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La Bêche et la Plume: Écrivains- paysans, écrivains- ouvriers,etc
Liste créée par fanfanouche24 le 07/09/2014
64 livres.

Il aura fallu fort longtemps avant que les mondes ouvrier et paysan n'obtiennent leurs lettres de noblesse dans la littérature. Emile Zola, en documentaliste exceptionnel a introduit ce "fameux naturalisme", qui mit à l'honneur et les ouvriers, et le monde de la terre....

Des grands souvenirs entre la lecture d'Emile Zola, des textes d'auteurs dits "prolétariens", comme le récit fort émouvant d'Emile Guillaumin, avec "la vie d'un simple"...Aujourd'hui , je redécouvre un texte à la fois autobiographique et engagé de Panaït Istrati, "Dans les docks de Braïla"....qui exprime avec révolte et colère l'antagonisme entre le monde paysan et le monde ouvrier. Ce texte oppose une réflexion profonde entre ces deux univers.... "Je suis né de ces paysans-là et j'ai passé mon enfance au milieu d'eux, voilà d'où vient que je n'aime pas la légèreté de l'ouvrier des villes. Celui qui est né sans ciel et a grandi sans espace, à moins d'avoir de l'hérédité, ne peut approfondir l'abîme de l'existence." (p.39) - -----"Le paysan fait le blé et l'apporte à la ville, qui le dévore sans lui laisser dans les mains de quoi s'acheter une chemise. Or la ville, c'est l'ouvrier. C'est donc lui qui doit être le responsable, la conscience qui régularise la vie de tout le pays." (p.40)

@Soazic BOUCARD@

**2014***Actualisé le 25 décembre 2017- ****18 avril 2023*27 avril 2024



1. La vie d'un simple
Émile Guillaumin
4.18★ (327)

"La Vie d'un simple est un livre qui vient du fond du peuple, chose bien rare, et du fond du peuple paysan, chose unique... D'un grand-père conteur d'histoires, Guillaumin tint le goût de conter, et il eut le courage d'ajouter au labeur paysan un labeur d'écrivain. Le plus bel exemple d'homme de lettres pratiquant le deuxième métier, c'est Émile Guillaumin qui le donne...Le Bourbonnais est loin, et la rumeur parisienne nous distrait d'y connaître et d'y entendre un juste. Mais la rumeur est chose passagère, la valeur ne passe pas, et Émile Guillaumin est sûr d'occuper, dans l'histoire de notre peuple, une place où il est indispensable et seul. Daniel Halévy."
2. En vieillissant les hommes pleurent
Jean-Luc Seigle
4.07★ (1670)

"9 juillet 1961. Albert Chassaing est ouvrier chez Michelin la nuit et paysan le jour. Il vit avec sa femme Suzanne et son fils cadet, passionné par les livres, dans un petit village d'Auvergne. Ce jour-là, la télévision fait son entrée dans leur maison pour y voir le fils aîné Henri, soldat en Algérie, interviewé dans un reportage sur la guerre. Pour Albert, c'est le monde qui bascule. Réussira-t-il à trouver sa place dans ce monde où tout change ? Roman des silences qui se brisent, En vieillissant les hommes pleurent a reçu le prix RTL-Lire 2012."
3. Les pays
Marie-Hélène Lafon
3.75★ (583)

"Claire, fille de paysans du Cantal, est née dans un monde qui disparaît. Son père le dit et le répète depuis son enfance : ils sont les derniers. Très tôt, elle comprend que le salut viendra des études et des livres. Elle s'engage donc dans ce travail avec énergie et acharnement. Elle doit être la meilleure. Grâce à la bourse obtenue, elle monte à Paris, étudie en Sorbonne et découvre un univers inconnu. Elle n'oubliera rien du pays premier, et apprendra la ville où elle fera sa vie. Les Pays raconte ces années de passage."
4. Nanon
George Sand
3.89★ (133)

"C'est en 1850, à la fin de sa vie, que la marquise de Franqueville écrit ses Mémoires. A la veille de la Révolution, la petite Nanon, pauvre paysanne illettrée, devient l'amie du "petit moine" Emilien de Franqueville, bientôt rendu à l'état laïque par la fermeture des couvents. L'écho de la Révolution ne parvient que très assourdi dans ces campagnes reculées, mais la vieille société féodale chancelle, les biens nationaux sont vendus et Nanon va pouvoir, à force de courage et d'intelligence, conquérir son destin de femme. Poème champêtre à la gloire de la Creuse et du Berry, hymne au XVIIIe siècle de Rousseau, ce roman évoque la Révolution du point de vue de la paysannerie, classe majoritaire dont le XIXe siècle a peu tenu compte. Publié en 1872, peu de temps après le traumatisme de la Commune, Nanon est porté par les convictions républicaines et féministes de George Sand, dont c'est sans doute la dernière grande œoeuvre. "
5. Roméo et Juliette au village
Gottfried Keller
3.85★ (33)

