Enfin, parce que le roman policier se trouve dans une situation paradoxale. Il fait en effet l'objet de critiques fustigeant les personnages "creux" et "stéréotypés". [...] Mais d'un autre côté, force est de constater que l'imaginaire contemporain se nourrit de ce genre et de ses personnages : privés, truands, vamps... Il apparaît comme un "réservoir" inépuisable pour les romans, les films, les journaux, la publicité.