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Critiques de Thomas Saintourens (10)
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Les poilus de Harlem



Bonjour tout le monde. Aujourd’hui je vous parle des poilus, non ce ne sont pas des hommes velus, avec des poils partout, ce sont de braves gars qui se sont battus. Nous allons donc les accompagner dans les tranchées ; il y a une raison particulière à s'attacher à ceux-là...



Je vous présente des militaires, avant d’intégrer leur régiment, ils étaient avocats, boxeurs, porteurs de valises, musiciens mais ils avaient tous un point commun : la couleur de leur peau ! En effet, ils étaient tous noirs !



Puisqu’un noir est considéré comme la moitié d’un homme, et encore en comptant large, ces hommes pensent qu’en s’engageant et en montrant leur valeur, ils seront enfin reconnus pour ce qu’ils sont : des hommes à part entière. Malheureusement, tout ne va pas se passer comme sur des roulettes, et ils vont en voir de toutes les couleurs (sans mauvais jeux de mots).



2000 hommes vont s’engager et en baver et s’ils reçoivent la croix de guerre par la France pour leur bravoure, l’Amérique va rechigner à reconnaître leur mérite et c’est seulement en 2015 que le président Obama remettra à deux soldats la Medal of Honor, à titre posthume !



Alors, le journaliste Thomas SAINTOURENS a ressorti les archives et tous les documents qu’il a pu trouver pour retracer l’histoire de ces hommes dont l’Amérique aurait vraiment pu être fière, mais qu’elle a préféré ignorer à cause de leur couleur ; il y a même quelques photos.



C’est un plaisir de lire cette histoire de ce régiment dont j’ignorais l’existence et c’est une bonne idée de les avoir remis dans la lumière et d’avoir écrit ce témoignage qui leur rend hommage.



L’épilogue est triste, c’est toujours la même histoire, il faut deux noirs pour faire un blanc et le racisme a la vie dure. Comment une simple couleur a pu avoir autant d’importance ? C’est un mystère que je n’arriverai jamais à m’expliquer.



Bref, un livre émouvant sur ces militaires exceptionnels qui sont venus prêter main-forte aux militaires Français…



À lire en écoutant du Jazz, confortablement installé(e) loin des tranchées, dans un bon fauteuil, en sirotant un Bourbon accompagné de quelques fruits secs. Bonne lecture !





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Les poilus de Harlem

Entre mes mains, voici un livre oublié qui est passé totalement inaperçu, depuis mai 2017 ce roman historique, les " Poilus de Harlem" dort paisiblement dans quelques bibliothèques, tels des menhirs d'un autre temps, qui finiront couchés comme ces pierres qui n'ont pas sues délivrer leurs secrets.

Pourtant ce roman est vertigineux, et raconte un vertigineux malaise : quel pays en guerre pourrait refuser qu'une partie de ses enfants ne puissent combattre sous la bannière étoilée de leur propre pays.





Peut-on imaginer aujourd'hui que des sportifs soient dans l'impossibilité de participer à une compétition, au motif de l'appartenance à une minorité non désirée.





L'engagement des noirs de Harlem, sous le drapeau de l'U.S. Army leur fut refusé en 1914, au motif d'être noirs, suivant la doctrine abjecte dite "Jim Crow". Ils ne pourront combattre qu'à la seule condition de se placer sous le commandement français.

Pourtant avant de quitter New York plus de 2000 soldats, du 15th régiment de la garde nationale de New York, entendaient par leur geste briser la logique de la ségrégation.





Rebaptisé 369ème bataillon , en cette année 1918, avec à leur tête, un étrange colonel William Hayward, ils multiplieront les faits d'armes, et nombre d'entre eux seront décorés par les généraux français de la croix de guerre. Le général le Gallais, le général Gouraud ou le général Vidalon, ont rendu hommage à ces soldats de l'ombre, ces hommes qui avec générosité et intelligence ont réussi à faire douter les divisions allemandes.





