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Nature morte
Liste créée par Alzie le 15/03/2015
17 livres. Thèmes et genres : peinture , histoire de l'art , natures mortes , Vanités (art)

Les "xenia", offrandes de victuailles que les grecs fortunés offraient à leurs hôtes, représentées dans la peinture antique sont-elles les premières nature-mortes de la peinture occidentale ? En France la nature morte a occupé très longtemps le bas de l'échelle dans la hiérarchie des genres mais ce n'est plus le cas ; "Still-leven" aux Pays-Bas, dont dérive le "stilleben" allemand ou encore le "still-life" anglais, littéralement nature immobile, de celle qui renvoie au silence. L'un des artistes qui l'évoque le mieux chez nous est sans doute Chardin 1699-1779 ("Le panier de fraises" a été déclaré trésor national après sa mise en vente en avril 2022, le ministère de la Culture ayant décidé de refuser la délivrance du certificat d’exportation pour cette œuvre emblématique).

Un art sensuel où l'abondance et les plaisirs de la vie sont associés à sa précarité. Esthétique de l'éphémère et méditation sur la vanité de toute chose en ce bas monde ! Quand le Carpe diem le dispute au Mémento mori. le XXe siècle et l'art contemporain redécouvrent aujourd'hui pour la réhabiliter la nature morte et son pendant, la vanité, en témoignent les quelques livres de cette liste dont le catalogue "Les Choses", une histoire de la nature morte (exposition au Louvre jusqu'au 23 janvier 2023)--------------------------------------------

(Liste mise à jour, octobre 2022)



1. Les choses : Une histoire de la nature morte
Laurence Bertrand Dorléac
5.00★ (10)

Conçue par Laurence Bertrand Dorléac, « Les Choses » est une exposition d’auteur proposant une vision nouvelle d’un genre longtemps considéré comme mineur et dont l’intitulé en français n’est pas sans poser question : la nature morte. La représentation des choses, dont on retrouve des témoignages dès la préhistoire, permet une formidable plongée dans l’histoire. Les artistes ont, en effet, été les premiers à prendre les choses au sérieux. Ils ont reconnu leur présence, les ont rendues vivantes et intéressantes en exaltant leur forme, leur signification, leur pouvoir, leur charme. Ils ont saisi leur faculté à nous faire imaginer, croire, douter, rêver, agir. L’exposition revisite le genre de la nature morte, dans la perspective de cet éternel dialogue entre les artistes du passé et ceux du présent. À la faveur de l’attachement que nous leur portons, c’est aussi notre relation avec les biens matériels qui est racontée. Des haches préhistoriques au ready-made de Duchamp en passant par Chardin et Manet, toute l’histoire de l’art est revisitée.
2. Chardin 1699-1779 : Catalogue de l'exposition de 1979 photo noir et blanc
Pierre Rosenberg
4.12★ (22)

