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Critiques de Tooru Oikawa (12)
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Infection, tome 8

Le « Casqué », nom donné à un infecté, a des ressources étonnantes. Comme s’il avait gardé des émotions et une intelligence humaine. Intelligence même supérieure à la moyenne, quand on constate la finesse de la stratégie qu’il emploie pour arriver à ses fins. Sa cible principale semble toujours être le bébé. Si on ne savait pas encore si il était un humain qui se faisait passer pour un infecté ou un infecté particulièrement évolué, nous avons la confirmation qu’il est effectivement un infecté avec des capacités qui dépassent même l’humain. Jusque là, les infectés se comportaient comme des décérébrés mais celui-là a plutôt le comportement d‘un haut potentiel. Transpercé, brûlé, il se régénère toujours, de plus en plus fort, de plus en plus puissant. Plus encore, il arrive à fédérer d’autres infectés, de toutes les évolutions d’avant lui. Son objectif, le bébé, comme une obsession. Le bébé est celui de la grande sœur de Kirara. Elle avait été répudiée par ses parents quand elle est tombé enceinte alors qu’elle était encore au lycée. Elle se serait sacrifiée pour sauver son enfant. Maintenant, c’est Satsuki, l’amie d’enfance de Haruki, qui tente de sauver le bébé coûte que coûte. Nous ne l’avions pratiquement pas revu depuis le premier épisode. Elle est prête à donner sa vie pour l’enfant et trouve le courage d’affronter de face le redoutable masqué. Elle avait réussi à joindre notre jeune héros, Haruki qui part à son secours et au secours du neveu de Kirara qui est depuis devenue sa maîtresse…



Ce huitième tome continue avec la chasse impitoyable de l’infecté surnommer le casqué. Il semble indestructible. Il aurait le pouvoir de fédérer d’autres infectés, de toutes générations et évolutions. A ce stade, tout le monde ignore d’où il tire un tel pouvoir. Les jeunes décident de concert qu’il faut tout tenter pour sauver le bébé mais aussi Satsuki. Cette dernière nous montre un courage à toute épreuve, elle qui était si réservée avant les mutations. De l’autre côté, Kamishiro, le pompier d’élite et le mentor de Haruki, qui, lui aussi était absent des épisodes précédents, a réussi à sauver les civils qu’il voulait protéger. Il va rejoindre le groupe de notre héros. Haruki arrive à sauver son amie d’enfance de l’infâme Casqué mais les autres infectés approchent dangereusement de leur position. Pendant ce temps, nous sommes complétement dans l’incertitude de l’avenir de la zone infectée et mise par les autorités sous quarantaine. Haruki, plus il s’affirme en héros, malgré lui, provoque l’admiration des filles. On sait déjà que Kirara est devenue sa maîtresse. Elle aime notre héros. Mais aussi la ténébreuse Chika Kisaragi, petite fille et fille d’influents politiciens. Le retour de Satsuki, jusqu’à lors presque absente de la série, va certainement compliquer la vie sentimentale de notre héros. Le voilà maintenant avec trois filles superbes qui se mettent en compétition pour décrocher son cœur. Il semble aussi que sa petite sœur, cas à part pour une personne qui avait été mordue, va revenir pleine de révélation. Plus important encore, quelle sera l’attitude du gouvernement et quelle mesures prendra t’il enfin pour sauver les pauvres survivants de la zone infectée mise en quarantaine ? Le scénario tient la route et le suspens reste entier. Pour le prochain épisode, les héros se sont trouvés un havre de paix. Mais on sait que les refuges tiennent rarement longtemps. Je m’attends à un épisode qui devrait être assez coquin car dans cet endroit tranquille, les filles vont se mettre en compétition pour séduire Haruki. Est-ce que leur comportement risque de compromettre leur sécurité ? A voir. Depuis le début de cette série qui revisite de façon originale le concept des morts vivants, nous passons du drame à la légèreté sans transition. C’est parfois déstabilisant mais les touches d’humour et d’érotisme allègent et équilibre le côté gore de l’histoire. Le graphisme est toujours à la hauteur, les personnages sont beaux, les monstres monstrueux et les paysages superbes. Bref, je suis toujours accro et c’est avec beaucoup d’impatience que j’attends la suite. Lu en version KINDLE avec une superbe méditation.



Personnage :



Haruki Amamiya : personnage principale, le héros. Lycéen de deuxième année, pervers polymorphe. Très protecteur vis-à-vis de sa petite sœur. D’un caractère plutôt rigide. Il est peut-être amoureux de son amie d’enfance Satsuki mais est assez obsédé par les jolies filles.



Kirara Isonami : Jeune fille qui est au lycée de notre héros. C’est avec elle que Haruki était enfermé au début de l’histoire. Elle est certainement le personnage secondaire. Courage mais pas toujours téméraire. Dès le début, elle s’est fait arracher se jupe par les porteurs et préfère se promener en string plutôt que de faire un fashion faux pas. C’est ainsi qu’elle est presque toujours les fesses à l’air. C’est clairement l’élément féminin érotique de l’histoire.