Je relève les propos du général Gouraud page 143 ces mots, "vous avez le droit d'être fiers hommes héroïques de l'infanterie et mitrailleurs des postes avancées qui avez signalé, stoppé et divisé leurs attaques, bataillons et batteries qui les avez cassées, officiers qui avez minutieusement préparé le champ de bataille."





L'épopée des hellfighters, en cette année 1918, il y a tout juste 100 ans, est merveilleusement racontée par Thomas Saintourens. Cette épopée qui a peut être été dissimulée, ou minimisée, est enfin distillée pour la première fois, et par un journaliste.





Certes Thomas Saintourens n'est pas un historien, Historien de la grande guerre, il n'est que journaliste. Faut-il aujourd'hui exclure de l'analyse du passé ceux qui n'ont pas la bonne couleur intellectuelle et universitaire. Le sujet mérite d'y revenir, je suis certain de voir émerger des vocations, les lourds tabous sont tombés.





Il est venu le temps de confirmer les lynchages perpétrés par des soldats blancs américains contre de dignes soldats noirs. La légitime défense pour un blanc est admise pour le meurtre d'un noir, portant l'uniforme qui fut le leur en France, « le revêtir cet uniforme fait de vous une cible ».





Quelques personnalités ont dominé cette épopée à commencer par le colonel Hayward à la tête des hellfighters, qui engagera comme avocat des juristes noirs de renom.

Arthur Little consignera son épopée dans the from Harlem to the rhine , il sera l'artisan des décorations, en notant au jour le jour les événements avec une précision chirurgicale, lui l'éditeur se faisait un devoir de pouvoir rendre compte heure par heure, de ce qu'il a appelé les atrocités de la guerre.





J'aimerais en dire beaucoup plus sur le héros Henry Johnson, le porteur de valise, qui fut porté en triomphe à New York, mais désigné par les plus acharnés des racistes, comme une bête sauvage, qui, parce qu'il était un monstre pouvait mettre en déroute l'armée allemande !





Au total 170 hellfighters seront décorés de la croix de Guerre.

Bien d'autres protagonistes sont décrits avec beaucoup de verve et notamment ceux qui par leurs chants et par le jazz galvanisaient les troupes.



Un homme se distingua par le plus abject des comportements, le général Pershing. Il mit toute son énergie pour salir la réputation des rattlers, ridiculisant les témoignages des généraux français charmés par ses nègros. Grand ordonnateur de l'AEF, il dictera au lieutenant-colonel Linar une directive ségrégationniste, qui sera balayée par le général Vidalon.



Le général des armées américaines ira jusqu'à déstabiliser les officiers noirs des hellfighters, en les remplaçant par des officiers blancs.



C'est un récit palpitant, qui est proposé par Thomas Saintourens, des textes qui ne manquent pas d'humour et qui rappelle des textes de Blaise Cendrars.

Ne laissez pas ces menhirs vivants de l'histoire devenir des pierres tombales dans nos bibliothèques calfeutrées.





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Le Maestro : À la recherche de la musique d..

Ce livre est un hymne à la vie, un hymne à l'amour de la vie ........

Comment imaginer ces auteurs compositeurs, musiciens enfermés dans des camps et qui pourtant composent des musiques n'ayant quelquefois pour tout papier que du papier...toilette..

Impossible de décrire les émotions que l'on peut ressentir en parcourant ce livre à la fois bouleversant, douloureux et si plein de vie et même d'humour.

Un pan de l'histoire que l'on ne connait pas ou si mal mais qu'en mémoire de tous ces hommes il nous faut absolument mettre à la lumière du jour. Comment un si bel ouvrage n'est il pas conseillé dans les écoles ?? pourquoi nous cache t-on tant de choses ?