«Vous revoilà donc grand magicien, avec vos compositions muettes» : en 1765, Diderot salue ainsi Chardin, qui mène alors depuis près de quarante ans une carrière à part. De ce grand maître de la nature morte, célébré par ses contemporains et recherché par les princes de l'Europe, on sait peu de choses : une vie entière passée à Paris, consacrée à la peinture, «dans le talent des fruits et des animaux». Respectant tout au long de sa vie ce choix d'un genre tenu pour mineur au XVIIIe siècle, Chardin travaille lentement, peignant des petits formats, où, dans un univers clos, il représente ici de simples ustensiles de cuisine, là de sereines images de la vie quotidienne, des enfants sages occupés à leurs jeux, des mères attentives à leurs travaux du jour. Sous leur simplicité apparente, tous sont des chefs-d'oeuvre. Hélène Prigent et Pierre Rosenberg nous emmènent au coeur de l'art savamment construit et profondément médité de l'un des plus grands peintres français.
3. Natures mortes
Sybille Ebert-Schifferer
Si le terme même de "nature morte" n'apparaît qu'à la seconde moitié du XVIIIe siècle, la représentation des choses inanimées est bel et bien l'héritage de l'Antiquité. "Relation triangulaire entre la réalité, les apparences et l'homme", les natures mortes, longtemps considérées comme un art mineur, relèvent pourtant d'un genre autonome. Caractérisées par un champ thématique varié, elles rassemblent aussi bien les mosaïques de la Villa d'Hadrien près de Tivoli, laVanitéde Pieter Steen Wijck que des toiles de Juan Gris ou de Robert Rauschenberg. Tourà tour compositions de fleurs, de fruits, de gibier, d'instruments de musique, de victuailles, de livres, de crânes ou de coquillages, les natures mortes ont traversé les styles et les siècles. Documents d'époques ou réflexions métaphysiques, elles ont leurs significations cachées et leurs symboles. Soucieuse de faire accéder cette étude d'ensemble au plus grand nombre, Sybille Ebert-Schifferer se concentre principalement sur des oeuvres attribuées, précisément datées et exposées dans les musées.--Sandrine Fillipetti
4. Natures mortes
Gian Casper Bott
4.00★ (3)

Préparer une nature morte se résume à disposer certains objets sur une table, mais recréer les textures, la profondeur et la beauté qui émanent de cette composition demande un savoir-faire d artisan. Les origines de la Nature morte peuvent êtres retracés jusqu'à l Antiquité, telles les fresques sur les murs et ruines de Pompéi par exemple, mais il aura fallu attendre la Renaissance et puis le XVIIe siècle pour voir le terme Nature Morte désigner et populariser le genre. Accompagné d une introduction détaillée, de photos et d une ligne du temps, ce livre de près de 100 pages explore une superbe sélection de natures mortes du XVe siècle jusqu à nos jours, nous dévoilant l importance historique et les possibilités créatives de ce genre.
5. La Nature morte
Matilde Battistini
3.00★ (4)

Interprétation poétique de la «vie silencieuse» ou «immobile» des choses, révélation d'un tissu de sentiments, de séductions, de plaisirs délicats, la nature morte est probablement l'un des genres picturaux les plus attrayants. Ce n'est que durant la seconde moitié du XVIIIe siècle que le terme de «nature morte» apparaît dans les vocabulaires artistiques italien et français. Ce genre, envisagé comme catégorie autonome et non plus comme élément secondaire de la narration, émerge de manière décisive. En quelques années, les compositions de fleurs, de fruits, d'armes, de livres, d'instruments de musique, de curiosités exotiques ou de tout autre type d'objet inanimé entrent triomphalement dans les galeries princières et dans les collections les plus prestigieuses, pour devenir la principale expression de la peinture européenne. Le XIXe siècle ne lui rendra pas justice : de véritables chefs-d'oeuvre sont entreposés et oubliés au fond des réserves des grands musées. Ce n'est qu'au XXe siècle que les critiques du monde entier ont peu à peu redécouvert ces oeuvres et leurs significations cachées. Dans ce volume, les chefs-d'oeuvre sont présentés, commentés, expliqués, et, à travers l'analyse de neufs thèmes phares de ce genre pictural, le lecteur est amené à comprendre l'originalité, les significations, les symboles, apportés à la nature morte par les plus grands maîtres.
6. La Nature Morte ou la place des choses: L'Objet et son lieu dans l'art occidental
Etienne Jollet
5.00★ (3)

