L’expression « accès » ne doit pas être emprunté au-dehors, c’est pourquoi il est préférable de remplacer « accès » par l’expression être co–empêtré, en présupposant que tout empêtrement d’autrui, même l’empêtrement des animaux et des plantes, surgit seulement en tant que co–empêtrement, sur la base du co-empêtrement.