AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Yves Salgues (7)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
Gainsbourg ou la provocation permanente

Romancier et journaliste, Salgues a bien connu Gainsbourg, qu’il était l’un des rares à appeler Sergio. Son bouquin est avant tout un livre sur lui-même, notamment sur sa toxicomanie, établissant un parallèle assez étroit entre les deux trajectoires. L’un des rares livres sur Gainsbourg qui ne se positionne pas en infériorité par rapport à son sujet.
Commenter  J’apprécie          60
Gainsbourg ou la provocation permanente

Pourquoi j'ai acheté ce livre?



Et bien c'est un prêt en fait. Un voisin venu chez moi et, ayant compris que je suis un spécialiste de Gainsbourg a cru aimable de me prêter son seul livre sur le sujet. Il m'a donc prêté sa relique religieusement... Or il se trouve que c'est l'un des derniers que je n'avais pas lu sur ce sujet. Donc voilà.



Et si cela vous étonne , cette probabilité improbable (le voisin qui me colle dans les mains le seul livre qui me manquait), moi, avec ce sujet, plus rien ne m'étonne (comprenne qui pourra ;) )



En gros ça parle de :



De Serge Gainsbourg (si!) tel qu'on le voyait en 1989 quelques mois avant sa mort. Livre sur un vivant donc, écrit de la part d'un ami.



Mon avis à moi que j'ai :



C'est la plus longue fellation que j'ai lue de ma vie. Désolé mais je ne vois pas d'autres mots, tout le long de ce livre Yves Salgues suce Gainsbourg (ou rêve de le faire, à croire...) tant et plus que ça devient gênant, lourdingue, pesant. Mr Salgues adore Gainsbourg et la période BB en particulier (oui ben, comme tout le monde) et il n'a pas de mot assez fort pour le dire, le re dire et le re re dire... Ce qui est assez lassant. Seul intérêt, ce livre est écrit à partir d’interview de Gainsbourg ce qui lui donne une certaine fraicheur d’inédit, un amusement aussi de voir comment Gainsbourg parlait de sa vie en 1989 (et à l'époque autant dire que la legendification de soi même battait son plein). Problème connexe Salgues ne vérifie rien de ce que lui a dit gainsbourg et publie tout un tas de conneries plus grosses les unes que les autres (notamment sur l'enfance ou les deux autres enfants de Gainsbourg avant charlotte...) à tel point que ça en devient gênant. Mais ceci dit, sucer et prendre de la distance c'est pas facile hein.



Bref il en reste aujourd'hui un livre ultra anecdotique, à ne réserver qu'aux puristes hard core.
Lien : http://yannfrat.com/blog/?p=..
Commenter  J’apprécie          42
L'héroïne

Ce récit est un plaidoyer contre la drogue qui détruit la personne humaine.
Commenter  J’apprécie          30
L'empire des serpents

L'histoire se déroule entièrement dans le LOT, département de naissance de l'auteur, voisin de mon CANTAL. Mais le roman de SALGUES n'est pas un roman de terroir, c'est un roman de personnages mis en scène durant l'occupation allemande de 1940 à 1944 en deçà de la ligne de démarcation où ma foi le gouvernement du bon vieux Maréchal n'était pas mal ressenti du tout même si à l'occasion on pouvait donner un coup de main aux maquisards. Fabien SENEGAL a 14 ans en 1940, il est orphelin et montre à l'égard de Philippe HAUTEBOUCHE, résistant, 20 ans, une amitié plutôt ambivalente. Ce dernier l'aime bien mais n'accède pas aux désirs de Fabien.

Très doué, pour les études et le Foot-Ball dans une région où domine le rugby, Fabien est nommé à 17 ans instituteur à CASTELNAUD LES HAUTS-MONTS, (cela ne doit pas exister mais je devine près de BRETENOUX et de St CERE II a affaire à une classe de 35 élèves dont certains presque aussi âgés que lui et très difficiles. Il parvient à les mater et se prend d'amitié avec le jeune Bruno DARDEMONGE qui le sauve d'une fâcheuse posture devant un serpent aspic introduit dans la classe. Bruno éprouve envers Fabien les mêmes dispositions que lui naguère envers HAUTEBOUCHE et voudrait que Fabien accède à ses désirs sensuels mais commet l'imprudence de lui présenter sa mère. Fabien aime les femmes mais qui ont plus de trente ans. Valérie, 32 ans est toute désignée, complètement esseulée qu’elle est depuis que son fougueux mari a été requis pour le STO et ne voulant pas gâcher en prières les quelques belles années qu’il lui reste à vivre, elle tombe amoureuse de ce beau mâle, qui fait s’imaginer un jeune taurillon prêt pour saillir et qui vole de succès en succès dans l’enseignement et le Foot-Ball…

Commenter  J’apprécie          10
Gainsbourg ou la provocation permanente

A moins d'être atteint de la collectionnite aigüe du fan hardcore qui, par définition, voudrait avoir tout lu, nul besoin de lire "Gainsbourg ou la provocation permanente" d'Yves Salgues. D'autres auteurs, comme Gilles Verlant, ont quasiment tout dit, et mieux, dans leur propre biographie. Salgues, d'ailleurs, se défend (voire revendique) d'écrire une biographie conventionnelle à plusieurs reprises au fil du texte. On a donc plutôt à faire

à une espèce de long essai assez verbeux sur Gainsbourg, hautement subjectif (cette obsession pour BB dont, en tant que lecteur, je me contrefous...) et répétitif. Si l'auteur a incontestablement une plume, elle gagnerait à être moins ampoulée, moins lyrique. On le comprend bien, Gainsbourg est une grande passion pour Salgues. Pour la rigueur factuelle, en revanche, on repassera : non seulement des pans entiers de la vie et la carrière de Gainsbourg sont à peine survolés voire pas du tout évoqués, mais les erreurs biographiques et autres coquilles sont légion : Assez superficiel donc, et daté avec ça, "Gainsbourg ou la provocation permanente" est un livre un peu pour rien, un peu vain, à lire si Gainsbourg vous intéresse et que le livre de poche vous passe entre les mains...Mais il ne vaut pas le coup d'être activement recherché.
Commenter  J’apprécie          00
Charles Aznavour

En 1948, ‪Edith Piaf‬ offre sa première caméra à ‪Charles Aznavour‬, une Paillard qui ne le quittera plus. Jusqu’en 1982 Charles filmera des heures de pellicules qui formeront le corpus de son journal filmé. Aznavour filme sa vie et vit comme il filme. Partout où il va, sa caméra est là, avec lui. Elle enregistre tout. Les moments de vie, les lieux qu’il traverse, ses amis, ses amours, ses emmerdes. Quelques mois avant sa disparition il entame avec Marc di Domenico le dérushage de ses films. Il décide alors d’en faire un film, son film. “Le regard de Charles" : le journal filmé d’une légende mondiale Voilà une bio serrée qui entend tout nous révéler sur le petit Arménien. Enfin, presque ? Je suis fan !
Commenter  J’apprécie          00
L'héroïne

Géant c'est du vécu

Commenter  J’apprécie          00


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Yves Salgues (92)Voir plus

Quiz Voir plus

La jeune fille dans tous ses états (titres)

"La Jeune Fille à la perle" est un ............................

tableau de Vermeer
roman de Tracy Chevalier
film avec Scarlett Johansson
les 3

14 questions
28 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , peinture , cinema , musiqueCréer un quiz sur cet auteur

{* *}