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Alexis vit dans un petit village de campagne et il est au collège. Il participe avec ses camarades de classe à l’équipe de handball avec notamment Jordan, Kader, Jules mais sa vie est de plus en plus difficile car il s’aperçoit dans les vestiaires des garçons qu’il a des désirs différents de ses camarades, il est notamment troublé depuis quelque temps par son camarade, Romain et fantasme sur son corps. Ses parents, Philippe et Sophie, sont les boulangers-pâtissiers du village, son frère aîné, Antoine, y travaille aussi et il est en couple avec l’employée de la boulangerie, Clara ; ils vivent dans une promiscuité et une pauvreté honteuses pour Alexis.
Au collège, il est ami depuis sa plus tendre enfance avec Louanne qui est amoureuse de lui. Aussi, quand Alexis doit aller à l’infirmerie, après une entorse au hand-ball, Louanne garde son cartable et elle y découvre les dessins d’Alexis en marge de ses cahiers de cours.
“Jérémy Bouquin, né en 1975, touche à tout, mais surtout passionné : il est vidéaste, scénariste de comics book (Le privé, Freddy Marteau), et animateur radio. Auto-éduqué à grands coups de néo-polar, Bercé par l’ambiance polar avec des auteurs comme Ellroy, Hammet, J.P. Manchette, la SF cyberpunk de Gibson Sterling et les comics books d’Alan Moore, Miller, Warren Ellis et Ed Brubaker. II est l’auteur de plusieurs nouvelles, de plusieurs romans et même d’un thriller fantastique pour ados.” source : éditions Cairn
Il a publié une quarantaine d’ouvrages et quatre romans en littérature pour la jeunesse, Le croque-mitaine en 2014 chez Oskar éditeur en Oskar polar, Radio Tiparillo en 2021 chez Lamiroy en Opuscule et L'ogre : science-fiction en 2024 chez Innana éditions.
“Le Muscadier publie des romans et des recueils de nouvelles qui s’adressent aux ados, aux jeunes adultes et aux adultes. Qu’ils fassent rire aux éclats ou pleurer à chaudes larmes, qu’ils entraînent leurs lecteurs et lectrices dans l’exaltation du cœur ou dans la noirceur de l’âme, nos livres ont tous le même objectif : stimuler le bon sens et titiller la réflexion. Nos auteurs et autrices refusent le prémâché quotidien, le prêt-à-penser et tous les types de formatage. Leurs textes prônent l’ouverture aux autres, aux différences, au vivre-ensemble – tout simplement à l’humain et à son écosystème.” source : Muscadier.fr
“La collection Rester vivant est constituée de romans et de recueils de nouvelles qui parlent du monde d’aujourd’hui, en abordant sans détours les questions écologiques, sociales et éthiques qui émergent au sein de la société dans laquelle nous évoluons. Ces livres s’adressent aux pré-ados, aux ados… et plus généralement à tous les lecteurs qui résistent à l’asservissement des esprits.” source : Muscadier.fr/collections
Un jeune adolescent découvre subitement son homosexualité et en quelques jours, tout son monde s’écroule car il est outé au collège par sa meilleure amie, il est harcelé puis il est victime de mauvais traitements dans sa famille car son père ne supporte pas l’orientation sexuelle de son fils. Le roman est sombre et mélodramatique, il décrit une famille frustre et pauvre à la campagne, le père est machiste, homophobe, alcoolique et violent et il n’y a quasiment pas de personnages positifs autour du héros.
L’homosexualité est abordée comme dans les premiers romans pour la jeunesse français de la fin du siècle dernier sous l’angle de la douleur de la différence, de la difficulté à affirmer son identité sexuelle dans un monde conservateur et intolérant et du poids de cette malédiction sociale. La scène de violence intra-familiale est extrêmement violente et la noirceur du roman doit probablement servir à un message prescriptif. Le héros subit tous ces outrages sans évolution du personnage ni adjuvant.
Néanmoins, dans une actualité éditoriale particulièrement riche en littérature adolescente pour célébrer la diversité sexuelle, ce roman semble appartenir à la littérature d’un autre siècle, sans aucune réflexion sur l’actualité LGBTQIA+.
Le roman met en exergue à chaque début de partie le poème de Rudyard Kipling, Tu seras un homme, mon fils.
Au collège, il est ami depuis sa plus tendre enfance avec Louanne qui est amoureuse de lui. Aussi, quand Alexis doit aller à l’infirmerie, après une entorse au hand-ball, Louanne garde son cartable et elle y découvre les dessins d’Alexis en marge de ses cahiers de cours.