Satsuki Samidare : Amie d’enfance de Haruki. Pour l’instant, elle n’est pas impliquée et n’apparaît que quand le héros l’invoque.



Chika Kisaragi : amie d’Haruki, elle est dans le même lycée. Elle fait parfois office de grande sœur. Tous les élèves, filles et garçons, admire sa forte poitrine. Elle est très courageuse et peut-être amoureuse d’Haruki.



Yuzuru Takagi : camarade de lycée et ami d’Haruki. Il est organisé et efficace quand il faut prendre des décisions urgentes de survie.



Kaori Amamiya : c’est la petite sœur tant aimé par Haruki. C’est une fillette qui est encore à l’école primaire mais qui fait preuve d’un courage étonnant.



Kanae Enami : jeune fille écervelée, qui joue de ses atours pour séduire et obliger les hommes à la servir, même si ça doit leur coûter la vie. Elle est extrêmement égoïste.



Kamishiro : pompier d’élite qui maîtrise les arts martiaux et est étonnamment fort. Ami et camarde d’Haruki.



Les Porteurs : c’est comme ça qu’on appelle les humains infectés par des vers. Ils sont devenu, comme des zombies, cannibales et leur morsure fait mourir un humain sans le transformé en porteur. Espérance de vie maximum après une morsure : vingt-quatre heures.



Yuzuru Tagaki : c’est un ami proche d’Haruki. Il avait disparu mais il est mystérieusement revenu avec un stock important d’arme et un gros quatre fois quatre militaire. C’est un allié précieux mais on ne sait jamais le fond de sa pensée. Sa véritable identité semble encore inconnue.



Urara Isonami : c‘ est la grande sœur de Kirara. D’esprit indépendant, elle a décidé de changer de vie et d’avoir un bébé quand elle était encore au lycée. C’est parents l’ont mise à la porte de chez eux. Depuis, Kirara, sa petite sœur et héroïne depuis le début de la série, était sans nouvelle de sa grande sœur. Comme un porteur évolué, appelé le casqué, est à la poursuite de Urara et de son bébé, tout le monde pense qu’elle est décédée. Les parents des deux jeunes femmes sont morts.



Setsuko Tanaka, qui a pour pseudonyme Lotus du Temple du Phénix. Lotus est un nom de code. Elle est soubrette, du moins en apparence. Elle serait plutôt le garde du corps de Chika Kisaragi qui est de haute extraction. Un peu servante, un peu agent de renseignement, elle reste mystérieuse.







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Infection, tome 5

Kaori, la petite sœur de notre héros, Haruki, est vivante et s’est réveillée alors qu’elle avait été mordue par les porteurs. Mais à peine les retrouvailles consommées, elle part de son côté, peut-être combattre elle aussi les porteurs. Les autres personnes mordues se sont aussi réveillées mais leur état est anormal. Elles ne sont plus vraiment humaines, possèdent un regard noir et font preuve d’une force surhumaine. Elles s’attaquent aux pompiers, faisant un véritable massacre. Les nouvelles créatures, qui maintenant se nomment les infectés, s’en prennent à la population. Les pompiers créent des zones de survie tel le métro. Les pertes au sein de la brigade sont nombreuses. Kamishiro, le pompier courageux, décide de rester exposer pour protéger les civils afin que ces derniers aient le temps de se réfugier dans le métro. Haruki se retrouve dehors, seul avec ses deux amies, Kirara et Chika. Il se sent investi de la mission de les protéger à tout prix. Il se retrouve avec les deux jeunes femmes dans un moment critique quand arrive à leur rescousse un camarade de classe, Yuzuru. Ce dernier est fortement armé et possède un véhicule de l’armée. Pour se réorganiser, il entraine avec lui Haruki et ses amies. Il apprend au passage que Chika maîtrise les armes à feu, par l’éducation stricte qu’elle a reçue de son grand-père. Quand enfin, notre jeune héros peut goûter à un repos bien mérité, Chika lui fait une déclaration d’amour. Le pauvre ne sait plus comment gérer ses sentiments, entre Chika, Kirara et aussi Satsuki, qu’ils n’ont pas encore retrouvé mais qui semble aussi amoureuse d’Haruki…



A la fin du troisième tome, l’infection a changée. Les porteurs s’étaient mutés en monstre géants et ont fini par exploser en répandant des spores. Ca a réveillé les gens qui avaient été mordus en une espèce de monstre encore plus dangereux que les porteurs, appelé maintenant les infectés. Seule, la petite sœur de notre héros, qui s’est aussi réveillée, semble n’avoir pas les même séquelles et semble restée normale. Le danger n’a fait que croître et les pompier et la population du district sont de plus en plus isolés. Le gouvernement peine à prendre des décisions, surtout que le premier ministre ne veut pas que le Japon prenne connaissance de l’infection de peur de déclencher une panique générale. Ce tome aborde des sujets comme le sacrifice de soi, la solidarité mais aussi l’égoïsme de certains personnages. L’auteur s »amuse aussi a érotiser les lycéennes, toutes amoureuses de notre héros et qui sont toujours dans la séduction. Les dessins sont magnifiques, le scénario solide, ce qui ne l’empêche pas d’être grivois. J’aime vraiment beaucoup cette série. Lu en numérique sur un iPad Pro au format KINDLE avec une très bonne numérisation.



