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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Le ton est donné dès la première page car le roman s'ouvre sur une recette portoricaine de tembleque, une crème de coco.
Emoni a un don, celui de cuisiner des plats inventifs et parfumés. Elevée par sa grand-mère Buela, elle doit se battre sur plusieurs fronts à la fois. Elle termine le lycée tout en élevant sa fille encore bébé et travaille dans un fastfood pour payer ses études. L'avenir ? Elle n'ose y croire mais rêve de devenir cheffe comme l'amie de son professeur d'art culinaire. Mais le quotidien lorsqu'on est une très jeune maman n'est pas toujours facile.
Les origines de l'héroïne renvoient à celles de l'autrice, Elizabeth Acevedo, afro-américaine d'origine portoricaine. Elle a pioché dans ses souvenirs pour nous raconter l'histoire de cette famille éclatée.
De nombreux sujets sont abordés au fil des pages : Il y a, bien sûr, les mères adolescentes et les préjugés que cela provoque. On trouve aussi, à travers les amis d'Emoni, le thème de l'homosexualité, la sexualité et l'amour chez les ados et la jalousie. le racisme aussi est abordé. La cuisine est très présente, c'est le fil de l'histoire qui entraine l'héroïne vers son destin et le roman est émaillé de confection de plats et de recettes échangées avec sa tante Sarah.
Les dialogues sont alertes et donnent de la vivacité au récit. L'écriture est sincère et directe, la lecture agréable. J'ai trouvé les personnages attachants et même les plus agaçants arrivent à nous toucher. Emoni a une maturité incroyable pour une adolescente et sa détermination à tout réussir : être une mère parfaite, réussir ses études, gagner sa vie et se faire aimer des gens qui l'entourent, relève de la gageure. Ce n'est pas très réaliste mais c'est rassurant pour le lecteur adolescent.
Ce que j'ai préféré, c'est l'ambiance autour de l'art culinaire et la description des plats qui met l'eau à la bouche.
Le livre refermé, on a très envie de tester une ou deux recettes d'Emoni !
Je remercie les éditions Nathan et Babelio pour la découverte de ce roman.

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Je ne suis pas une très grande cuisinière, pourtant j'ai quand même pris ce livre ! Allez comprendre ! J'avais déjà lu le précédent roman de l'auteur, j'ai donc voulu voir ce qu'elle allait raconter ici.

Je n'ai pas tellement accroché à l'écriture. A plusieurs reprises j'ai eu besoin de relire certaines phrases, n'étant pas certaines de qui était en train de parler par exemple.
Ce qui m'a aussi "perturbé" est l'abréviation de 'Buela, avec l'apostrophe devant, à chaque fois je pensais voir une sorte de guillemet et mon cerveau lisait la phrase qui suivait comme un dialogue !!! J'ai fini par m'y faire, mais cela a été long !

Le livres est émaillé de deux ou trois recettes, mais qui ne sont pas assez détaillées pour les refaire à la maison ! Imaginez un peu : temps de cuisson : le temps d'une chanson ou d'un album d'un chanteur ! Oui, car Emoni cuisine à l'instinct et elle a un don ! Elle améliore des recettes tout simplement en suivant son intuition ! C'est assez impressionnant et on aimerait pouvoir sauter entre les pages du livres pour s'installer à sa table et goûter ses plats. D'autant que c'est une cuisine qui m'est inconnue.

J'ai beaucoup apprécié le personnage d'Emoni, je l'ai trouvé assez équilibré. C'est une jeune fille courageuse !
J'avais cependant deviné certaines choses. .

Il semble en tout cas que la marque d'Elizabeth Acevedo va être les héroïnes fortes !

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Avec sa belle couverture pleine de couleur et ses descriptions remarquables, ce livre entraîne notre esprit vers des destinations ensoleillées, des parfums envoûtants et des rencontres exaltantes.
On y découvre Emoni, une étudiante partagée entre son lycée, son travail et sa fille Emma. Soutenue par sa grand-mère, ses amis et ses professeurs, elle est confrontée à des choix difficiles et tente de faire une petite place à sa passion : composer et inventer des assortiments de saveurs pour créer un plat inégalable.
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Je dois cette lecture grâce à la proposition de Masse Critique privilégiée du site Babelio. Je n'attendais rien de cette lecture, à part le pitch annonciateur : le quotidien d'une lycéenne, cuisinière talentueuse et mère d'une fillette de deux ans. Je ne fus absolument pas déçue.
Sur le vif nous narre la vie d'Emoni, ado courageuse qui gère le rôle de mère de famille, les études au lycée et un petit boulot dans un fast food pour vivre tout simplement. La maternité précoce de cette bosseuse acharnée la rend plus hermétique au charme masculin (sa "première fois" lui a laissé un bébé-fille chéri Emma dite Babygirl mais pas prévu aussi tôt), plus mature que le reste de ses amis moins sujets aux tracas financiers à la gestion du quotidien. Emoni n'a qu'une envie : quitter assez vite le lycée avec le diplôme en poche et travailler. En cette période de dossiers de candidature aux grandes écoles, elle a bien du mal à se projeter sur un futur universitaire, n'étant pas une férue des études longues et intellectuelles. Mais du nouveau s'annonce au lycée : un cours d'arts culinaires et un nouvel élève fort charmant.

