La douceur de lire après la fureur de vivre, un bien joli radeau pour la naufragée du bitume en réparation, la pasionaria des transgressions alcooliques habituée à faire le mur des préjugés bourgeois, chrétiens, pour explorer en douce les jardins interdits. Alors, Flo, on lit quoi ? Comme à l’hôpital, on lit ce qu’on lit. On s’endort sur les bouquins sans avoir bien compris de quoi ça parlait, on ne les finit pas, on les oublie.