Personnage :



Haruki Amamiya : personnage principale, le héros. Lycéen de deuxième année, pervers polymorphe. Très protecteur vis-à-vis de sa petite sœur. D’un caractère plutôt rigide. Il est peut-être amoureux de son amie d’enfance Satsuki mais est assez obsédé par les jolies filles.



Kirara Isonami : Jeune fille qui est au lycée de notre héros. C’est avec elle que Haruki était enfermé au début de l’histoire. Elle est certainement le personnage secondaire. Courage mais pas toujours téméraire. Dès le début, elle s’est fait arracher se jupe par les porteurs et préfère se promener en string plutôt que de faire un fashion faux pas. C’est ainsi qu’elle est presque toujours les fesses à l’air. C’est clairement l’élément féminin érotique de l’histoire.



Satsuki Samidare : Amie d’enfance de Haruki. Pour l’instant, elle n’est pas impliquée et n’apparaît que quand le héros l’invoque.



Chika Kisaragi : amie d’Haruki, elle est dans le même lycée. Elle fait parfois office de grande sœur. Tous les élèves, filles et garçons, admire sa forte poitrine. Elle est très courageuse et peut-être amoureuse d’Haruki.



Yuzuru Takagi : camarade de lycée et ami d’Haruki. Il est organisé et efficace quand il faut prendre des décisions urgentes de survie.



Kaori Amamiya : c’est la petite sœur tant aimé par Haruki. C’est une fillette qui est encore à l’école primaire mais qui fait preuve d’un courage étonnant.



Kanae Enami : jeune fille écervelée, qui joue de ses atours pour séduire et obliger les hommes à la servir, même si ça doit leur coûter la vie. Elle est extrêmement égoïste.



Kamishiro : pompier d’élite qui maîtrise les arts martiaux et est étonnamment fort. Ami et camarde d’Haruki.



Les Porteurs : c’est comme ça qu’on appelle les humains infectés par des vers. Ils sont devenu, comme des zombies, cannibales et leur morsure fait mourir un humain sans le transformé en porteur. Espérance de vie maximum après une morsure : vingt-quatre heures.









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Infection, tome 6

Haruki et ses compagnons, Kirara, la jeune fille qui se ballade en string et qui est amoureuse de notre héros, Chika Kisaragi, la stratège à forte poitrine et également amoureuse d'Haruki et de Yuzuru Tagaki, ami de notre personnage principal et expert en arme à feu, viennent enfin de passer une nuit tranquille, réfugiés dans une maison isolée, quand ils reçoivent un appel de Satsuki, une amie d'enfance d‘Haruki, que nous n'avons vu qu'au premier épisode. Elle est en fuite avec une famille ou des inconnus mais dans ce groupe, il y aurait la soeur aînée de Kirara et son bébé. L'appel serait plutôt un genre de SOS car le groupe de Satsuki est sous le coup d'une double menace. Le groupe du refuge où ils sont, composé d'une famille plus ou moins mafieuse et qui serait aussi la fondatrice de la ville infectée après sa destruction pendant la seconde guerre mondiale mais aussi par un infecté évolué qui a des comportements humains mais qui tue sans pitié. Haruki et ses amis décident de porter secours à Satsuki et son groupe. Arrivés dans leur refuge, la famille qui possède le lieu ment à nos amis. Des négociations prudentes commencent mais de plus en plus , la menace de l'infecté masqué se fait sentir...



