Valérie Roumanoff

L'ho'oponopono
Rituel hawaïen de pardon et de réconciliation pour aider à rétablir la paix en soi.
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La réalité est une création de nos pensées. Une pensée de ressentiment et de colère va créer une réalité de ressentiment et de colère.
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Chacun est créateur de sa vie à 100 %. Le meilleur comme le moins bon. Il est inutile de chercher à changer l'autre ou de se positionner en victime.
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Les situations qui apparaissent devant vous sont de votre responsabilité car elles répondent à des "mémoires" qui sont ancrées en vous. La solution consiste à effacer ces mémoires devenues limitantes et à laisser l'inspiration vous guider vers des situations positives et constructives.
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Dès qu'un conflit, une émotion forte et négative surgit, dites : "Désolé, Pardon, Merci, Je t'aime".
Comme un mantra de purifications, vous récitez cs mots en boucle pour nettoyer vos anciennes mémoires :
- Désolé : je reconnais ma responsabilité
- Pardon : Je me pardonne d'avoir créé cette situation
- Merci : je remercie la vie de m'avoir montré cette mémoire pour la nettoyer
- Je t'aime : j'envoie de l'amour à cette mémoires erronée pour qu'elle soit effacée.
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Vous pouvez adresser ces mots à différentes parties de votre corps.

Chacun voit le monde de sa fenêtre et il s’agit d’une toute petite fenêtre. On ne peut pas tout remarquer tout le temps consciemment. Alors on sélectionne. Et notre centre de tri intérieur n’est pas forcément bien calibré. On peut par exemple complètement omettre de remarquer toutes les bonnes choses qui nous arrivent dans une journée pour seulement se focaliser sur ce qui ne se passe pas comme on voudrait. On peut aussi oublier instantanément les compliments que l’on a reçus pour se focaliser uniquement sur les critiques. Voir que le verre est à moitié plein ou remarquer qu’il est à moitié vide. Et une fois de plus, la réalité n’a rien à voir là-dedans, il s’agit d’une décision de notre part.

- Qu'est ce que vous ressentez actuellement ?

Si je lui dis que j'ai envie de mourir, il va me prescrire des antidépresseurs. Si je lui dis que je vais bien, il va me demander ce que je fais là. Si je lui dis que j'ai envie de le taper, il va croire que je suis folle. Et pourtant, j'ai envie de le taper, vraiment. De lui arracher son calepin et de casser son stylo. Est-ce que je suis folle ? Est ce que je dois prendre des anxiolytiques ? Il ne m'a rien fait ce type et je le déteste. Est-ce que je fais un transfert ? C'est possible, ça, au bout de trois minutes ?

- Vous avez du mal à voir clair dans vos sentiments. Je comprends, enchaîne le psy.

vous découvrirez comment fonctionne votre enfant en termes d’apprentissage, pour adapter sa méthode de travail à ses compétences personnelles et réduire le temps des devoirs à la maison en lui apprenant à devenir plus efficace au quotidien.

Une fois la tempête calmée, c’est facile de dire « J’aurais dû… » ou « J’aurais pu… », mais non ! Si elle n’a pas fait autrement, c’est qu’elle ne pouvait pas faire autrement à ce moment-là. En regardant ensuite en arrière, en connaissant les conséquences de nos actes, ça nous paraît évident que ce n’était pas le meilleur choix, mais à l’époque, les choses étaient loin d’être aussi limpides.

Les objets au moins maintenant, on les recycle, alors qu'une relation sentimentale, en fait, elle a une obsolescence programmée.
A partir du premier rendez-vous, t'as deux mois maximum avant d'être remplacée sans regret.
Faut se rendre à l'évidence, je suis devenue un produit de consommation jetable.

Les enfants ne sont pas des personnes de demain, mais des personnes d’aujourd’hui.

Vas-y, Alice ! Lance-toi ! Tu es là pour sortir de ta zone de confort. Tu sais, il faut souffrir pour naître à soi, on est tous passés par là. Tu dois casser ton cocon pour devenir papillon.

Allez, tout le monde en rang deux par deux ! On arrête les pensées négatives, les enfants ! On s'ouvre à la découverte de soi !

On souffre de ce qui pourrait nous arriver. Ce futur hypothétique nous angoisse, nous tourmente autant que la plus évidente des certitudes. Nous ne sommes pourtant pas devins. Nous ne savons rien de ce qui va se passer. Mais cet avenir imaginaire nous fait souffrir autant que s’il s’agissait du présent le plus réel qui soit.