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L’auteur vous propose un thriller très intense. Je le classe dans mes indispensables.
*****
Il se peut que certains d'entre vous soient freinés à cause du titre de ce livre, craignant de se replonger (à juste titre) dans ces événements douloureux et traumatisants. Je me suis moi-même fait la réflexion car je me suis toujours refusée (jusqu’à présent) de lire un livre traitant des attentats.
Je trouvais cela indécent. Et puis, la curiosité a été la plus forte car j’ai déjà lu cet auteur et je sais à quel point il peut se montrer rigoureux et qualitatif. Je me suis donc lancée.
Effectivement, les attentats qui ont touché la France sont mentionnés mais n’ont pour objet (principal) que d’étayer l’intrigue très riche et très dense. L'auteur prend soin de ne pas enfoncer davantage le couteau dans des plaies encore béantes.
L’histoire est prenante dès les premières pages et se veut très réaliste car inspirée de faits réels et j’avoue que tout cela fait froid dans le dos.
Florent Marotta nous dépeint avec beaucoup de précisions une société qui ne fonctionne plus, qui n'est plus armée pour faire face au terrorisme.
Il fait également la part belle aux hommes et aux femmes (policiers ou non) qui n'ont de cesse de lutter pour nous protéger et qui n'hésitent pas à donner leur vie pour sauver celles de centaines d’autres.
Il y a également ces autres héros, qui resteront dans l’ombre car ils œuvrent bien souvent dans l’anonymat le plus complet, mais leur combat est tout autant important et j’ai eu le sentiment que l’auteur leur rendait également hommage. Un personnage, Dersim, m’a particulièrement touché sur ce point. Je vous laisse le soin de faire sa connaissance.
Un récit sous haute pression donc, teinté de réalisme qui n’ a eu de cesse de jouer avec mes sentiments : colère, tristesse, peur… et j’en passe !
La plume affutée et extrêmement bien renseignée de Florant Marotta n’y est pas étrangère.
Le final quant à lui, bien qu’il puisse s’avérer frustrant, nous laisse dans un état d’éveil indispensable.
Au final, c’est une lecture choc et difficile, de par le sujet abordé, qui va me hanter longuement. Je la classe dans mes indispensables.
*****
Il se peut que certains d'entre vous soient freinés à cause du titre de ce livre, craignant de se replonger (à juste titre) dans ces événements douloureux et traumatisants. Je me suis moi-même fait la réflexion car je me suis toujours refusée (jusqu’à présent) de lire un livre traitant des attentats.
Je trouvais cela indécent. Et puis, la curiosité a été la plus forte car j’ai déjà lu cet auteur et je sais à quel point il peut se montrer rigoureux et qualitatif. Je me suis donc lancée.
Effectivement, les attentats qui ont touché la France sont mentionnés mais n’ont pour objet (principal) que d’étayer l’intrigue très riche et très dense. L'auteur prend soin de ne pas enfoncer davantage le couteau dans des plaies encore béantes.
L’histoire est prenante dès les premières pages et se veut très réaliste car inspirée de faits réels et j’avoue que tout cela fait froid dans le dos.
Florent Marotta nous dépeint avec beaucoup de précisions une société qui ne fonctionne plus, qui n'est plus armée pour faire face au terrorisme.
Il fait également la part belle aux hommes et aux femmes (policiers ou non) qui n'ont de cesse de lutter pour nous protéger et qui n'hésitent pas à donner leur vie pour sauver celles de centaines d’autres.
Il y a également ces autres héros, qui resteront dans l’ombre car ils œuvrent bien souvent dans l’anonymat le plus complet, mais leur combat est tout autant important et j’ai eu le sentiment que l’auteur leur rendait également hommage. Un personnage, Dersim, m’a particulièrement touché sur ce point. Je vous laisse le soin de faire sa connaissance.
Un récit sous haute pression donc, teinté de réalisme qui n’ a eu de cesse de jouer avec mes sentiments : colère, tristesse, peur… et j’en passe !