Je ne vais pas bouder mon plaisir et je vous avoue que j'aime cette série qui mêle l'amour, l'humour, l'horreur et l'érotisme. Le graphisme est magnifique. Les personnages sont beaux, expressifs. Et je ne dis même pas comme les personnages féminins sont à croquer. Je me doute déjà que certains esprits chagrins qui découvriront cette série nous expliquerons que l'érotisme pollue le scénario, n'apporte rien à l'histoire, qu'il est juste racoleur pour vendre cette série à des pervers (comme moi :-)) et que c'est dommage parce que ça plombe une histoire qui pourrait être passionnante. Mais si l'érotisme est si présent dans le scénario, c'est qu'il est là pour renforcer le réalisme de l'histoire. Les héros vivent au quotidien des drames, ils deviennent des frères d'armes, ils risquent leur vie l'un pour l'autre. Ils se frottent l'un à l'autre, vivent ensemble vingt-quatre heures sur vingt-quatre, l'adrénaline renforce leur proximité et leurs désirs. Ils sont jeunes, vigoureux, ne savent jamais s'ils auront un lendemain, alors, il y a un moment, quand le calme est relatif, quand les nerfs se relâchent, les sentiments ressentis se renforcent et l'envie frivole de plaisir, d'extase, sachant que peut-être, le lendemain ne sera pas, se développe et devient incontournable. La question reste : l'amour est-il du désir ou le désir naît de l'amour. Toujours est-il que qu'en on côtoie le danger au quotidien, tout devient doute et extrême. Pour cet épisode, nous sommes moins confronté aux infectés. L'horreur tire plutôt son origine dans les racines de ce qui fait de nous des humains. Il y en aura toujours pour défendre la collectivité, d'autres pour défendre un petit groupe d'individu souvent soumis à un chef ou leader et d'autres qui ne verront que leurs intérêts personnels à promouvoir, quitte à sacrifier les autres. Ce manga nous montre à la fois ce que l'humanité est capable d'accomplir de mieux ou de pire quand elle est menacée. Mais c'est vrai que ce volume nous fait la part belle à deux des héros de la série, Haruki et Kirara qui laisse parler leur attirance mutuelle et l'envie qu'ils éprouvent l'un pour l'autre. Mais, magnanime, Kirara suggère que la nuit prochaine, Haruki doit aussi devenir l'amant de Chika parce qu'elle aussi à le droit d'être amoureuse du héros principal de la série. Si dans ce tome, les infectés et les autres personnages sont mis au second plan, il est annoncé que nous allons découvrir d'avantage Satsuki, que nous n'avons pas vu depuis le premier opus. Elle aussi est amoureuse de notre héros, qui, même s'il veut rester intègre, reste très faible face au sexe opposé. Donc, le groupe et la ville reste isolés et en quarantaine. Le danger du aux infectés et aux infectés évolués est de plus en plus menaçant, la vie de tous les personnages ne teint qu'à un fil et cet épisode est pratiquement à lire comme un interlude, un peu de calme avant deux tempêtes. La date de parution du prochain tome est encore inconnue mais je vais la surveiller car cette série, si elle est émoustillante, elle reste surtout émouvante, héroïque, prenante et pleine de suspens. Lu en numérique en format KINDLE avec une très belle numérisation.



Personnage :



Haruki Amamiya : personnage principale, le héros. Lycéen de deuxième année, pervers polymorphe. Très protecteur vis-à-vis de sa petite soeur. D'un caractère plutôt rigide. Il est peut-être amoureux de son amie d'enfance Satsuki mais est assez obsédé par les jolies filles.



Kirara Isonami : Jeune fille qui est au lycée de notre héros. C'est avec elle que Haruki était enfermé au début de l'histoire. Elle est certainement le personnage secondaire. Courage mais pas toujours téméraire. Dès le début, elle s'est fait arracher se jupe par les porteurs et préfère se promener en string plutôt que de faire un fashion faux pas. C'est ainsi qu'elle est presque toujours les fesses à l'air. C'est clairement l'élément féminin érotique de l'histoire.



Satsuki Samidare : Amie d'enfance de Haruki. Pour l'instant, elle n'est pas impliquée et n'apparaît que quand le héros l'invoque.



Chika Kisaragi : amie d'Haruki, elle est dans le même lycée. Elle fait parfois office de grande soeur. Tous les élèves, filles et garçons, admire sa forte poitrine. Elle est très courageuse et peut-être amoureuse d'Haruki.



Yuzuru Takagi : camarade de lycée et ami d'Haruki. Il est organisé et efficace quand il faut prendre des décisions urgentes de survie.



Kaori Amamiya : c'est la petite soeur tant aimé par Haruki. C'est une fillette qui est encore à l'école primaire mais qui fait preuve d'un courage étonnant.



Kanae Enami : jeune fille écervelée, qui joue de ses atours pour séduire et obliger les hommes à la servir, même si ça doit leur coûter la vie. Elle est extrêmement égoïste.



Kamishiro : pompier d'élite qui maîtrise les arts martiaux et est étonnamment fort. Ami et camarde d'Haruki.



Les Porteurs : c'est comme ça qu'on appelle les humains infectés par des vers. Ils sont devenu, comme des zombies, cannibales et leur morsure fait mourir un humain sans le transformé en porteur. Espérance de vie maximum après une morsure : vingt-quatre heures.



Yuzuru Tagaki : c'est un ami proche d'Haruki. Il avait disparu mais il est mystérieusement revenu avec un stock important d'arme et un gros quatre fois quatre militaire. C'est un allié précieux mais on ne sait jamais le fond de sa pensée. Sa véritable identité semble encore inconnue.