"Tiré du cycle des Gens de Seldwyla, ce Roméo et Juliette campagnard, situé en pays zurichois, fait revivre la légende de Vérone, avec des accents agrestes, charmants mais aussi tragiques et sublimes. "
6. Dans les docks de Braïla
Panaït Istrati
4.28★ (18)

"À l'âge de 14 ans, Panaït Istrati, orphelin de père, est contraint de s'employer comme apprenti dans les docks de Braïla, sa ville natale, en Roumanie. Il y découvre l'égoïsme et la froideur de la classe dirigeante, mais aussi la férocité des travailleurs les uns envers les autres"
7. La vie en bleu. Voyage en culture ouvrière
Jacques Frémontier
3.90★ (25)

"Ni un savant traité de sociologie, ni une banale enquête de journaliste : Jacques Frémontier a tenté, dans ce nouveau livre, une sorte d'itinéraire romanesque ou poétique à travers les cent trente-trois interviews qui ont jalonné sa recherche (troisième de couverture, extrait)"
8. Atelier 62
Martine Sonnet
3.66★ (66)

" Martine Sonnet croise mémoire collective et souvenirs familiaux dans un hommage à toute une génération d'ouvriers, celle de son père, artisan campagnard précipité dans la classe ouvrière par son embauche chez Renault à Billancourt dans les années 1950. Aux forges, atelier 62, réputé le plus dur de la Régie, le charron-forgeron-tonnelier normand asservit sa carrure et sa puissance à l'industrie automobile triomphante. L'existence de cet homme et de sa famille au moment clé du basculement d'un monde à l'autre et la restitution d'un temps fort de l'histoire du travail, dans toute sa violence, composent les deux veines du récit"
9. Joseph
Marie-Hélène Lafon
3.78★ (879)

"Joseph est ouvrier agricole, dans une ferme du Cantal. Il a bientôt soixante ans. Il connaît les fermes de son pays, et leurs histoires. Il est doux, silencieux."
10. Les Rougon-Macquart, tome 7 : L'Assommoir
Émile Zola
4.15★ (21876)

"Quatrième de couverture - Zola (Paris, 1840 - Paris, 1902), dans "L'Assommoir", septième roman des "Rougon-Macquart" raconte le drame de la vie populaire: l'alcoolisme, propagé par les débits de boisson nommés à jsye titres des "assommoirs". Coupeau, bon ouvrier zingueur, après un accident, au cours d'une longue convalescence, se laisse gagner par l'alcool. Sa femme Gervaise, qui avait de haute lutte acquis une blanchisserie, après avoir résisté, est à son tour entraîné jusqu'à la pire déchéance. "
11. Les Rougon-Macquart, tome 15 : La Terre
Émile Zola
4.16★ (4824)

"«La Terre. C'est l'héroïne de mon livre. » Terre que le paysan pénètre et féconde de ses mains, terre généreuse ou ingrate, chèrement acquise ou convoitée. Jean,le frère de Gervaise , dans L'Assommoir, est valet de ferme en Beauce. Il aime et veut épouser une fière gamine, Françoise. Mais le beau-frère de celle-ci, le fruste Buteau, multiplie les obstacles. S'il y a mariage, il y aura partage. Après avoir dépouillé ses propres parents, il voudrait encore dépouiller la jeune fille. Ce quinzième volume des Rougon-Macquart est une terrible évocation de la terre et des paysans. Les crimes que cette terre suscite ne sont pas imaginaires, Zola a fouillé les gazettes de province. La terre est dure mais elle colle aux pieds du laboureur. Il se battra pour en avoir plus. Il se battra pour la protéger de l'ennemi. Il l'aimera plus qu'aucune femme."
12. La Ferme d'en haut
Michel Ragon
3.43★ (49)

" Gustave a trimé dur toute sa vie sur sa ferme de huit hectares. Son fils aîné a repris le plus gros du travail, le cadet s'est engagé à la Coloniale. Et puis, un jour d'été, le voilà qui revient avec une femme noire de peau comme on n'en avait jamais vu au village. Si, dans L'Accent de ma mère, Enfances vendéennes ou Le Cocher du Boiroux, Michel Ragon évoquait le monde paysan de sa jeunesse, ce monde disparu, refermé sur lui-même, économe de tout, même de sentiments, il s'attache dans ce nouveau roman à restituer la simplicité des jours, la beauté d'une terre qui n'est pas que récoltes harassantes et ingrates, ainsi que l'étrange découverte de l'autre. Il fallait le talent de Michel Ragon pour rendre l'authenticité de ce chant du monde qu'au soir de sa vie Gustave reconnaît."
13. Le pain quotidien
Henry Poulaille
3.87★ (60)

