La peur tué plus de rêves que l'échec n'en tuera jamais. On peut choisir le confort ou le courage, mais jamais les deux en même temps.
Que c'est excitant ! Les livres sont le plus beau des cadeaux.
L'espoir peut nous pousser à faire des choses qu'on n'aurait jamais crues possibles.
Accepter qu'on ne sait pas, avouer qu'on ne sait pas, c'est ce qui ouvre une voie vers le savoir.
Papa avait toujours terriblement manqué à Arthur lors de ses absences. Mais maintenant qu'il savait qu'il ne reviendrait pas, il avait l'impression d'avoir le coeur brisé.
Tous les bruits qu'ils faisaient semblaient l'irriter : comme beaucoup de monde à Lontown, elle pensait que les enfants se devaient d'être invisibles.
-Détends toi, Arthur. Ce que tu peux être coincé! Je le cacherai, si tu as peur de ce que pourraient dire Harriet et Oncle Batzorig.
-Génial, donc non seulement tu as profité d’un moment d’inattention pour filer faire ça, mais en plus tu voudrais que je sois complice de ton secret?
-Exactement, répondit-elle en souriant.
- Vous vous trompez, répliqua Arthur. L'amour n'a rien à voir avec le sang. L'amour, c'est ce qu'on décide de faire, les choix que l'on fait.
Felicity agita sa cuillère en direction d'Eudora.
- Vous vous trompez sur la famille. Vous leur avez peut-être enlevé leur père, mais il continue de vivre en eux, plus fort que jamais, et de lutter contre la terrible injustice qui leur a été faite. Ils ont une famille : ils nous ont, Harrie et moi, et tous les autres membres de notre équipage, qui nous attendent dans la forêt. La famille n'est pas toujours celle dans laquelle on naît. C'est ce qu'on fait les uns pour les autres et les expériences qu'on traverse ensemble qui font une famille.
son regard passa de l’un à l’autre. Arthur aurait juré que sa dureté habituel c’était atténuée, et que ses yeux témoigner d’une rare chaleur- À moins que ce ne soit de la pitié? mais elle se redressa, et cette impression disparue -Votre père ne reviendra pas.
Un fil dans son cœur se tendit, d'une matière pure défiant toute description et toute explication, car son cœur n'était pas qu'un organe, qu'une pompe composée de cellules dans sa poitrine ; il était composé de bonheur et d'angoisse, de joie et de désespoir, et surtout d'amour. Et à cet instant précis, il lui faisait si mal qu'il craignait qu'il ne se brise comme du verre fragile s'il prenait le risque d'inspirer.