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Infection, tome 7

Ce septième opus commence là où nous avions quitté le sixième. Nous retrouvons un personnage qui affairait une brève apparition dans le premier tome. Satsuki Samidare. L’histoire commence de façon antérieure au tome précédent. La jeune fille, amie d’enfance et ancienne voisine du héros, Haruki, est avec un groupe de trois personnes. Un gros galère, un flic et la sœur de Kirara, la jeune fille qui se promène en string depuis le début de la série et qui est devenue la maîtresse d’Haruki. Elle est fille mère, a quitté sa famille car ses parents l’ont jugée d’avoir « fauté ». Le groupe de quatre personnes plus le bébé sont poursuivi par l’homme masqué qui assassine des humains sans pitié. Est-il humain ou est-il un infecté évolué au point de savoir induire un voiture. Dans l’épisode précédent, tout le monde pensait que c’était un humain qui se faisait passer pur un infecté. Sa cible principale semble être le bébé. La sœur de Kirara, sa mère, veut tout faire pour le sauver de ce prédateur. Mais en même temps, elle ne veut pas nier au groupe. Elle essaye de trouver des solutions pour à la fois sauver son fils et protéger le groupe. Mais, dans le groupe, le policier n’est pas clair. De voir es infectés manger de la chair humaines lui donne envie de manger le bébé. A la fin de l’épisode, la boucle est bouclée et Satsuki appelle Haruki ; Nous nous retrouvons au même moment qu’à la fin du tome six…



Ce tome est une transition entre le début de la saga et sa suite. Plein de pistes s’ouvrent. Le gouvernement qui va peut-être envoyer les forces d’autodéfenses, le frère du héros qui semble avoir de l’influence sur l’âme politique et qui cherche qui pourrait être à l’origine de l’infection. Des personnages sont mis en sommeil mais vont sûrement réapparaître pour relancer l’histoire, comme la petite sœur du héros qui, la dernière fois qu’elle est apparue, semblait miraculeusement guérie. Il y a ce porteur casqué, êtes encore humain ou porteur évolué ? Cet épisode fait la part belle à Satsuki, qui, jusque là, n’avait fait qu’une brève apparition. >Nous découvrons le passé dramatique de la jeune fille et en même temps, son engagement à défendre le bébé et à le sauver, même au péril de sa vie. Le graphisme est constant, de grande qualité. Si le tome précédent avait privilégié l’érotisme en illustrant la relation entre Haruki et Kirara, ce tome est franchement plus sage tant que nous n’avons pas atteint le bonus qui joue sur les cordes de la grivoiserie. J’accroche toujours à cette série qui fait sortir les morts-vivants des rails dans lesquelles ils sont généralement cloisonnés. Nous naviguons entre l’horreur et la beauté mais nous ne sommes jamais dans la sagesse. J’avoue que même si ce tome est moins intense que les précédents, je reste sous le charme de cette série et attend la suite avec impatience. Lu en format Kindle avec une superbe numérisation.



Personnage :



Haruki Amamiya : personnage principale, le héros. Lycéen de deuxième année, pervers polymorphe. Très protecteur vis-à-vis de sa petite sœur. D’un caractère plutôt rigide. Il est peut-être amoureux de son amie d’enfance Satsuki mais est assez obsédé par les jolies filles.



Kirara Isonami : Jeune fille qui est au lycée de notre héros. C’est avec elle que Haruki était enfermé au début de l’histoire. Elle est certainement le personnage secondaire. Courage mais pas toujours téméraire. Dès le début, elle s’est fait arracher se jupe par les porteurs et préfère se promener en string plutôt que de faire un fashion faux pas. C’est ainsi qu’elle est presque toujours les fesses à l’air. C’est clairement l’élément féminin érotique de l’histoire.



Satsuki Samidare : Amie d’enfance de Haruki. Pour l’instant, elle n’est pas impliquée et n’apparaît que quand le héros l’invoque.



Chika Kisaragi : amie d’Haruki, elle est dans le même lycée. Elle fait parfois office de grande sœur. Tous les élèves, filles et garçons, admire sa forte poitrine. Elle est très courageuse et peut-être amoureuse d’Haruki.



Yuzuru Takagi : camarade de lycée et ami d’Haruki. Il est organisé et efficace quand il faut prendre des décisions urgentes de survie.



Kaori Amamiya : c’est la petite sœur tant aimé par Haruki. C’est une fillette qui est encore à l’école primaire mais qui fait preuve d’un courage étonnant.



Kanae Enami : jeune fille écervelée, qui joue de ses atours pour séduire et obliger les hommes à la servir, même si ça doit leur coûter la vie. Elle est extrêmement égoïste.



Kamishiro : pompier d’élite qui maîtrise les arts martiaux et est étonnamment fort. Ami et camarde d’Haruki.



Les Porteurs : c’est comme ça qu’on appelle les humains infectés par des vers. Ils sont devenu, comme des zombies, cannibales et leur morsure fait mourir un humain sans le transformé en porteur. Espérance de vie maximum après une morsure : vingt-quatre heures.



Yuzuru Tagaki : c’est un ami proche d’Haruki. Il avait disparu mais il est mystérieusement revenu avec un stock important d’arme et un gros quatre fois quatre militaire. C’est un allié précieux mais on ne sait jamais le fond de sa pensée. Sa véritable identité semble encore inconnue.