"L' oeuvre d'Henry Poulaille (1896-1980), romancier du peuple, chef de file de l' École prolétarienne, animateur de revues, découvreur de talents majeurs (Giono, Ramuz, Peisson entre autres) est considérable par son ampleur et sa variété. La suite intitulée Le Pain quotidien en est la pièce maîtresse. Cette fresque qui s'étend de 1903 à 1920, et dont les Editions Stock publient actuellement dans la collection "Romans" la partie inédite Seul dans la vie à 14 ans, constitue, par l'authenticité du témoignage, le document littéraire le plus important sur la vie du peuple laborieux au début de ce siècle. Injustement oublié aujourd'hui, Henry Poulaille a exercé une influence essentielle aussi bien dans le domaine littéraire que par le combat qu'il a mené sans répit pour la liberté de l'esprit, contre le stalinisme, le fascisme, et pour la paix"
14. Les rouges
Pascale Fautrier
3.13★ (49)

"« Ma mémoire est une foule noire couronnée de drapeaux rouges, et elle s’appelle Madeleine. Madeleine, c’est la Basilique de Vézelay. Madeleine, c’est ma grand-mère. Madeleine, c’est moi. C’est elle qui, la première, m’a raconté notre histoire. J’avais quatre ans, j’avais dix ans, j’avais seize ans. Dans sa voix, j’écoutais d’autres voix, venues du fond des siècles : la voix de Jules, son père, la voix de Jules-Antoine, son grand-père, la voix du grand-oncle Armand Perreau déporté en 1852, la voix de Camélinat, venant redire à la forge ses conversations avec Marx et Jaurès, la fondation de la Première Internationale ouvrière et l’écrasement de la Commune ; la voix, plus proche, dans la salle à manger des Cités, à Migennes, de René le résistant ou de Prosper Môquet, le député communiste de l’Yonne, et de sa femme Juliette. Huit générations de Rouges. Voici leur histoire, notre histoire, votre histoire."
16. Paysans
Raymond Depardon
4.10★ (54)

"A seize ans, Raymond Depardon quitte la ferme familiale du Garet pour apprendre le métier de photographe. Le monde paysan, qui peu à peu se délite, hante son travail. Ces 80 clichés alternant le noir et blanc et la couleur, accompagnés des commentaires "précis et imagés" faits par les agriculteurs qu'il a photographiés, sont tout entier habités par la clairvoyance d'une génération qui assiste, impuissante, à sa propre disparition"
17. Grenadou, paysan français
Ephraïm Grenadou
3.67★ (46)

" Gustave a trimé dur toute sa vie sur sa ferme de huit hectares. Son fils aîné a repris le plus gros du travail, le cadet s'est engagé à la Coloniale. Et puis, un jour d'été, le voilà qui revient avec une femme noire de peau comme on n'en avait jamais vu au village. Si, dans L'Accent de ma mère, Enfances vendéennes ou Le Cocher du Boiroux, Michel Ragon évoquait le monde paysan de sa jeunesse, ce monde disparu, refermé sur lui-même, économe de tout, même de sentiments, il s'attache dans ce nouveau roman à restituer la simplicité des jours, la beauté d'une terre qui n'est pas que récoltes harassantes et ingrates, ainsi que l'étrange découverte de l'autre. Il fallait le talent de Michel Ragon pour rendre l'authenticité de ce chant du monde qu'au soir de sa vie Gustave reconnaît."
18. Les Paysans
Honoré de Balzac
3.62★ (246)

- "Comment, depuis trente ans que le père Rigou vous suce la moelle de vos os, vous n'avez pas core vu que les bourgeois seront pires que les seigneurs ?... Les bourgeois et le gouvernement, c'est tout un ! Quéqu'ils deviendraient si nous étions tous riches ?... Laboureraient-ils leurs champs, feraient-ils la moisson ? Il leur faut des malheureux !... - Faut tout de même chasser avec eux, répondit Tonsard, puisqu'ils veulent allotir les grandes terres... Et après, nous nous retournerons contre les Rigou... - Vous avez raison, répondit Fourchon. Comme dit le père Niseron, qu'est resté républicain après tout le monde, le Peuple a la vie dure, il ne meurt pas, il a le temps pour lui !..."
19. Contes et nouveaux contes de la montagne
Miguel Torga
4.20★ (53)