La nature morte est habituellement étudiée en mettant l'accent sur la signification symbolique des objets, en rapport avec la tradition du memento mori. Sans nier la pertinence d'une telle approche, cet ouvrage interrroge le rôle qu'y joue le lieu où les motifs prennent place.. La conception, novatrice, développée ici est que la nature morte doit être comprise dans un jeu topographique de déplacement des motifs les uns par rapport aux autres pour prendre place dans un lieu qui lui-même s'inscrit dans une confrontation implicite avec les autres lieux. On partira donc du hors lieu que constitue la dimension allégorique constitutive du genre, en tentant de retracer la manière dont la question de la localisation, c'est-à-dire la caractérisation du lieu, intervient à la Renaissance. Il faudra ensuite prendre en considération le jeu souvent subtil qui s'établit entre la localisation primitive de l'objet ou de l'être représenté : le modèle du studiolo, de l'accumulation didactique d'objets et d'êtres variés, évoquant le macrocosme que reflète le microcosme de l'oeuvre. Seront envisagés en deuxième partie la nature morte et le lieu de l'homme : ses jeux d'absence et de présence, la représentation du temps, du fragment. Enfin, une troisième partie interrogera la nature morte comme lieu de l'art, enjeu d'une conception réflexive de l'art, et de son « recommencent » : des premiers trompe-l'oeil au cubisme et à l'abstraction à travers l'affirmation du fond, la valorisation de la question du point de vue, l'esthétique du montage, la critique de l'objet les interrogations sur l'espace comme porteur de sens, le travail sur les limites, ceci jusque dans les installations contemporaines.
7. Essais sur les genres en peinture : Nature morte, portrait, paysage
Bart Verschaffel
5.00★ (1)

Les trois essais qui composent ce volume examinent les genres traditionnels en peinture : la notion de " vanité " à l'oeuvre dans la nature morte du XVIIe siècle, le regard et la présence du modèle dans le portrait, la compression du monde et l'intériorisation du lointain comme sentiment dans le paysage. On y verra, en s'appuyant sur des analyses de tableaux, comment la logique qui préside à ces genres conditionne concrètement l'organisation de la peinture. La portée et la force de ces images individuelles peuvent être le signe de leur aptitude à s'affronter aux possibilités et aux limites d'un genre, et à les mettre en tension. Le livre suggère qu'il est très difficile de sortir des genres traditionnels, et que beaucoup d'images actuelles, implicitement ou de façon affichée, puisent leur signification et leur fonctionnement dans cette logique générique.
9. D'après nature. La nature morte française au XVIIe siècle
Claudia Salvi
5.00★ (2)

L'ouvrage est constitué d'une importante introduction sur : la Nature morte, un genre mineur ? Ensuite, près de trente artistes sont présentés avec de nombreuses reproductions de leur œuvre. Chaque artiste bénéficie d'une notice biographique et d'une étude de son art, complétées par une notice bibliographique. S'il existe un sujet qui a suscité, après son exhumation dans les années 1930, un véritable engouement dans notre siècle, c'est bien celui de la Nature morte en Europe au XVIIe siècle, car le traitement d'un "non-sujet" nous apparaissait, à nous "modernes", comme le véritable triomphe de la peinture Pure. Depuis, les recherches sur ces peintres se sont multipliées, notamment grâce au grand spécialiste Sterling. Il a semblé utile de remettre à jour les connaissances sur la Nature morte en France au XVIIe siècle, de présenter les œuvres méconnues ou ignorées, d'établir le portrait de ces artistes... de dresser en somme une nouvelle synthèse du panorama français de cette période. L'ouvrage ne se limite pas aux artistes français, mais intègre les nombreux peintres d'origine étrangère qui se fixèrent en France. Un important catalogue des œuvres maîtresses de la trentaine d'artistes présentés dans l'ouvrage complète les parties biographiques et l'étude de ce genre pictural. Remarquablement servi par plus de 300 reproductions en couleurs, ce beau livre apporte un lustre nouveau à l'un des plus beaux chapitres de la peinture moderne.
10. C'est la vie ! : Vanités de Pompéï à Damien Hirst
Musée Maillol - Fondation Dina Vierny - Paris
4.08★ (19)

