L’auteur n’est pas très fixé quant à l’existence ou non de ce qu’on appelle exagération. Notre cerveau nous permet d’utiliser une fraction tellement minuscule de ses ressources qu’en un sens, tout ce que nous ressentons est en réduction. Nous n’employons les drogues, les techniques yogiques et la poésie –et mille autres méthodes plus maladroites encore- que pour nous efforcer de ramener les choses à la normale.