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Infection, tome 4

Haruki est devenu pompier. Une nouvelle évolution de porteur a fait son apparition. Ils ont perdu leur forme humaine, sont extrêmement puissants et dévorent es hommes, les femmes et les enfants d’une bouchée. Ils semblent insatiables. La zone où ils sont était clôturée et sécurisée amis avec la force qu’ils ont, ils font tomber les barricades comme si elles n’avaient aucune résistance. Pendant ce temps, Chika Kisaragi, une amie et camarade de notre héros, se révèle être la petite fille d’un puissant politicien. Elle trouve des informations et remarque que les dirigeants du pays étouffent les informations et le drame qu’ils vivent. Seul au monde, la zone doit espérer trouver des solutions pour survivre et combattre des monstres presque invisibles. Haruki est un héros, il se bat en risquant sa vie et tente surtout de sauver ses amis les plus proches. Kirara, la fille qui est avec lui depuis le début et qui se promène toujours les fesses à l’air se montre aussi très téméraire. Elle avoue son amour pour notre héros comme d’autres filles. Seulement, Kanae, la peste du lycée, n’hésite pas à mettre Haruki en danger. Voilà qu’il pleut et c’est exposés à l’eau que les porteurs évoluent…



J’ai lu les trois premiers tomes que j’avais téléchargés en même temps et n’ai pas pris le temps d’en faire la critique. Pourtant, je suis tombé sous le charme de tête série. Le charme féminin, pour commencer. Malgré que c’est une série d’horreur, c’est assez érotique. Surtout comme le personnage de Kirara qui depuis le premier tome à la manie de se promener les fesses à l’aire, avec un joli petit string. Au début, on pourrait se dire : « encore une histoire de zombie ! ». Mais non, elle est vraiment différente. Pour commencer, les porteurs, les infectés, sont sans doute des morts vivants mais c’est des verres qui ont pris la place de leurs yeux et de leurs organes. Ensuite, les mordus ne deviennent pas comme eux mais entre en léthargie. Ils semblent morts mais se conservent et ne pourrissent pas. Ensuite, la transformation à cause de la nourriture et l’eau, ça ne vous rappelle pas un peu les Gremlins ? Mais si mais si ! Sauf qu’ici, ne ne sont pas des êtres minuscules mais assez géants et qui ont la faculté, comme les poulpes, de s’introduire dans des endroits plus étroits qu’eux en se déformants. Bref, des monstres parfaits. Bref, l’histoire a beaucoup d’atout pour être séduisante, de l’humour, de la grivoiserie (je vous dis même pas le bonus), de l’action, du suspens. Même des personnages récurants dont sacrifiés, comme dans les séries genre Game or Thrones ou Walking Dead. Ce quatrième opus confirme l’intérêt que les premiers ont déclenché (et que peut-être je prendrai le temps de critiquer, ce qui m’obligera à les relire avec plaisir) et c’est avec impatience que j’attends la suite.



Personnage :



Haruki Amamiya : personnage principale, le héros. Lycéen de deuxième année, pervers polymorphe. Très protecteur vis-à-vis de sa petite sœur. D’un caractère plutôt rigide. Il est peut-être amoureux de son amie d’enfance Satsuki mais est assez obsédé par les jolies filles.



Kirara Isonami : Jeune fille qui est au lycée de notre héros. C’est avec elle que Haruki était enfermé au début de l’histoire. Elle est certainement le personnage secondaire. Courage mais pas toujours téméraire. Dès le début, elle s’est fait arracher se jupe par les porteurs et préfère se promener en string plutôt que de faire un fashion faux pas. C’est ainsi qu’elle est presque toujours les fesses à l’air. C’est clairement l’élément féminin érotique de l’histoire.



Satsuki Samidare : Amie d’enfance de Haruki. Pour l’instant, elle n’est pas impliquée et n’apparaît que quand le héros l’invoque.



Chika Kisaragi : amie d’Haruki, elle est dans le même lycée. Elle fait parfois office de grande sœur. Tous les élèves, filles et garçons, admire sa forte poitrine. Elle est très courageuse et peut-être amoureuse d’Haruki.



Yuzuru Takagi : camarade de lycée et ami d’Haruki. Il est organisé et efficace quand il faut prendre des décisions urgentes de survie.



Kaori Amamiya : c’est la petite sœur tant aimé par Haruki. C’est une fillette qui est encore à l’école primaire mais qui fait preuve d’un courage étonnant.



Kanae Enami : jeune fille écervelée, qui joue de ses atours pour séduire et obliger les hommes à la servir, même si ça doit leur coûter la vie. Elle est extrêmement égoïste.



Les Porteurs : c’est comme ça qu’on appelle les humains infectés par des vers. Ils sont devenu, comme des zombies, cannibales et leur morsure fait mourir un humain sans le transformé en porteur. Espérance de vie maximum après une morsure : vingt-quatre heures.









