle des épisodes, avec cependant l'ajout de deux scènes : l'enlèvement du terrien, auquel l'auteur donne un nom, Georges Morris, et une identité : sous-directeur d'une petite banque de campagne, attendu par sa femme pour dîner. Cette scène ouvre le livre et le même personnage le clôt, avec son retour sur terre...



Si l'épisode est un peu daté (1980), surtout au niveau des décors et des "effets spéciaux", la novellisation l'est beaucoup moins, car on imagine les objets et les machines avec nos connaissances actuelles. J'aime beaucoup le caractère du docteur, un peu étourdi, lunaire, condescendant envers Romana, alors qu'elle est beaucoup plus terre-à-terre et c'est souvent elle qui trouve les solutions ou sauve son compagnon.



Une lecture sympathique, un récit de science-fiction délicieusement rétro, idéal pour retrouver l'ancienne série des Dr Who sans le côté kitsch...
Lien : http://dviolante5.canalblog...
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