""Je serais capable de vivre loin de ma patrie dans la situation d’un immigrant qui gagne son pain. Je l’ai déjà fait d’ailleurs. Mais je ne pourrais jamais vivre loin d’elle en tant qu’écrivain. Il me manquerait le dictionnaire de la terre, la grammaire du paysage, l’Esprit Saint du peuple" écrivait Miguel Torga dans La Création du monde (Aubier, 1985). Ces Contes et nouveaux contes de la montagne prouvent, à l’évidence, que l’art de l’écrivain s’est nourri de cette relation affective avec sa terre, avec les hommes qui l’ont habitée avec lui, qui en ont partagé les fruits, doux et amers. Les 45 Contes et Nouveaux Contes de la Montagne ont été écrits et revus entre 1939 et 1980. Ils en sont respectivement à leur 5e et 16e édition au Portugal et figurent parmi les textes les plus traduits de l’auteur. Le premier tirage des Contes de la Montagne (1941) a été saisi dès sa mise en librairie. L’un des pieds de nez de Torga à la police fut alors d’envoyer au Brésil un jeu d’épreuves et de faire réaliser là-bas une édition que ses lecteurs pouvaient se procurer par la poste... Ce monde selon Torga s’embrasse alors d’un seul regard : à travers ces Contes de la Montagne désormais rassemblés, le public français fera connaissance de l’ensemble des personnages sortis des Scènes de la vie paysanne, selon Torga. Contes d’une noirceur insupportable pour certains, qui pouvaient voir en Torga un alter ego de Mauriac ou de Maupassant. Mais le regard que l’écrivain jette sur ses contemporains est celui d’un médecin, d’un homme fier, lucide, d’un observateur implacable dont le désenchantement n’est jamais absolu, même à l’extrémité de la nuit, car l’homme est simultanément son désespoir et son espoir."
20. Paysans
Frédéric Gana
3.00★ (3)

"Prendre la route, celle des fermes et des estives, des étables et des vergers, des ateliers et des champs. Pendant six mois, nous avons parcouru la France en camionnette à la rencontre de plus de quatre-vingts paysans, producteurs et artisans des métiers de bouche qui exercent leur activité dans le respect de l'environnement et de la dignité humaine. Du maraîcher au céréalier, du boulanger au fromager, du chocolatier au vigneron, nos pas nous ont conduits à l'origine des aliments. Nous avons souhaité rencontrer celles et ceux qui pratiquent une agriculture aussi belle que nous l'imaginions : en accord avec les rythmes naturels, dans le respect des plantes, des animaux, des humains et pour le bonheur des papilles. Cette quête de la relation que l'homme entretient avec sa terre nous a permis d'appréhender la réalité d'une agriculture naturelle, auxiliaire de la biodiversité et du paysage, soucieuse aussi des bêtes, du travail et du consommateur."
21. "Tuta blu" (Bleu de travail)
Tommaso Di Ciàula
4.19★ (51)

" Ce livre n'est pas une étude, une enquête, ni l'exposé d'un intellectuel sur la réalité ouvrière. C'est un témoignage, celui de Tommaso Di Ciaula. Ouvrier lui-même, petit-fils de paysans, il vit et travaille près de Bari (Italie du Sud - mais là ou ici, n'est-ce pas la même histoire ?), enfile tous les jours son bleu, fait ses huit heures, écrit le soir après l'usine, de toutes ses forces, avec la volonté de " donner la parole à des siècles de silence de la classe ouvrière ".
22. J'ai choisi la terre
Claude Michelet
3.86★ (85)

"L'agriculture, pour Claude Michelet, c'est un choix. Tout jeune, il s'est attaché à ce petit domaine proche de Brive, exploité par un domestique, où la famille passe les vacances : la terre de Marcillac. A douze ans, il décide qu'il sera paysan. Son père, Edmond Michelet, ne s'oppose pas à ce qui semble bien être une vocation. A l'Ecole d'agriculture de Lancosme-en-Brenne, Claude apprend qu'il existe d'autres méthodes de culture que celles que l'on pratiquait alors dans la basse Corrèze. En 1960, il s'installe à Marcillac. 19 hectares 50 ares de terres usées et retombées en friche, cinq vaches et une génisse, c'est toute sa richesse. Il se met à l'ouvrage. Aujourd'hui, très simplement, il dit ce que furent ces quinze années : ses travaux et ses peines, ses réussites et ses échecs, ses bonheurs et ses déboires. Parlant de lui et des siens, de sa terre et de ses bêtes, il parle au nom de centaines de milliers de petits exploitants inquiets, désorientés par les décisions souvent contradictoires venues d'en haut et de très loin, qui craignent l'avenir et parfois se révoltent. Ces hommes-là se reconnaîtront dans ses propos. Les autres, les citadins, y découvriront une réalité qu'ils ignorent. Et chacun prendra conscience, à travers les pages de ce livre passionné, qu'une partie de la plus haute importance se joue dans les milliers d'exploitations familiales qui jalonnent la France : la survie d'une civilisation à visage humain."
23. Un village anatolien
Mahmout Makal
4.23★ (34)