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Infection, tome 1

J'étais vraiment curieuse de découvrir Infection dont je n'avais jamais entendu parler mais c'est vrai qu'avec ce qui se passe en ce moment, le thème avait un petit côté d'actualité.

Les dessins sont hyper modernes, extrêmement travaillés avec plein de détails appréciables. J'aime vraiment bien le graphisme! Il y a un côté vraiment très malsain et ce qui dessert à l'histoire, c'est le fan service qui n'a absolument pas lieu d'être! On n'en a pas besoin ici, franchement! ça m'a agacé, surtout que l'histoire me plaît. Il y a beaucoup de scènes gores/glauques donc à ne pas mettre entre toutes les mains! Bon, ça reste une histoire d'infectés, de survie quand même assez classique, ce n'est pas non plus novateur mais ça fait son job, c'est divertissant. J'aime de plus en plus lire des mangas d'horreur, de survie et j'ai été servie avec Infection. C'est vraiment pas mal du tout mis à part le fan service qui ne sert à rien! Je pense donc lire la suite.
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Infection, tome 1

Une lecture vite abandonnée... Lire une histoire de zombies me plaisait, voir les fesses et la culotte des héroïnes toutes les 2 minutes, très peu pour moi...
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Infection, tome 1

Suspense, zombies et petites culottes... vont-ils réussir à fuir et à rester vivants ? Une belle entraide, de l'amitié et plein d'énergie et de ruses pour ces jeunes adolescents!
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Infection, tome 2

À la fin du premier tome, nous faisions la connaissance de la vaillante équipe de sapeurs-pompiers, venus sauver les nouveaux rescapés, dont Haruki, sa petite sœur Kaori, Kirara et les autres. Parmi les secouristes on rencontre Yû Kamashiro et Tetsu Yodogawa, deux hommes aux caractères bien différents. Admirant leur force et leur courage, Haruki en est quelque peu impressionné. Alors que le jeune homme et le reste des survivants pensaient pouvoir enfin se reposer et attendre qu’un remède au virus soit trouvé, ils vont vite déchanter. En effet, dans leur fuite l’un d’eux s’est fait mordre pas un porteur du virus. De ce fait la vie du malheureuse est menacé sans que personne ne puisse y faire quoique se soit. Choqué, abattu, et ayant le cœur brisé, Haruki va prendre la décision d’aller contre les règles de sécurité du camp afin que l’infecté puisse vivre des instants aussi normaux que possibles, loin de la zone de quarantaine et surtout loin du camp. Mais en choisissant cette voie, le jeune homme va mettre tout le monde en danger.



Dans ce deuxième tome, le mangaka prend le temps de présenter le travail des différentes équipes de secours, en insistant sur le fait que ce qu’ils doivent affronter s’avère difficile à supporter par moment. Les mines sérieuses après un retour de mission en sont la preuve. Toute cette partie est vraiment très intéressante, et permet de dresser un parallèle entre les forces de secours de notre monde à nous. Il n’est certainement pas facile pour un pompier, policier, ambulancier, chirurgien ou encore un soldat de côtoyer la mort chaque jour. Et peut-être que ceux qui n’évoluent pas dans ce monde de violence ont tendance à oublier ceux qui sont en plein dedans. Le cœur est lourd, et le manga retranscrit très bien cette atmosphère. Le personnage d’Haruki possède une cohérence d’écriture dans ses actions et le fait qu’il souhaite sauver le plus de monde possible, quitte à vraiment risquer sa vie. Du coup, l’option qui s’offre à lui dans le dernier chapitre du tome est logique et annonce vraiment une bonne suite.



Mais malgré ces qualités, Infection continue de souffrir de la partie ecchi, que l’on retrouvait déjà dans le premier tome. Surtout que dans ce nouveau tome il atteint un niveau de malaise comme je n’en ai rarement lu. Alors que l’on est en plein moment chargé en émotion, le mangaka a pris la décision d’inclure une scène qui ne manquera pas de mettre le lecteur très mal à l’aise. La scène en question commence avec Haruki préparant un bain pour sa petite sœur âgée d’environ dix ans. Jusqu’ici rien de choquant, me direz-vous. Mais attendez. La suite de la scène voit le frère et la sœur prendre un bain ensemble, complètement nus, et voyant même Haruki laver les parties intimes de sa sœur… alors d’accord il n’y a pas d’usage des mains – uniquement le jet du pommeau de douche – mais tout de même… Dans cette scène je ne sais pas ce qui est le plus gênant à la lecture. Le fait qu’un garçon de dix-sept ans se retrouve complètement nu devant sa sœur mineure, le fait que cette dernière découvre ce qu’est un pénis pour la première fois, ou le fait qu’elle s’assoit contre lui (fesses contre sexe) dans le bain… Ok, Kaori est au plus mal physiquement mais cela n’empêche pas d’être fortement perturbé par ce passage. Surtout qu’il n’apporte rien à la suite… Le mangaka aurait pu sauter cette scène ou faire que l’une des jeunes filles les accompagnant fasse prendre la douche à la petite. Bref. Vous l’aurez compris, cette scène dérange et gâche vraiment la lecture.