La plume affutée et extrêmement bien renseignée de Florant Marotta n’y est pas étrangère.
Le final quant à lui, bien qu’il puisse s’avérer frustrant, nous laisse dans un état d’éveil indispensable.
Au final, c’est une lecture choc et difficile, de par le sujet abordé, qui va me hanter longuement. Je la classe dans mes indispensables.
J'ai adoré ce livre !
Les personnages sont d'un réel époustouflant. On se laisse prendre d'affection pour chacun d'entre eux a tour de rôle.
Ayant deviné la fin cela ne m'a pas empecher de m'attrister et m'interroger.
Quelques longueurs de temps à autres mais ca n'empeche pas d'être pris dans l'hidtoire
Je le recommande.
Les personnages sont d'un réel époustouflant. On se laisse prendre d'affection pour chacun d'entre eux a tour de rôle.
Ayant deviné la fin cela ne m'a pas empecher de m'attrister et m'interroger.
Quelques longueurs de temps à autres mais ca n'empeche pas d'être pris dans l'hidtoire
Je le recommande.
Patrick est un employé lambda, il fait son job, il est apprécié de ses collègues notamment pour son humour et n’a pas d’ennemi, du moins en apparence. Autrement, pourquoi se retrouverait-il enfermé dans cet ascenseur de son entreprise alors qu’il n’y a plus personne dans la tour, si ce n’est son geôlier qui a la main sur l’appareil ?
Patrick va d’abord croire à une blague et ne pas voir venir ce qui va arriver ensuite et qui est derrière tout cela, mais il va vite comprendre qu’il n’a aucune prise sur la situation et que la seule solution, serait de pouvoir s’échapper d’un ascenseur surveillé par caméra.
Avec ce roman, vous êtres très rapidement happés par l’histoire et vous n’auraient envie de le poser à aucun moment tant la tension ne retombe jamais. Au tiers du livre, nous sommes déjà dans une ambiance très intense et je me suis demandé ce que l’auteur pouvait encore inventer et faire subir à Patrick par la suite.
Et l’auteur n’est justement jamais à court de rebondissements et m’a tenu en haleine jusqu’à la fin. C’est une vraie master class de roman à suspens que propose ici Christian Guillerme, je n’ai pas senti d’essoufflements, les rares petits moment de répits sont là pour mieux nous surprendre à nouveau ensuite, et la fin est haletante.
Juste deux dernières précisions, l’ascenseur et l’immeuble ne sont censés n’avoir que 45 étages, alors pourquoi ce titre d’étage 46 ? Je vous laisserais le découvrir par vous-même, et il ne faut pas être atteint d’ascensumophobie pour lire ce livre, car cela ne vous aidera pas à vous guérir.
Lien : https://www.instagram.com/pa..
Patrick va d’abord croire à une blague et ne pas voir venir ce qui va arriver ensuite et qui est derrière tout cela, mais il va vite comprendre qu’il n’a aucune prise sur la situation et que la seule solution, serait de pouvoir s’échapper d’un ascenseur surveillé par caméra.
Avec ce roman, vous êtres très rapidement happés par l’histoire et vous n’auraient envie de le poser à aucun moment tant la tension ne retombe jamais. Au tiers du livre, nous sommes déjà dans une ambiance très intense et je me suis demandé ce que l’auteur pouvait encore inventer et faire subir à Patrick par la suite.
Et l’auteur n’est justement jamais à court de rebondissements et m’a tenu en haleine jusqu’à la fin. C’est une vraie master class de roman à suspens que propose ici Christian Guillerme, je n’ai pas senti d’essoufflements, les rares petits moment de répits sont là pour mieux nous surprendre à nouveau ensuite, et la fin est haletante.
Juste deux dernières précisions, l’ascenseur et l’immeuble ne sont censés n’avoir que 45 étages, alors pourquoi ce titre d’étage 46 ? Je vous laisserais le découvrir par vous-même, et il ne faut pas être atteint d’ascensumophobie pour lire ce livre, car cela ne vous aidera pas à vous guérir.
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