La mort, et alors ? La civilisation occidentale, à Pompéi comme dans l'antiquité gréco-romaine, a interrogé notre fin dernière en multipliant les figurations du corps humain post-mortem. Memento mori : souviens-toi que tu vas mourir, disait-on à Rome. Mais c'est au XVIIe siècle, entre l'austérité de la Réforme protestante aux Pays-Bas et le dramatisme du style baroque naissant en Italie, qu'apparaît la Vanité. Art entièrement dévolu à la tête de mort et au squelette, cette édification morale et personnelle sur le caractère illusoire et vain des biens de ce monde connaît une très grande diffusion, dépassant les Hollandais pour s'insinuer dans l'oeuvre de Caravage, de Zurbaran ou de Georges de La Tour. Cézanne marque à nouveau l'irruption d'un macabre délivré de tout pathos dans la peinture moderne, autorisant Picasso et les surréalistes à en tracer de nouveaux contours. À la fin du xxe siècle, des néo-Pop aux Young British Artists, et des néo-fauves allemands aux graffitistes new-yorkais, l'art le plus contemporain s'est attaché à cristalliser la vanité d'une civilisation. De Pompéi à Damien Hirst, " C'est la vie ! " rend compte des métamorphoses d'une mort qui nous va si bien. À l'heure de la disparition de l'espèce programmée.
11. Le livre des vanités
Elisabeth Quin
3.78★ (19)

La figure du crâne, cette absence-présence, obsède l'histoire de l'art, toutes civilisations et cultures confondues. Objet de fascination, de répulsion ou de méditation, catégorisé comme Vanitas ou Memento mori, il a été représenté par tous les artistes, des anonymes mosaïstes de Pompéi aux graveurs des danses macabres médiévales en passant par les peintres hollandais de la Contre-Réforme, par Picasso, Van Gogh, Cézanne, jusqu'aux agents provocateurs de l'art contemporain, dont Damien Hirst et son crâne ultime, serti de diamants. Le crâne nous regarde de ses yeux béants, nous fait buter sur la question de la transcendance ou du néant. Il est un miroir ô combien plus fatal que celui de la marâtre dans Blanche-Neige : " Miroir, ô miroir de ma finitude, serai-je donc ceci ? " Oui, le crâne nous force à engager un dialogue avec nous-même ; lequel peut être teinté d'effroi ou d'humour noir, de religiosité ou d'ironie subversive. Plus que jamais, en ce XXIe siècle qui voit sa course s'accélérer vers l'abîme, le crâne crâne. Pourquoi les représentations du crâne se sont-elles métastasiées dans l'art, comme dans le monde marchand ? Parce que la mort est vidée de son sens ou parce que la vie nous presse ? Ce livre consacré aux vanités ouvre des pistes ludiques, eschatologiques, poétiques, artistiques, scientifiques et littéraires. Il établit des correspondances visuelles inédites et stimulantes, bref, il moque et dénonce tous les clichés morbides attachés au crâne, au profit d'un hymne à la vie, à l'épicurisme, au carpe diem car, comme le dit Pascal dans ses Pensées, " il faut être toujours botté et prêt à partir ".
12. Manet : les natures mortes : Exposition, Paris, Musée d'Orsay (9 octobre 2000-7 janvier 2001)
Musée d' Orsay - Paris
5.00★ (7)

