Grâce au défi solidaire j'ai découvert la belle écriture d'André Dhôtel avec ce roman classé "jeunesse". Au vu de la richesse du vocabulaire de l'auteur, je pense que ce roman a dû en décourager plus d'un(e). Il est vrai que les héros sont des enfants qui s'ennuient dans leur quotidien et partent à la recherche du beau pays. Un bien beau titre que "le pays où l'on n'arrive jamais" quand on connaît le mot de la fin. Une ode au vagabondage, au mystère, au rêve.
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Comme pour chaque livre, la seule question qui subsite une fois la lecture achevée est de savoir s'il m'a suffisamment plu, interpellé, questionné ou émerveillé pour que je souhaite me replonger un jour dedans et parcourir une nouvelle fois ses pages. Aucune hésitation pour celui-ci ! La plume est précise pour décrire au mieux la personnalité de ce personnage hors du commun. Ce récit est formidable et remarquablement bien écrit, un incontournable pour toute personne intéressée par l'histoire de l'alpinisme
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Je l'ai lu à un âge où je n'étais plus une enfant.
Peut être avais-je donc plus de recul et de maturité pour rire du système organisé de la famille Gilbreth, un planning familial sur le modèle fordiste, millimétré et très efficace... Cette autobiographie est hilarante, et donnerait bien des complexes aux familles dites nombreuses aujourd'hui, dès trois enfants !
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