Liveright [corriger]

Everything in this book is “not quite”. Wyatt Earp and Doc Holliday are not quite cowboys. Their town, Long Grass, is neither quite Kansas nor quite New Mexico. There are a few Indians, a few buffalo, and a few women, of virtue or otherwise. They travel with their saloon signs, hoping for a better life elsewhere. Some of their friends die. Nothing else happens. I suppose this book is a parody of a Wild West story, but I was unable to see any humour or perhaps irony in it and ended up bored.
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Un roman sympathique, sur un adolescent allemand qui débarque avec ses parents en Alabama, dans le Sud profond des Etats-Unis. Un passé tragique, un pouvoir fantastique, un garçon excentrique qui s’intéresse à lui, une envie d’appartenir à une communauté, un cocktail qui fonctionne bien.

Sweetland, c'est une île au large de Terre-Neuve et c'est aussi le patronyme du principal personnage du roman, Moses, un ermite au fond du coeur mais aussi un voisin attentionné à sa manière et un oncle totalement dévolu à son petit-neveu, Jesse. Michael Crummey nous fait ressentir le dur climat de ces latitudes, le quotidien âpre des insulaires, tous pêcheurs et dont la vie en autarcie procure un caractère particulier. C'est aussi un hymne à la solitude assumée et à la protestation citoyenne. La construction du roman m'a beaucoup plus (l'intrigue est dévoilée peu à peu et par fines allusions) ainsi que l'écriture mais j'ai trouvé certains passages longuets et redondants. Pour ceux et celles qui souhaitent s'imprégner de la vie terre-neuvienne, c'est un roman que je recommande ainsi que celui d'Annie Proulx, Noeuds et dénouements. Depuis plusieurs années, j'ai aussi dans ma PAL le roman de Wayne Johnston, The colony of unrequited dreams, entrepris mais abandonné faute de temps mais que je compte bien reprendre.