“Jérémy Bouquin, né en 1975, touche à tout, mais surtout passionné : il est vidéaste, scénariste de comics book (Le privé, Freddy Marteau), et animateur radio. Auto-éduqué à grands coups de néo-polar, Bercé par l’ambiance polar avec des auteurs comme Ellroy, Hammet, J.P. Manchette, la SF cyberpunk de Gibson Sterling et les comics books d’Alan Moore, Miller, Warren Ellis et Ed Brubaker. II est l’auteur de plusieurs nouvelles, de plusieurs romans et même d’un thriller fantastique pour ados.” source : éditions Cairn
Il a publié une quarantaine d’ouvrages et quatre romans en littérature pour la jeunesse, Le croque-mitaine en 2014 chez Oskar éditeur en Oskar polar, Radio Tiparillo en 2021 chez Lamiroy en Opuscule et L'ogre : science-fiction en 2024 chez Innana éditions.
“Le Muscadier publie des romans et des recueils de nouvelles qui s’adressent aux ados, aux jeunes adultes et aux adultes. Qu’ils fassent rire aux éclats ou pleurer à chaudes larmes, qu’ils entraînent leurs lecteurs et lectrices dans l’exaltation du cœur ou dans la noirceur de l’âme, nos livres ont tous le même objectif : stimuler le bon sens et titiller la réflexion. Nos auteurs et autrices refusent le prémâché quotidien, le prêt-à-penser et tous les types de formatage. Leurs textes prônent l’ouverture aux autres, aux différences, au vivre-ensemble – tout simplement à l’humain et à son écosystème.” source : Muscadier.fr
“La collection Rester vivant est constituée de romans et de recueils de nouvelles qui parlent du monde d’aujourd’hui, en abordant sans détours les questions écologiques, sociales et éthiques qui émergent au sein de la société dans laquelle nous évoluons. Ces livres s’adressent aux pré-ados, aux ados… et plus généralement à tous les lecteurs qui résistent à l’asservissement des esprits.” source : Muscadier.fr/collections
Un jeune adolescent découvre subitement son homosexualité et en quelques jours, tout son monde s’écroule car il est outé au collège par sa meilleure amie, il est harcelé puis il est victime de mauvais traitements dans sa famille car son père ne supporte pas l’orientation sexuelle de son fils. Le roman est sombre et mélodramatique, il décrit une famille frustre et pauvre à la campagne, le père est machiste, homophobe, alcoolique et violent et il n’y a quasiment pas de personnages positifs autour du héros.
L’homosexualité est abordée comme dans les premiers romans pour la jeunesse français de la fin du siècle dernier sous l’angle de la douleur de la différence, de la difficulté à affirmer son identité sexuelle dans un monde conservateur et intolérant et du poids de cette malédiction sociale. La scène de violence intra-familiale est extrêmement violente et la noirceur du roman doit probablement servir à un message prescriptif. Le héros subit tous ces outrages sans évolution du personnage ni adjuvant.
Néanmoins, dans une actualité éditoriale particulièrement riche en littérature adolescente pour célébrer la diversité sexuelle, ce roman semble appartenir à la littérature d’un autre siècle, sans aucune réflexion sur l’actualité LGBTQIA+.
Le roman met en exergue à chaque début de partie le poème de Rudyard Kipling, Tu seras un homme, mon fils.
Amélie Antoine nous offre un thriller psychologique époustouflant, terrifiant et glaçante.
Une histoire qui commence comme un conte de fées.
Lilas et Maxime se sont mariés et sont parents depuis peu. Ils forment un couple heureux enfin en apparence jusqu’à ce que tout bascule.
En pleine nuit, Lilas se réveille, mais Maxime et son bébé ont disparu. Angoisse, stress et questionnements. L’adrénaline monte d’un cran.
Que s'est-il passé ?
Amélie nous offre un thriller psychologique terrifiant et époustouflant. Un sujet exploité d’une main de maître. Un récit parfaitement bien construit.
Dans une ambiance sombre, angoissante et terrifiante, le lecteur plonge dans cette histoire jusqu’à la dernière page. Amélie Antoine décortique la psychologie des personnages avec brio. Cette autrice sait manipuler ses lecteurs en y ajoutant une héroïne avec des relations complexes entre sa mère et son mari.
D’une plume soignée, brillante et d’une telle fluidité, le suspense est à son comble. Le puzzle machiavélique se constitue, jusqu’au dénouement final.
Quant à la fin, j’ai senti où Amélie voulait m’emmener néanmoins ça n’a pas gâché ma lecture.
J’ai dévoré cette pépite.
Alors un conseil, foncez et Lisez-le !
Lien : http://juliechronique.fr/202..
Une histoire qui commence comme un conte de fées.
Lilas et Maxime se sont mariés et sont parents depuis peu. Ils forment un couple heureux enfin en apparence jusqu’à ce que tout bascule.