Dans les années 1860, la nature morte est en vogue. Elle établit son lustre nouveau sur l'effondrement de l'ancienne hiérarchie - dont elle bénéficie autant que le genre et le paysage -, la redécouverte d'un certain XVIIIe siècle et la gloire toute récente de Chardin,même si les réticences restent nombreuses face à des ?uvres que l'on juge essentiellement décoratives et vouées à des talents féminins. Edouard Manet (1832-1883) peignit ses premières compositions au début des années 1860 et, après une éclipse dans les années 1870 où il ne réalisa qu'une douzaine de toiles avec des motifs inanimés, il se passionna avec une ardeur renouvelée pour ce genre, dont il fit un sujet privilégié de ses recherches, à partir de 1880 et jusqu'à sa mort. Les natures mortes de Manet, entre tradition et modernité, évoquent un monde élégant et sensuel. Contrairement à Courbet, qui ancre ses thèmes dans une réalité prosaïque, ou à Cézanne, dont la vision est volontairement distanciée, Manet s'inspire des sujets les plus ordinaires, auxquels il donne une présence charnelle. Malgré leur simplicité, ses compositions sont subtilement élaborées, que ce soit un citron, une asperge, des violettes, des pivoines... Certains de ces petits tableaux intimes sont destinés à un ami ou à une femme aimée.
13. Les Natures Mortes
Norbert Schneider
4.00★ (14)

La nature morte, l?un des grands sujets de la peinture, a connu son apogée entre la fin du Moyen-Âge et le XVIIe siècle. Dans cet ouvrage, Norbert Schneider explore la manière dont les natures mortes témoignent, à chaque époque, des changements de mentalité et de philosophie d?une société. Il analyse également leur rôle dans l?histoire des découvertes scientifiques et la disparition progressive de la conception médiévale de l?univers.
14. Natures mortes de l'Antiquité à nos jours. La vie silencieuse
Hubert Comte
3.00★ (3)

Nature morte ou Vie silencieuse, ce thème - un des plus universels dans le temps et l'espace - est de ceux qui donnent à l'artiste la plus grande liberté d'action. Il part du tissu même de nos vies. Dans cet essai, Hubert Comte définit le domaine classique de la Nature morte : fruits, légumes, viandes, poissons, tables mises et reliefs de festin, et encore ustensiles, accessoires du fumeur, livres, instruments de musique, crânes, objets compagnons d'une vie...
15. La nature morte dans la peinture impressionniste
Silvio Venturi
Les maîtres de l'impressionnisme ( Cézanne, Degas, Fantin-Latour, Gauguin, Manet, Millet, Monet, Pissarro, Renoir, Sisley, Van Gogh ) n'ont pas seulement été des paysagistes. Ils se sont également consacrés à la peinture de genre, à la nature morte et tout particulièrement aux fleurs.
16. Les vanités dans l'art contemporain
Anne-Marie Charbonneaux
4.00★ (4)

Qu'il s'agisse d''oeuvres vidéo, de photographies, d'installations, de performances, aussi bien que de peintures et de sculptures, la représentation de la Vanité connaît, depuis le milieu du XXe siècle, un véritable renouveau et fait preuve d'une étonnante actualité. LES VANITÉS DANS L'ART CONTEMPORAIN est né de ce constat et rend compte de la richesse et de la diversité des expression perspectives actuelles de ce thème classique de l'histoire de l'art. De quelle manière les artistes contemporains investissent-ils et renouvellent-ils le thème de la Vanité ? Quels sont les enjeux et les significations à la fois esthétiques et morales des ?uvres ainsi créées ? Comment comprendre cet intérêt contemporain pour la représentation de la fuite du temps, de l'instabilité et de la métamorphose ? C'est à de telles questions que cet ouvrage cherche à répondre, en proposant au regard et à la lecture, réflexions et documents.
17. La mort n'est rien pour nous : Epicure
Etienne Naveau
La mort est la contradiction absolue, le mystère essentiel qu'évoquent les civilisations tant dans leurs oeuvres " éternelles " (artistiques, religieuses et philosophiques) que dans ces productions plus éphémères que sont les articles de journaux et les chansons. Se démarquant de cette tendance dominante qui fait de la mort le problème crucial de l'existence humaine, Épicure affirme que " la mort n'est rien pour nous ", puisqu'elle est, en bonne logique, toujours extérieure à la vie. C'est dans le cadre d'une physique matérialiste orientée vers une éthique du bonheur qu'Épicure adresse cette fin de non-recevoir à la question de la mort. Mais son approche va-t-elle forcément de soi ?
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