"C'est à dix-huit ans que ce jeune instituteur paysan, Mahmout Makal, publie ses premiers écrits, témoignages précieux sur la vie paysanne en Anatolie centrale. Ces récits singuliers ont eu à Istanbul un retentissement considérable. "Un village anatolien" est la somme d'une expérience de quinze années. C'est le paysan turc lui-même qui pour la première fois, par la voix malaisée d'un des siens, va se faire entendre à travers ce livre brutal comme un cri. Nous participons au long des saisons et des jours à la peine des hommes, à leurs habitudes, à leurs préventions"
24. Histoire de la littérature prolétarienne de langue française
Michel Ragon
4.04★ (41)

"La littérature prolétarienne, ce fut d'abord un mouvement littéraire des années 1920, marqué par l'ambition de décrire la condition du peuple et des travailleurs. Mais au-delà de ce courant, illustré par les noms d'Henry Poulaille, Eugène Dabit, Louis Guilloux, etc., Michel Ragon nous offre un panorama de l'expression populaire dans la littérature - et aussi la chanson - du Moyen Age à nos jours. Chansons de métiers, littérature de colportage, poésie populaire, socialisme romantique : ces continents perdus de notre culture, souvent méprisés, revivent dans ces pages illustrées d'abondantes citations. Adam Billaut, Vadé, Restif de la Bretonne, Jules Michelet, Béranger, Eugène Pottier, plus près de nous Panaït Istrati, Jean Giono, Louis Calaferte ou Bernard Clavel, autant de noms qui reprennent place dans une tradition marquée par des courants, des écoles, des filiations, et aussi des enjeux sociaux et politiques. Publié pour la première fois en 1974, mis à jour lors d'une deuxième édition douze ans plus tard, ce classique dû à l'auteur des Mouchoirs rouges de Cholet rend hommage à une part injustement marginalisée de notre histoire littéraire."
26. Les raisins de la colère
John Steinbeck
4.47★ (23147)

Suggstion de harvard..
27. Le petit Arpent du bon Dieu
Erskine Caldwell
3.94★ (855)

Suggestion de harvard...
28. Le cheval d'orgueil
Pierre-Jakez Hélias
4.09★ (888)

De nombreux titres dans cette collection de "Terre Humaine"... sur le monde ouvrier et le monde paysan. Je privilégie ce témoignage qui concerne "ma Bretagne" !!! et qui est un excellent souvenir de lecture
30. Une soupe aux herbes sauvages
Emilie Carles
3.99★ (954)

Suggestion de crapette...
31. Parole de terre : Une initiation africaine
Pierre Rabhi
4.19★ (130)

Suggestion de harvard...
32. Du Sahara aux Cévennes : Itinéraire d'un homme au service de la Terre-Mère
Pierre Rabhi
4.05★ (267)

"Pierre Rabhi est un homme en marche. Vers plus de solidarité, plus de fraternité. Vers ce point d'équilibre où l'humanité et le cosmos, les peuples du Nord et ceux du Sud, les sociétés qui meurent de leur gaspillage et celles qui s'éteignent dans la misère, devraient retrouver l'harmonie. Déchiré, dans son enfance algérienne, entre une origine musulmane et une éducation à l'occidentale, il fut le témoin de ces populations écartelées entre leurs traditions séculaires et la modernité. Travailleur immigré confronté au racisme et à l'absurdité de l'univers urbain, il parvint en compagnie de sa femme à exploiter une petite ferme cévenole, réalisant ainsi son rêve de retour à la terre. "
34. Le manuel des jardins agroécologiques : Soigner la terre mieux nourrir les hommes
Pierre Rabhi
3.85★ (51)

"L'agroécologie pourrait bien être la seule réponse pertinente et rationnelle à la problématique de l'alimentation. Mais en quoi consiste-t-elle ? Elle représente bien plus qu'un ensemble de techniques agricoles respectueuses de la biodiversité, économes et efficaces même dans les conditions les plus difficiles, qu'il s'agisse de la région méditerranéenne ou du Sahel. Sous-tendue par une pensée humaniste, faite de respect, d'équité et de solidarité, l'agroécologie conduit à l'autonomie, privilégie l'économie de proximité et n'oublie pas pour autant de laisser une place à la beauté, à la poésie. Fondée par Pierre Rabhi, l'association Terre & Humanisme ? Pratiques écologiques et Solidarité internationale joue depuis une vingtaine d'années un rôle important dans la transmission de l'agroécologie, en France comme à l'étranger"
35. Les Vivants et les Morts
Gérard Mordillat
4.09★ (943)

Suggestion de MurielBaillade...
36. Vive la Sociale !
Gérard Mordillat
3.88★ (104)

"L'enfance de Gérard Mordillat est digne des romans de Queneau. Sous sa plume généreuse et vivante, il fait revivre, au travers de personnages hauts en couleur, les années 1960 et un quartier, le XXe arrondissement de Paris: un grand-père joueur de cornet dans l'orchestre du cirque Barnum, une grand-mère veuve de guerre qui pose pour des cartes postales, un père ouvrier et communiste, une mère américaine anarchiste, des bandes libres de gamins rebondissant aux quatre coins de Belleville et de Ménilmontant.. . Après le succès de son roman Les vivants et Les morts (Grand Prix RTL-Lire 2005), il était urgent que soit réédité ce récit délectable et tendre de Mordillat."
37. Chronique des années d'usine
Robert Piccamiglio
3.19★ (22)