Néanmoins, je ne peux pas dire que le scénario de Tôru OIKAWA soit dénué de bonnes idées. Outre l’introduction des forces de secours, comme évoqué plus haut, il a aussi le traitement des zombies qui se veut différent de ce que l’on peut voir dans la majorités des séries du type The Walking Dead. N’étant pas fan de ces “monstres” de manière générale, le fait que les porteurs se retrouvent avec des vers sortant par les orbites, la bouche, les oreilles, etc me parle un peu plus. Toutefois, il faut noter qu’ils apparaissent moins que dans le tome précédent, puisque l’auteur a fait le choix judicieux de mettre en avant toute la partie défense des survivants et relationnels des protagonistes. D’ailleurs le traitement de ces derniers est assez bien exécuté. Que ce soit Haruki, Kirara, ou la grande amie du jeune homme Ragi, l’écriture n’est pas du tout mauvaise. On est même ravi d’assister à moments calmes où les confessions se font.



Comme dans le tome précédent, les dessins sont très bons. Les personnages sont physiquement bien exécutés, mais on regrettera toutefois le fait que Kaori possède des formes proches d’une adolescente de seize ans que les traits d’une enfant encore prépubère. Petit plus appréciable, chacun des personnages est facilement identifiable, tant le mangaka a pris soin à ce qu’ils soient différentiables entre eux. Les arrière-plans sont soignés, et riches en détails quand l’action évolue en zones rurales. Les scènes de combat sont dynamiques et lisibles.



En conclusion, comme lors de son premier tome, Infection se retrouve malmené par la présence inutile de fan-service à en devenir très malaisan et carrément dérangeant ici. Le rythme de lecture s’en retrouve impacté et le lecteur se demande bien si le mangaka ne va pas aller de mal en pie… Toutefois, le scénario de Tôru OIKAWA possède de l’action, de bonnes idées, et des personnages globalement intéressants. On attend donc de voir ce que donnera le tome 3, même si on émet quelques réserves…
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Infection, tome 1

J’ai lu ce premier tome d’Infection car le synopsis était intéressant : une ville japonaise fait face à l’infection d’une partie de sa population. Devenu des zombies aux yeux et à la bouche remplis d’asticots, les zombies s’attaquent notamment aux élèves d’un lycée...

Par contre, je ne m’attendais pas à autant de vues / contre vues de dessous de jupes - presque autant que de zombies aux yeux injectés de larves.

Au delà de ça, l’histoire est vraiment lente, ça discute vraiment trop à mon goût, même dans les moments de tension où les élèves risquent de mourir (avec pourtant des zombies aussi rapides que des vivants !).

J’ai noté ce manga en horrifique mais on rigole plus des situations qu’on en a peur.

En somme, je me suis ennuyé ferme entre les longs palabres et l’attente d’un peu d’action.
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Infection, tome 6

Le degré zéro du scénario où comment enchaîner les péripéties avec des grosses ficelles et des petites culottes. Franchement, un peu de ecchi ne me dérange pas du tout, mais quand il est aussi mal amené, c'est risible et ridicule. Autant lire par exemple Love & lies qui parle du sentiment amoureux et des pulsions adolescentes. Mais ici dans ce récit d'horreur, ce n'est jamais crédible, les string-seins-bombasses nuisent à cette aventure de survie dans un univers apocalyptique.

Une petite idée de comment se déroule chaque tome : les 2 premiers chapitres nos héros sont malmenés, chapitres 3-4 ils s'en sortent, chapitre 5 ils se grimpent dessus.



J'abandonne les héros à ce tome là... J'ai lu sérieusement les tomes 1 et 2, je ne savais pas trop à quoi m'attendre, puis voyant la teneur des propos et de l'intrigue, j'ai survolé les tomes suivants, je peux vous dire qu'on loupe pas grand-chose car malgré des dialogues assez long, il ne se passe quasiment rien qui fait avancer l'histoire ! Les espèces de mutants évoluent en des entités balaises et les héros se pourlèchent... et c'est tout.



Ça fait bien longtemps que je n'avais pas lu un manga que j'ai aussi peu apprécié, faudra que je me méfie plus de ce style à l'avenir.
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Infection, tome 1

J'ai longtemps hésité à acheter le premier tome, par peur de tomber une nouvelle fois sur un manga avec des zombies. Déjà, point positif, ce ne sont pas des zombies, c'est toujours ça de pris. L'évolution de la relation entre Haruki et Kirara était plutôt prévisible, on se doutait bien qu'ils ne se détesteraient pas bien longtemps dans un tel contexte. Ce premier tome n'est pas un chef d'oeuvre, mais les graphismes sont agréables et j'aime bien la manière dont ils sont infectés. Je vais donc le continuer, en espérant que la cause de cette infection ne soit pas une fois de plus un simple virus...
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