A partir d’échanges avec Dita Kraus, l’auteur a reconstitué son histoire lors de son enfermement à Auschwitz. Par d’habiles flashbacks, il restitue l’enfance de Dita à Prague puis le premier exil à Terezin. Il a réussi à montrer comment au cœur de l’enfer la littérature (toutes les littératures) a permis à certains de s’accrocher à une once d’espoir. Le romancier adopte parfois un ton journalistique en relatant les faits ce qui renforce la crédibilité des faits mais atténue leur impact émotionnel. Un roman nécessaire pour ne pas oublier l’horreur nazie mais qui ne m’a pas complétement conquise.
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