"La pluie et le froid du petit matin, l’'odeur entêtante de la machine à café, la lenteur du jour ouvrable, l’'attente du week-end et des congés, les photos de filles à poil que l’'on regarde pour penser à autre chose… L'’usine dont nous parle Robert Piccamiglio n’est pas celle des journalistes, des sociologues ou des patrons, ni même celle des “travailleurs”, comme disent les leaders syndicaux. C’est un espace immense et hostile qui dévore le tiers de la vie d’'un homme, une zone de bruit, d’'angoisse et d’ennui, où il va falloir chaque jour se battre, attendre, rêver peut-être… Ces pages de solitude, de révolte, de secrète affection aussi, évoquent un monde totalement inconnu de la plupart d’'entre nous. Parce qu'’il n’arrive presque jamais, à cause du bourdonnement des machines et de la fatigue, qu'’un ouvrier devienne écrivain."
38. Faut-il tuer le chat ou l'hirondelle ?
Nicole Andrieux
4.00★ (8)

"Une enfance meurtrie au coeœur d’'un milieu paysan d’'après guerre. Sept fois les hirondelles sont parties, sept fois elles sont revenues. Adrien retourne dans son village natal perdu dans les monts d’'Auvergne, un peu inquiet. Amandine l’'aura-t-elle attendu ? L’histoire d’une enfance meurtrie au sein d’un milieu paysan d’'après-guerre dans les années 50."
39. Qu'elle était verte ma vallée !
Richard Llewellyn
4.13★ (649)

suggestion de Ladybug...
40. Des mules et des hommes : Une enfance, un lieu
Harry Crews
4.23★ (223)

" Ce livre est le récit inoubliable des premières années d'Harry Crews. Il naît en pleine Grande Dépression, dans une misérable baraque de paysan au sud de la Géorgie. Mais si Bacon County est une région au sol aride et aux vendettas sanglantes, c'est aussi un lieu magique où les serpents parlent, où les oiseaux peuvent s'emparer de l'âme d'un enfant, où les prédicateurs et les sorcières gardent fantômes et démons à portée de main. C'est surtout une terre d'hommes et de femmes pour qui la solidarité n'est pas un vain mot et le respect du soleil et de la pluie l'essence même de l'existence. À la fois choquant, attendrissant et drôle, " Des mules et des hommes " raconte les débuts d'un écrivain dans un monde où " survivre est suffisant comme triomphe ".------- un livre depuis trop longtemps en attente, pas loin de moi, sur les rayonnages !!!
41. La folle avoine
Guy Georgy
3.50★ (47)

Proposition de madameduberry-----"Des années auparavant, en 1991, bien avant de découvrir l'Amérique du sud et de le connaître, j'avais lu par hasard (?) La folle avoine, le récit de son enfance périgourdine. Orphelin, il avait été élevé par sa grand-mère, une paysanne illettrée, cueilleuse de simples et un peu sorcière, qui l'avait élevé dans sa chaumière au sol de terre battue..." Pierre-Olivier Combelles
42. Les Paroissiens de Palente
Maurice Clavel
3.00★ (19)

Découvert ce texte incroyable grâce à harvard...
43. Les gardiennes
Ernest Pérochon
3.76★ (111)

Lecture de ce Noël 2017- Bouleversant et passionnant ! voir chronique de Fanfanouche24.... de ce 25 décembre 2017
44. Nêne
Ernest Pérochon
3.87★ (117)

Ajout le 25 décembre 2017
45. Les Creux-de-Maisons
Ernest Pérochon
4.17★ (66)

Ajout le 25 décembre 2017
46. Léon Frédéric : Un autre réalisme
Benjamin Foudral
5.00★ (3)

Ajout le 22 septembre 2018--- catalogue d'exposition présentée au musée Gustave Courbet entre le 6 juillet et le 15 octobre 2018... "Avec le soutien du musée d?Orsay et des musées royaux de Belgique, l'exposition proposée par le musée Gustave Courbet évoquera les oeuvres de Léon Frederic, peintre majeur de la fin du XIXe siècle en Belgique. Formé à l?Académie royale des Beaux-arts de Bruxelles, Frederic est méconnu en France mais il a été l?une des figures majeures de l?art belge de la fin du XIXe siècle, évoluant du réalisme au naturalisme puis vers un symbolisme utopique. Très admiré dans son pays, il est, de son vivant, considéré comme l?un des plus importants peintres belges. Décrit par la critique comme « un paysan flamand qui aurait appris son métier chez Van Eyck et qui, par la suite, aurait rencontré Courbet », Frederic partage avec le maître d?Ornans une même recherche picturale réaliste et une indépendance certaine face aux conventions."
47. Jules Adler - Peindre sous la IIIème République
Amélie Lavin
4.50★ (8)