En pleine nuit, Lilas se réveille, mais Maxime et son bébé ont disparu. Angoisse, stress et questionnements. L’adrénaline monte d’un cran.
Que s'est-il passé ?
Amélie nous offre un thriller psychologique terrifiant et époustouflant. Un sujet exploité d’une main de maître. Un récit parfaitement bien construit.
Dans une ambiance sombre, angoissante et terrifiante, le lecteur plonge dans cette histoire jusqu’à la dernière page. Amélie Antoine décortique la psychologie des personnages avec brio. Cette autrice sait manipuler ses lecteurs en y ajoutant une héroïne avec des relations complexes entre sa mère et son mari.
D’une plume soignée, brillante et d’une telle fluidité, le suspense est à son comble. Le puzzle machiavélique se constitue, jusqu’au dénouement final.
Quant à la fin, j’ai senti où Amélie voulait m’emmener néanmoins ça n’a pas gâché ma lecture.
J’ai dévoré cette pépite.
Alors un conseil, foncez et Lisez-le !
Lien : http://juliechronique.fr/202..
Vadim cinq ans, un petit garçon extrêmement sage. Nathan est son petit frère et Volodya son soit disant grand frère.
Marianne la maman de ces deux merveilleux garçons, ne supporte plus que Vadim parle de Volodya, un grand frère inventé qui sort de l'imagination de son fils aîné.
Marianne s'inquiète beaucoup pour Vadim, elle ne comprend pas ce qui a déclenché l'illusion de ce grand frère imaginaire.
Vadim, qui a toujours été un petit garçon sans histoires, commence à se faire remarquer. À la maison ou à l'école, rien n'est de sa faute, c'est celle de Volodya.
Un thriller incroyablement noir qui fait ressortir toute une détresse parentale.
Un phénomène normal du point de vus des pédopsychiatres, mais ici l'illusion de l'ami imaginaire chez l'enfant est décuplé, voir mal sain.
Le récit est extrêmement bien construit par les chapitres qui fonctionnent en tant que compte à rebours jusqu'au point final de l'histoire.
Nous aurons le point de vue de Marianne et de Sylvain le papa en alternance pour un ressenti différent sur la situation.
Entre chaque chapitre maître du temps, des intervenants comme la maîtresse de Vadim, les voisins de la famille ect...
Un point de vus qui nous laisse présager un drame final ce qui accentue la peur viscérale de découvrir le fin mot de l'histoire de cette famille.
J'ai beaucoup aimé l'immersion totalement réaliste au sein de cette famille, la situation m'a fait penser que tout cela pouvait passer de la fiction à la réalité. Comment réagir ? Quel choix adopté pour éviter peut-être un drame!
Amélie Antoine est une experte en roman Noir et le prouve une fois de plus ici avec sa plume incisive et ses textes ciselés, la magie opère.
Le suspense est bien évidemment au rdv et nous tort d'angoisse avec une fin inimaginable, dont l'autrice à le pouvoir.
BRAVO !!!
Marianne la maman de ces deux merveilleux garçons, ne supporte plus que Vadim parle de Volodya, un grand frère inventé qui sort de l'imagination de son fils aîné.
Marianne s'inquiète beaucoup pour Vadim, elle ne comprend pas ce qui a déclenché l'illusion de ce grand frère imaginaire.
Vadim, qui a toujours été un petit garçon sans histoires, commence à se faire remarquer. À la maison ou à l'école, rien n'est de sa faute, c'est celle de Volodya.
Un thriller incroyablement noir qui fait ressortir toute une détresse parentale.
Un phénomène normal du point de vus des pédopsychiatres, mais ici l'illusion de l'ami imaginaire chez l'enfant est décuplé, voir mal sain.
Le récit est extrêmement bien construit par les chapitres qui fonctionnent en tant que compte à rebours jusqu'au point final de l'histoire.
Nous aurons le point de vue de Marianne et de Sylvain le papa en alternance pour un ressenti différent sur la situation.
Entre chaque chapitre maître du temps, des intervenants comme la maîtresse de Vadim, les voisins de la famille ect...
Un point de vus qui nous laisse présager un drame final ce qui accentue la peur viscérale de découvrir le fin mot de l'histoire de cette famille.
J'ai beaucoup aimé l'immersion totalement réaliste au sein de cette famille, la situation m'a fait penser que tout cela pouvait passer de la fiction à la réalité. Comment réagir ? Quel choix adopté pour éviter peut-être un drame!
Amélie Antoine est une experte en roman Noir et le prouve une fois de plus ici avec sa plume incisive et ses textes ciselés, la magie opère.
Le suspense est bien évidemment au rdv et nous tort d'angoisse avec une fin inimaginable, dont l'autrice à le pouvoir.
BRAVO !!!
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