Nationalité : Belgique
Né(e) : 1968
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Né(e) : 1968
Biographie :
Thierry Werts écrit des textes inspirés de son expérience de magistrat.
Il travaille au Palais de justice de Bruxelles depuis 1990. D’abord avocat, puis procureur, il a été magistrat fédéral (2011-2017) et est conseiller à la cour d’appel de Bruxelles depuis 2017.
Il a été porte-parole du parquet fédéral et est spécialisé dans le droit pénal humanitaire, les dossiers d'homicides et la délinquance juvénile.
Passionné de lecture, de philosophie et d'art contemporain, il a remporté en 2013 le second prix du 17ème concours de haïkus "Mainichi" au Japon.
Il a publié un recueil poétique de voyage "For intérieur" en 2016 (éd. Pippa) et deux romans, "Demain n'existe pas encore" (2019) et "Le Monde Rêvé d'Alva Teimosa" (2023), aux éditions La Trace.
Il explore les failles et les fêlures, la part d'inconnu, d'imprévisible, qui submergent nos vies. Pour lui, le destin pousse à ouvrir les yeux sur l'essentiel. Il trace au fil de ses textes une voie étroite vers un monde plus lumineux...
page Facebook :
https://www.facebook.com/profile.php?id=100090138744240
https://www.facebook.com/Demain-nexiste-pas-encore-Thierry-Werts-100440788031311/
+ Voir plusThierry Werts écrit des textes inspirés de son expérience de magistrat.
Il travaille au Palais de justice de Bruxelles depuis 1990. D’abord avocat, puis procureur, il a été magistrat fédéral (2011-2017) et est conseiller à la cour d’appel de Bruxelles depuis 2017.
Il a été porte-parole du parquet fédéral et est spécialisé dans le droit pénal humanitaire, les dossiers d'homicides et la délinquance juvénile.
Passionné de lecture, de philosophie et d'art contemporain, il a remporté en 2013 le second prix du 17ème concours de haïkus "Mainichi" au Japon.
Il a publié un recueil poétique de voyage "For intérieur" en 2016 (éd. Pippa) et deux romans, "Demain n'existe pas encore" (2019) et "Le Monde Rêvé d'Alva Teimosa" (2023), aux éditions La Trace.
Il explore les failles et les fêlures, la part d'inconnu, d'imprévisible, qui submergent nos vies. Pour lui, le destin pousse à ouvrir les yeux sur l'essentiel. Il trace au fil de ses textes une voie étroite vers un monde plus lumineux...
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https://www.facebook.com/profile.php?id=100090138744240
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Citations et extraits (29)
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« Vis chaque jour comme si c’était le dernier. Ne fais pas semblant. Sois toi-même et fais ce que toi seule peut faire. »
⠀
Garde le précieusement pour pouvoir le transmettre un jour à ton tour. Reste du côté de ceux qui cherchent et qui posent les questions, méfie-toi de ceux qui se vantent d’avoir les réponses. Peut-être ont-ils mal cherché ?
⠀
N’oublie pas de vivre, voilà mon épitaphe.
Grave la dans ton coeur car je n’aurai pas de tombe. Et n’oublie jamais que ce qu’une chenille appelle fin du monde, d’autres l’appellent papillon.
⠀
🦋🦋🦋
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Garde le précieusement pour pouvoir le transmettre un jour à ton tour. Reste du côté de ceux qui cherchent et qui posent les questions, méfie-toi de ceux qui se vantent d’avoir les réponses. Peut-être ont-ils mal cherché ?
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N’oublie pas de vivre, voilà mon épitaphe.
Grave la dans ton coeur car je n’aurai pas de tombe. Et n’oublie jamais que ce qu’une chenille appelle fin du monde, d’autres l’appellent papillon.
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La Somone, Sénégal
Une journée féconde
Des exposés des ateliers des échanges
Les droits de l'enfant passionnent
Ici plus qu'ailleurs former est un bonheur
Au coucher du soleil dans ma chambre je m'isole
Pour ne penser à rien
et regarder la nuit
Me coucher tôt me lever dès l'aube
Loquace la journée mon voisin n'a pas
sommeil
Le silence se fait attendre
A pas feutrés
une gamine maquillée le quitte en
pouffant
Quatorze ans maximum
Chaleur du matin
Dans l'océan je déverse
Mon humeur de chien.
Une journée féconde
Des exposés des ateliers des échanges
Les droits de l'enfant passionnent
Ici plus qu'ailleurs former est un bonheur
Au coucher du soleil dans ma chambre je m'isole
Pour ne penser à rien
et regarder la nuit
Me coucher tôt me lever dès l'aube
Loquace la journée mon voisin n'a pas
sommeil
Le silence se fait attendre
A pas feutrés
une gamine maquillée le quitte en
pouffant
Quatorze ans maximum
Chaleur du matin
Dans l'océan je déverse
Mon humeur de chien.
Deux heures à tenir encore
Ma permanence nocturne s'achève enfin
J'ai de plus en plus de mal à tenir
Toutes ces années à supporter les
misères de cette ville
Trouver des solutions qui n'en sont pas
Vingt-quatre heures déjà sans dormir
Ce travail si humain l'est-il vraiment ?
Dans deux stations de métro un café m'attend
J'ai froid
Ma permanence nocturne s'achève enfin
J'ai de plus en plus de mal à tenir
Toutes ces années à supporter les
misères de cette ville
Trouver des solutions qui n'en sont pas
Vingt-quatre heures déjà sans dormir
Ce travail si humain l'est-il vraiment ?
Dans deux stations de métro un café m'attend
J'ai froid
Il y a des corps que l’on connaît.
On ne sait pas depuis quand.
On les sait.
C’est tout.
Des voix aussi.
Qui chuchotent
des larmes de plaisir
et racontent les étoiles.
✨
On ne sait pas depuis quand.
On les sait.
C’est tout.
Des voix aussi.
Qui chuchotent
des larmes de plaisir
et racontent les étoiles.
✨
Akemi Nadlot n'avait pas fermé l'oeil de la nuit. Cela faisait plusieurs jours qu'il repensait à sa vie d'avant et ça l'obsédait...
… Il distinguait à chaque fois la même silhouette, dans l'épais nuage de fumée, celle du petit personnage qui lui ressemblait, au pied de l'arbre, dans le tableau japonais...
Il entendait sans cesse cette foutue phrase, qui martelait dans sa tête, « tu voulais tant qu'elle disparaisse... Tu voulais tant qu'elle disparaisse... tu voulais tant qu'elle disparaisse....
… Il distinguait à chaque fois la même silhouette, dans l'épais nuage de fumée, celle du petit personnage qui lui ressemblait, au pied de l'arbre, dans le tableau japonais...
Il entendait sans cesse cette foutue phrase, qui martelait dans sa tête, « tu voulais tant qu'elle disparaisse... Tu voulais tant qu'elle disparaisse... tu voulais tant qu'elle disparaisse....
Un hiver sans fin
La juge écarte une larme
Entre deux destins
La juge écarte une larme
Entre deux destins
Victoire se retint d'exploser et rassembla ses forces pour expliquer qu'Aurore avait simplement du mal à structurer ses pensées. Elle suivait un traitement pour cela et il fallait l'encourager, lui donner confiance, et non la rabaisser sans cesse.
Mais que l'amour qui unit une mère et son enfant triomphe toujours.
Le malheur des autres ne se partage pas avec ceux qu'on aime.
Bientôt, tu auras tout oublié, bientôt tous t'auront oublié.
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