Ajout le 22 septembre 2018-"Catalogue de l'exposition ayant lieu à Dôle, jusqu'en février 2018 -------------------------------------------------- Peintre franc-comtois né à Luxueil-les-Bains, Jules Adler (1865-1952) a compté au sein du courant des artistes naturalistes qui ont incarné une voie alternative dans le dernier quart du XIXe siècle entre les avant-gardes impressionnistes et un art plus officiel dit académique. Défenseur d'un art en prise avec la société de la Troisième République, Adler l'a incarné par sa dimension connue "de peintre des humbles", ouvriers, modestes travailleurs ou chemineaux qui peuplent tout un plan de sa production. Au-delà de cette dimension, l'exposition entend éclairer par pans thématiques les différentes facettes de la démarche du peintre : la question sociale prégnante dans son oeuvre, la notion de régionalisme, son rôle artistique sur le front de guerre lors du second conflit mondial, sa condition de peintre des valeurs républicaines, et plus largement les "équivoques du Naturalisme" entre académisme et modernité. L'exposition rassemblera la majorité des oeuvres conservées en collections publiques, l'artiste étant présent, notamment du fait des envois de l'état, dans une trentaine de musées français, ainsi que certain nombre d'oeuvres conservées en collections privées. A ce titre, elle est la première exposition d'envergure qui soit consacrée à ce peintre et participe de la redécouverte et réévaluation du courant naturaliste, dans le droit fil des expositions Jules Bastien-Lepage, Fernand Pelez, Alfred Roll ces dernières années ..."
48. Millet
Chantal Georgel
5.00★ (4)

Ajout le 22 septembre 2018
49. Dessins de Jean-François Millet
Musée d' Orsay - Paris
4.33★ (4)

Ajout le 22 septembre 2018- Les dessins de Millet (1814-1875) eurent une grande influence sur la génération des artistes d'avant-garde, Edgar Degas, Camille Pissarro, Georges Seurat, Vincent Van Gogh, mais aussi sur les tenants les plus officiels du naturalisme académique, Jules Breton ou Léon Lhermitte. Cette descendance féconde - et en apparence paradoxale - reflète la complexité de son ?uvre où se trouvent tout à la fois un réalisme balayant toute convention académique, une idéalisation liée à une recherche synthétique de la forme, portant les germes d'une puissante évolution esthétique, et une filiation profonde avec la tradition des grands maîtres. Marie-Pierre Salé, conservateur au musée d'Orsay"
50. Jules Bastien-Lepage : (1848-1884)
Serge Lemoine
3.33★ (5)

Ajout le 22 septembre 2018--"Elève de Cabanel à l'Ecole parisienne des beaux-arts, candidat malheureux au concours pour le Grand Prix de Rome, Jules Bastien-Lepage a retenu l'attention de ses contemporains dés ses plus précoces envois au Salon. Ces premières expositions ont marqué le début d'une carrière fulgurante qui fut salué par les critiques les plus intransigeants, au premier rang desquels il faut citer Emile Zola et par les plus zélés collectionneurs du monde entier. Malgré a mort à l'âge de 36 ans, l'originalité de ses sujets, de ses compositions et e sa technique à a très tôt et pour longtemps influencé la création picturale, non seulement en France mais en Europe, aux Etats Unis et jusqu'en Australie, où plusieurs de ses oeuvres ont été très tôt acquises."
51. Constantin Meunier
Francesca Vandepitte
4.00★ (3)

Ajout le 22 septembre 2018
53. Le peintre Léon Frederic à Nafraiture
Benjamin Foudral
2.50★ (3)

Ajout le 24 septembre 2018 -- "Cette plaquette de l'exposition" Léon Frederic à Nafraiture " qui a eu lieu à Nafraiture en juillet-septembre 2017, présente des oeuvres de l'artiste en relation avec le monde rural qu'il connaissait bien. En effet, pendant 40 ans environ, et plusieurs mois par an, Léon Frederic , issu de la bourgeoisie bruxelloise aisée, s'isolait à Nafraiture, petit village de l'Ardenne belge, pour l'observer, en partager parfois les activités et y peindre à loisir. Les paysages et les habitants de cette campagne reculée où l'on ne pouvait accéder, à l'époque, que par la malle-poste, furent ses sujets d'inspiration privilégiés, constituant "les éléments de son positionnement artistique et de (sa) propre mythologie" pour reprendre les termes de Benjamin Foudral, chercheur en histoire de l'art à Paris Sorbonne, doctorant dont la thèse porte sur Léon Frederic, et auteur de cette plaquette d'exposition."
54. Paul, dans les pas du père : D'après les mémoires de Paul Bedel, agriculteur de la pointe de la Hague
Catherine Ecole-Boivin
4.03★ (44)

