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Le seul intérêt de ce livre c'est sa belle couverture d'une maison d'édition (mythique pour les collectionneurs) qui a publié Boris Vian (sous pseudo).
Un livre qui va vous paraitre bien terne et bien baclé.
Un livre qui va vous paraitre bien terne et bien baclé.
En 1897, Fernande Choisel est une pionnière. Ayant obtenu le diplôme révolutionnaire de sténo-dactylo, elle se voit embauché dix ans plus tard, à l'agence Compère, maison de copistes à laquelle les plus grands auteurs et dramaturges parisiens confient leurs travaux.
Elle travaille alors, au carbone, les œuvres de Flers, de Caillavet, de Frondaie, de Francis de Croisset, de Rostand, de Gaston Leroux, de Tristan Bernard et de bien d'autres.
Un beau jour de 1916, Compère envoie sa dactylo chez un jeune auteur prolifique qui, la prévient-il : "vous fera taper jour et nuit, mais vous ne le regretterez pas car c'est aussi un enchanteur".
Et sa route croise pour la première fois celle de Sacha Guitry qui lui dit : "Vous arrivez au bon moment. Je vais avoir à me costumer pour entrer en scène. Madame...cela ne vous fait rien que je me mette en caleçon devant vous ?"
Et jusqu'en 1948, Fernande Choisel écrira, tapant sans relâche sur sa machine, les pièces, les lettres et les romans que lui dicte à tout moment Sacha Guitry.
Une brouille mettra fin brusquement, sur un mouvement d'humeur, à cette longue collaboration.
Dans cet ouvrage Fernande Choisel raconte ses souvenirs, elle a pris le parti de le faire par le biais des femmes qui furent à ses côtés, donnant leurs noms aux différents chapitres du livre. Charlotte Lysès, Yvonne Printemps, Jacqueline Delubac, Geneviève de Séréville et Lana Marconi sont donc les noms qui émaillent l'histoire de ce grand auteur et dramaturge.
Même s'il est de lecture agréable, ce livre ne raconte que les souvenirs domestiques de plusieurs vies courantes entremêlées, il n'est pas un grand ouvrage sur la vie d'un auteur et de son œuvre comme pût le réaliser Annette Vidal la secrétaire d'Henri Barbusse.
Elle travaille alors, au carbone, les œuvres de Flers, de Caillavet, de Frondaie, de Francis de Croisset, de Rostand, de Gaston Leroux, de Tristan Bernard et de bien d'autres.
Un beau jour de 1916, Compère envoie sa dactylo chez un jeune auteur prolifique qui, la prévient-il : "vous fera taper jour et nuit, mais vous ne le regretterez pas car c'est aussi un enchanteur".
Et sa route croise pour la première fois celle de Sacha Guitry qui lui dit : "Vous arrivez au bon moment. Je vais avoir à me costumer pour entrer en scène. Madame...cela ne vous fait rien que je me mette en caleçon devant vous ?"
Et jusqu'en 1948, Fernande Choisel écrira, tapant sans relâche sur sa machine, les pièces, les lettres et les romans que lui dicte à tout moment Sacha Guitry.
Une brouille mettra fin brusquement, sur un mouvement d'humeur, à cette longue collaboration.
Dans cet ouvrage Fernande Choisel raconte ses souvenirs, elle a pris le parti de le faire par le biais des femmes qui furent à ses côtés, donnant leurs noms aux différents chapitres du livre. Charlotte Lysès, Yvonne Printemps, Jacqueline Delubac, Geneviève de Séréville et Lana Marconi sont donc les noms qui émaillent l'histoire de ce grand auteur et dramaturge.
Même s'il est de lecture agréable, ce livre ne raconte que les souvenirs domestiques de plusieurs vies courantes entremêlées, il n'est pas un grand ouvrage sur la vie d'un auteur et de son œuvre comme pût le réaliser Annette Vidal la secrétaire d'Henri Barbusse.
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