À aucun moment sa main ne m’a lâchée.
Un soutien, un pilier… Un point d’ancrage dans la tourmente. Voilà ce qu’il représente pour moi.
Avant de te connaitre, je n’étais pas brisé comme je l’ai si souvent pensé, je ne l’ai jamais été. Par conséquent, tu ne m’as pas réparé. Jusqu’à ta rencontre, je n’étais pas « cassé », mais simplement incomplet. Il me manquait cette pièce importante à mon bonheur, à mon équilibre… Cette pièce, c’est toi. Tu es celle qui fait que je tourne rond. Avec toi, je me sens bien, complet. Apolline, tu es celle qui manquait à ma vie.
Ce qu’il s’est passé entre nous, je sais que je ne le referai avec personne d’autre, jamais. Tu es unique, Ludi, vraiment. Tu es une femme possédant une très belle moralité, tu es patiente, compréhensive et tu manies les mots comme personne. Jusqu’à aujourd’hui, je n’avais encore jamais rencontré quelqu’un comme toi.
— Tu es si forte, tu te plains tellement peu souvent que par moment, j’en oublie presque que tu es blessée. Tu sais, je n’ai encore jamais rencontré une femme comme toi, tu es particulière. Je me sens bien en ta compagnie, je ne me mets pas la pression. Avec toi, j’ai l’impression d’être… moi.
Un trou dans la chaussée ? Il était pour moi. Un poteau sur mon chemin ? Je ne le voyait pas ! Une personne pressée courant dans la rue avec un gobelet de café dans la main ? Et bien, le liquide noir et brûlant finissait sur mon pull.
Les lions buvaient, tout simplement . Il avait fait très chaud toute la journée, très chaud et l'eau chlorée de la piscine ne devait sûrement pas être à leur goût alors que le sang humain...La pauvre femme les avait hydratés, leur avait donné à boire . A la tienne Simba, un dernier verre pour la route ? Ils s'y étaient mis à plusieurs, un joyeux trio de copains attablés autour d'un délicieux apéro! Quand le sang avait cessé de couler, la faute du cœur qui ne battait plus, les lions s'étaient mis à ripailler !
- Je me disais jusqu'à hier que notre histoire se terminait par : jusqu'à ce que la mort nous réunisse. Et maintenant, que je te tiens, même la mort n'a pas intérêt à nous séparer !!!
J’ai tellement souffert en apprenant quelle enfance tu as eue, et ce que l’on t’a obligé à faire. J’ai eu mal pour toi, je voulais te serrer contre moi, te rassurer, te consoler.
Je ne sais pas vraiment expliquer le pourquoi du comment, mais je me sens comme attaché à toi, relié. Ce qui s’est passé hier, la façon dont tu es parvenue à calmer mes angoisses en est la preuve. La toute première fois, quand je suis tombé sur ton profil, ça a fait une espèce de tilt auquel je ne m’attendais pas. Plus je parle avec toi et plus j’ai besoin de le faire.
Les images devaient se mélanger, s'imbriquer les unes dans les autres lui créant une réalité alternée.