Et la grandeur d'âme, la grandeur de l'Homme qui dans le froid, dans la haine, dans la peur, continue à créer presque malgré lui comme pour d'accrocher à sa survie... au delà de sa propre existence..

S'il vous plait ..lisez ce livre
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Le Maestro : À la recherche de la musique d..

Il s’appelle Francesco Lotoro. Vous avez peut-être entendu parler de lui, car depuis presque un quart de siècle il s’est fait le gardien et le diffuseur de la musique des camps de concentration.



Quand, en 1990, Francesco Lotoro a commencé à parcourir l’Europe afin de colliger tout ce qui a été composé dans les camps entre 1933 et 1945, jamais il n’aurait pu imaginer que le nombre d’œuvres de tous les genres dépasserait 4000. Pas plus qu’il n’a pensé, quand il s’est engagé dans ce projet, que cela deviendrait le projet de sa vie et qu’il mettrait de côté sa carrière de pianiste et de chef d’orchestre pour rendre accessibles à tous des opérettes, des chansons, des symphonies, du swing, de la musique rom, des pièces qu’on croyait oubliées ou dont nul n’avait plus connaissance.



C’est ce que nous raconte Thomas Saintourens dans Le maestro : À la recherche de la musique des camps, qui a rencontré Lotoro à Barletta, dans le sud de l’Italie, où il est à la fois une vedette locale et l’original du quartier. Le résultat est un magnifique hommage autant à l’archiviste qu’aux compositeurs, puisque l’auteur a choisi d’intercaler entre chaque chapitre consacré à la quête de Lotoro quelques pages sur un des artistes emprisonnés, lesquelles relatent à la fois des anecdotes sur le compositeur comme sur les pièces qu’il a laissées, sur comment elles ont été préservées et dans quelles circonstances Lotoro a pu être avisé de leur existence afin de les transcrire ou de les compléter à partir de notes. Et de les enregistrer : 24 CD ont en effet vu le jour. Et ce n’est là qu’un mince aperçu du grand projet de Lotoro.



Vous aurez compris que Le maestro : À la recherche de la musique des camps est un livre passionnant. Le talent de conteur de l’auteur y est pour beaucoup, car il nous dépeint si bien Lotoro, son quotidien et le lieu où il vit dès les premières pages que nous avons presque l’impression de le connaître quand se termine le livre et que nous n’avons plus qu’une idée en tête : écouter ces musiques à qui un homme a redonné la vie.
Lien : http://lalitoutsimplement.co..
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Les poilus de Harlem

Who won the war ?

Ils sont la première unité alliée a avoir atteint le Rhin

Ils sont l’unité américaine qui a passé le plus de temps au combat avec 191 jours

Ils sont l’unité américaine a avoir subi le plus grand nombre de pertes, près de 1500 hommes.

Ils sont le « Old 15th » New York National Guard, le 369e régiment d’infanterie des Etats-Unis.

Ils sont les Rattlers. Les Harlem Hellfighters. Les Poilus américains.

Et vous ne les connaissez pas.



Lorsque les Etats-Unis d’Amérique entrent en guerre en 1917 leur armée est à bâtir. En plus des quelques unités d’active ils puisent dans les régiments des différentes Gardes nationales des Etats. Parmi eux, un régiment particulier, entièrement composé d’afro-américains. Musiciens de talent, porteur de valises, grooms, petites frappes, les membres du 15e régiment d’infanterie de la Garde Nationale de New York sont des hommes à part, victimes de la ségrégation qui ravage les Etats-Unis du XXe siècle.

Ils devront se battre pour réussir. Contre les légions du Kaiser bien sur, mais d’abord contre leurs compatriotes, à commencer par le commandant en chef du Corps Expéditionnaire Américain: John « Black Jack » Pershing.

Les hommes du Old 15th en ont bavé: entrainement bâclé et insultes de leurs « frères d’armes » blancs rythment leur préparation. Une fois en France ils découvrent le froid, la neige et l’inaction en étant cantonné à un rôle de soutient non combattant. Eux font découvrir à la population française médusée, le jazz.

