delphineste : Un roman époustouflant retraçant l'histoire et la trajectoire que prendra chacune des jumelles Vignes, nées dans une petite bourgade du Sud des Etats-Unis dans les années 1950. Jusqu'où peut-on aller pour trouver sa place et échapper au déterminisme ? Renier qui l'on est et s'inventer autre ? Des thèmes qui sont d'autant plus forts qu'ils sont traités à travers la gémellité.
livreclem : Un sublime roman sur la quête d'identité d'une jeune chercheuse américaine d'origine ghanéenne qui voit sa mère revenir chez elle pour combattre une dépression qu'elle a connu de nombreuses années auparavant.
Stockard : (de ses 19 à ses 21 ans) Maya nous raconte cette fois la vie qu'elle mène à San Francisco lors de son entrée dans l'âge adulte, mère d'un petit garçon à qui elle essaye par tous les moyens de façonner un destin différent du sien (si elle savait !). [...] Avoir un Maya Angelou entre les mains c'est la promesse jamais déçue d'un rendez-vous littéraire remarquable.
En explorant son histoire personnelle, Kiese Laymon questionne en écho la société américaine ; les conséquences d'une enfance passée dans un pays obsédé par le progrès mais incapable de se remettre en question.
Sofiert : Mais comment fait Joyce Carol Oates pour se renouveler à chaque fois ? Et à chaque fois nous transporter dans son univers. [...] Son talent de raconteuse, sa compréhension de la psychologie des personnages, sa capacité à contextualiser historiquement et sociologiquement lui permet d'oser, ce qui chez d'autres passerait pour de la surenchère malsaine.
fflo : Les Éditions Delcourt ont eu la très bonne idée de nous proposer, pour cette rentrée littéraire 2020, une traduction du roman de William Melvin Kelley paru en 1965 et dont l'action se déroule en majorité dans les années 1930/1940. C'est un récit sensible qui m'a passionné et qui colle malheureusement à l'actualité.
Sarahmarinaamr : J’ai très vite était absorbé par l'histoire de cette famille sur trois générations, trois destins. [...] En deux mots passionnant et éclatant.
metteholl : Un bon romancier se reconnait à la simplicité à laquelle il parvient à imposer une histoire extrêmement complexe et à l’habilité de marionnettiste qui lui permet de faire vivre des personnages multiples aux vies imbriquées les unes aux autres. Jeffrey Colvin est un bon romancier ! Il nous livre un roman ample et dense qui nous plonge au plus profond de la problématique raciale aux USA et du questionnement sur l'identité.
ErnestLONDON : En partant d’un fait divers, James Baldwin concentre et exprime dans cette pièce toute sa colère, ses convictions, sa connaissance précise et vécue du racisme structurelle propre à la société américaine. Ses personnages pratiquement archétipaux mais complexes à la fois, brossent une convaincante et intelligente illustration de la question raciale aux États-Unis.
ODP31 : Récit double face, comme le souligne magnifiquement la couverture, histoire reflet de deux solitudes. [...] Un roman original et touchant, de très beaux portraits de femmes, de vrais sujets de société.