Ajout le 19 décembre 2018 ---"Catherine Ecole-Boivin, née en 1966, originaire de la Hague, habite Nantes. Historienne de formation, elle est également écrivain. Après le succès des ses livres, dont "Jeanne de Jobourg", "La Petite Misère"" et "L"Enfant Loup de Blanche", Paul Bedel, héros du film "Paul dans sa vie", l'a autorisée à écrire ses mémoires. Elle nous présente donc, "Paul, dans les pas du père", un poème à la terre et aux éléments naturels, un hommage à une vie simple, paisible, faite de grandes joies et de petites résistances face au progrès d'un agriculteur normand. Gagne-petit des campagnes mais grand homme sage, Paul verdit la campagne haguaise de sa bonne humeur et de son bon sens. Paul défriche l'horizon et cultive sans le savoir la bonté dans le coeur des hommes., il la sème et regarde patiemment la graine germer."
55. La ville noire
George Sand
3.58★ (128)

Ajout le 21 décembre 2018. Un texte trop méconnu de George Sand... sur le monde ouvrier... Une histoire d'amour contrariée entre deux êtres n'appartenant pas à la même classe sociale... La Ville basse et la ville haute... Inutile de dire que la ville basse est celle du monde ouvrier ! Merci à Chasto de m'avoir rappelé George Sand... cela m'a fait revenir dans cette lecture adorée, qui m'avait marquée !
56. À la ligne : Feuillets d'usine
Joseph Ponthus
4.30★ (3742)

Ajout le 23 février 2019- Lecture-découverte du moment, de ce 1er roman !
57. La vache
Beat Sterchi
3.96★ (39)

Ajout le 4 juillet 2019-- Réédition d'un texte publié originellement en 1983--"« Dans La Vache, il y a le monde d'Innerwald, ce havre qu'est l?étable, où, ballottées par les saisons, vivent et rêvent les vaches de Knuchel que nous apprenons à connaître, à reconnaître, à caresser du regard. Et puis il y a le monde social, celui des cafés où les poings s'abattent tandis que les chopes s'élèvent, où jalousies et mesquineries se tressent autour de la peur de l?étranger. Enfin, il y a le monde de l'abattoir, auquel est dévolu un chapitre sur deux, situé à sept ans du temps des pâturages. Deux traits saillent au fil des pages, qui reviennent et finissent par se mêler : xénophobie, abattage. Roman réaliste ? Récit champêtre assorti d'une critique sociale ? Vie d'une vache ? Comment décrire la sanglante odyssée de Blösch et la descente aux abattoirs d'Ambrosio ? S'il y a réalisme dans ces pages irradiées d'une minutie sensible au moindre détail, c'est un réalisme de la chair, de l?incarnation. » Claro"
58. D'une berge à l'autre
Michel Ragon
3.50★ (31)

Ajout le 5 avril 2020
59. Pleine terre
Corinne Royer
4.07★ (511)

Ajout le 27 août 2021---Un texte bouleversant que je viens d'achever [voir ma chronique de ce 26 août 2021 ], tiré d'une histoire vraie, tragique... Par la plume de Corinne Royer, un véritable plaidoyer pour alerter les instances concernées, afin de changer la vie âpre et fort difficile des paysans, qui nous nourrissent...nous "citadins aux mains blanches" !!!
60. La malchimie
Gisèle Bienne
3.97★ (64)

Ajout le 27 août 2021-"Récit d’un empoisonnement, La malchimie témoigne de l’affection d’une sœur ayant perdu son frère, ouvrier agricole mort de la nocivité des produits phytosanitaires qu’il a manipulés pendant des décennies sans protection, autant que de l’urgence à combattre le tout-chimique. Un récit emporté par la force incandescente d’une romancière qui a su bâtir de livre en livre un univers rare et complexe."
61. Fée d'hiver
André Bucher
3.87★ (87)

Ajout le 18 avril 2023
62. Le cabaret des oiseaux
André Bucher
3.98★ (64)

Ajout le 18 avril 2023
63. Braconnages
Reinhard Kaiser-Mühlecker
5.00★ (33)

Ajout ce 11 avril 2024 / auteur se partageant entre le travail sur l'exploitation agricole familiale et l'écriture !
64. Les chemins creux
Marcelle Delpastre
4.33★ (33)

En ce 27 avril 2024, je remercie vivement la camarade "tiboots " qui a eu la très bonne idée de me rappeler le talent d'une paysanne- philosophe poétesse, Marcelle Delpastre....découverte il y a déjà un long moment...toujours en attente de lecture, dont le parcours d'auteure est très riche, entre poésie, contes, et ethnologie...
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