Mais la France a besoin de soldats, au printemps 1918 malgré tous leurs efforts les Alliés ne peuvent aligner que 174 divisions (99 françaises, 59 britanniques, 12 belges, 2 portugaises et 2 américaines) face aux 197 divisions allemandes. Alors Pershing cède et transfert temporairement les 369e, 370e, 371e et 372e régiments d’infanterie américains (tous composés de soldats de couleur) sous commandement français. Intégrés à la 4ème armée française les Rattlers vont connaitre le feu.

Dans les tranchées de l’Argonne, ils seront de tous les combats, toujours en pointe. Parfois même trop comme lorsqu’ils devancent toutes les unités françaises engagées dans une offensive et opèrent une percée de 14km dans les lignes allemandes, s’exposant à une attaque sur leurs arrières. Ici, leur vie change, elle se déroule dans les tranchées, au milieu des bombardements et des pilonnages d’artillerie mais aussi au contact des soldats français. Pas de ségrégation ici, ils sont traités en hommes, en camarades pas en êtres inférieurs. Leurs états de service rendent malades les ségrégationnistes américains, que ce soit collectivement comme lors la percée de Séchault ou individuellement lorsque Henry Johnson, attaqué lors d’une garde arrive à tuer quatre allemands et en met une vingtaine d’autres en fuite, subissant 21 blessures.



Outre leurs faits d’armes, ils marquent également par leur musique. Mené par le maestro Jesse Europe, la fanfare du 369e ravie tous les publics qu’elle rencontre, des paysans français aux soldats américains.



Les Poilus de Harlem raconte l’épopée extraordinaire des hommes du 369e RIUS, ils se nomment Horace Pippin, Jim Europe, Henry Johnson ou noble Sissle. Ils viennent de Harlem, ils ont portés le casque Adrian et le fusil Lebel, ont reçu la Croix de Guerre et fait danser la France.

Ils méritent qu’on se souviennent d’eux.

Alors, God damn let’s go !
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Les poilus de Harlem

SYNOPSIS : Le 6 avril 1917 le congrès vote l’entrée dans la guerre des états unis d’Amérique. Le président Wilson va finalement envoyer un régiment entier le 1er janvier 1918, composé d’hommes noirs et dirigés par des officiers blancs idéalistes. Ceux qui seront surnommés les Hellfighters vont combattre héroïquement au côté des poilus. Ils emportent avec eux l’espoir de briser la ségrégation raciale dont ils souffrent en prouvant leur valeur, et apportent le jazz en France.



CE LIVRE EST TRES INTERESSANT . L’auteur est journaliste et pourtant c’est un livre d’historien. L’ouvrage est très bien documenté avec moult détails, écrit avec un souci d’impartialité et de véracité. Le destin de ces héros, décorés de la croix de guerre française a été bien sombre. Le sujet et le ton du livre est grave. J’en ai trouvé la lecture parfois difficile, et un peu lassante.

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Les poilus de Harlem

Quand l'Histoire des États-Unis s'écrit dans la boue des tranchées de la Marne. Tel est le destin du seul régime américain sous les ordres des armées françaises au cours de la première guerre mondiale.

Et quel régiment ! Des hommes noirs venus défendre la France, la liberté et gagner l'espèrent-ils la reconnaissance de leur pays. Mais la ségrégation raciale est bien ancré dans l'esprit des dirigeants américains qu'ils soient civils ou militaires.

Alors oui, ces hommes seront courageux, braves, exemplaires et beaucoup mourront loin de chez eux. Ils apporteront le jazz, une musique entraînante qui changera le paysage musicale français en profondeur. Ils seront considérés par la population française et c'est un paradoxe quand on sait le traitement réservé aux hommes noirs des colonies. Un livre qui entre en résonance avec le film #tirailleurs récemment sorti dans le salles obscures.

Quel que soit la couleur de peau de ces hommes venus se battre sur le sol français, la couleur de leur sang était toujours rouge.
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Les poilus de Harlem

C'est un ouvrage est écrit par un journaliste et non par un historien "classique", ce qui donne un autre point vu sur le sujet.

L'histoire de ce régiment est passionnante, on peut mesurer l'évolution de la place des personnes de couleurs depuis cette époque, même si il y encore du travail.....

Seul bémol, l'armée française est montrée comme très égalitaire alors qu'elle ne l'était pas autant.

A lire !!!!!
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Quand j'étais Superman

Et si Superman existait vraiment et qu’en plus de cela c’est un être humain à part entière ?



Durant des années on nous a fait croire ça :

« Juste avant l’explosion de la planète Krypton, Jor-El décide de sauver son fils en l’envoyant sur Terre. Le nourrisson est recueilli par le couple Kent qui décide de l’élever comme leur propre fils. L’enfant se met à développer des pouvoirs hors du commun. Une fois adulte, Clark Kent, reporter au Daily Planet, souhaite mener une vie normale. Il ne renie pas pour autant ses capacités à sauver le monde et devient alors Superman : Super-héros volant au secours de la veuve et de l’orphelin, attisant la jalousie de Lex Luthor et l’intérêt de sa collègue Loïs Lane. »

Mais la vérité est que Superman est né en août 1980 dans un village de Picardie, son nom de couverture c’est Raphaël Poulain et pour se fondre dans la masse il a fait du rugby son métier et sa kryptonite à lui c’est le ballon ovale. Bien plus vicieuse que dans l’imaginaire des scénaristes, point de couleur qui guide sur son effet. Tantôt elle est sa force, tantôt elle le brise.



Cette vision du super-héro, je la préfère, elle est plus humaine, plus parlante.

Si vous voulez approfondir cette « théorie », il vous faut lire « Quand j’étais Superman » de Raphaël Poulain, paru aux éditions Robert Laffont.



Le rugby comme j’ai pu en parler dans de précédents articles (sur mon blog) je l’aime certainement plus que je ne peux l’imaginer, mais comme dans tout « amour » il y a du moins rose, parfois même de la haine, du dégoût et du rejet. Ce coté « noir » on le retrouve dans les mots de Raphaël.



Ce livre, ou plutôt ce morceau de vie, résume la dualité de ce sport, mais aussi celle de l’être humain. La passion c’est la fusion des extrêmes. Se consumer de l’intérieur.



Alors bien sur que je ne suis pas objective, parce que Raphaël sans le connaître personnellement je l’aime, ce mec il est entier, il a touché le fond mais s’est relevé, comme le roc que j’ai vu sur les terrains revenir de blessures, faire fermer leur gueule à ceux qui parlaient de son physique « hors norme » pour son poste à grands coups hargne.



Raphaël c’est une époque révolue, celle où les mecs s’explosaient le physique et le mental rien que pour être sur le terrain. Juste pour montrer qu’ils avaient leur place parmi les « grands » ou plutôt qu’ils étaient des « grands », ceux du maillot bleu et son petit coq. Celui qui n’était qu’un petit mec au slip de Superman c’est le symbole d’un rugby qui rêvait, d’un Stade Français qui défonçait les portes.



Ce livre m’a fait rire, pleurer, hurler… comme cette équipe que j’aimais et qui à présent m’horripile parce qu’elle s’est perdue.



Une lecture conseillée à tous. Pour les amoureux du rugby, ils le verront différemment. Et si ce sport ne vous parle pas, lisez-le l’humain vous expliquera bien des choses.
Lien : http://chroniquesdunebulle.n..
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Les poilus de Harlem

On apprend beaucoup dans ce roman ou plutôt cette épopée d'une compagnie Américaine pendant la première guerre mondiale.
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