Sur le vif se lit vraiment facilement, déroule une histoire intéressante et bien rythmée. Les personnages sont clairement identifiés. Leur évolution est cohérente. On voit notre héroïne se mobiliser pour des projets qui lui tiennent à coeur, se distinguer aussi dans le bon comme dans le moins bon. Ce qui ressort de Sur le vif est la bienveillance dont est entourée Emoni : un entourage très proche et protecteur (familial avec la grand-même et amical) et parfois lointain (le père, la tante maternelle). Sur le vif aborde la maternité adolescente et là encore on voit que ni Emoni ni le père de Babygirl ne renoncent à leurs devoirs vis-à-dis de leur fille, avec plus ou moins de réussite. On sent la pression aussi sur la jeune fille à avoir un comportement amoureux irréprochable, pression dont ne souffre pas le père d'Emma. On voyage aussi.

Le côté très lisse de l'histoire et des sentiments m'a laissée un peu de côté. À la fin de la lecture, il m'a manqué l'émotion et j'ai eu le goût d'inachevé, d'abandon d'intrigues ou de personnages secondaires sans porte de sortie, un peu comme si on jetait quelqu'un en pâture... une sorte de "tout cela pour cela". J'attendais peut-être un peu plus de traitement des autres thèmes abordés : le multiculturalisme, la place des femmes, les relatons familiales, l'exil.
C'est dommage parce que Elizabeth Acevedo sait installer et construire les ambiances et les dialogues, les scènes et les relations aussi, parce que son histoire m'a bien accrochée, parce que l'héroïne est d'une classe absolue.
Sur le vif est une lecture agréable qui se prête à tout moment de l'année, l'été en particulier.

Je remercie la maison d'édition et le site Babelio pour ce partenariat.
Lien : https://jemelivre.blogspot.c..
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Je m'attendais à beaucoup de la part de cette autrice car son premier livre "signé poète X" m'a vraiment marqué et parlé. Mais j'avoue avoir eu trop d'attentes. Déjà, première petite déception, ce livre n'est pas écrit en vers libre. Ensuite, l'histoire est sympa mignonne et cohérente mais j'ai trouvé à titre personnel que les sujets de la cuisine et de la parentalité n'étaient pas assez creusés, la narration reste je trouve trop en surface ou ne continue pas assez longtemps dans les pistes qui s'ouvrent. Exemple, le père de la fille d'Emoni. Il est jaloux, ils ont situation compliquée tout ça mais je n'ai pas vu de moment où sa personnalité ou sa présence changeait VRAIMENT quelque chose à l'intrigue. Je suis peut-être trop exigeante mais mes attentes n'ont pas étés comblées et même si ça reste très agréable à lire je ne recommande pas forcément.
Je trouve que par rapport à son premier roman qui avait vraiment du caractère celui là pourrait ressembler à une histoire inventée par Angie Thomas mais sans approfondissement (donc en moins bien). Désolée, j'ai pas beaucoup de points vraiment positifs à donner sur cette lecture, mais je pense que j'avais trop d'attentes et que j'ai donc été très déçue.
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👩🏾‍🍳 𝐀𝐯𝐢𝐬 : J'ai été déçu de cette lecture que j'ai traîné pendant plusieurs jours. L'intrigue donnait envie pourtant...
Enfaite, dans ce livre, l'histoire va aborder beaucoup la cuisine et en vu du résumé je ne pensais pas qu'il allait être basé principalement sur ça.

Heureusement qu'il aborde les certaines difficultés que rencontrent Emonie, la protagonistes de ce livre.

J'ai bien aimé qu'on parle de la précarité, des difficultés à gérer un enfant étant encore jeune et les études.

Un bon point aussi pour l'aspect esthétique du livre il est gourmand et chaleureux. Et j'ai adoré la découpe des chapîtres et des parties.

C'était une bonne lecture mais sans plus pour moi. J'aurai aimé que le soupçon de romance qui est présent dans le récit soit tout de même plus .

👩🏾‍🍳 𝐍𝐨𝐭𝐞 : Attention pour les gourmands vous risquez d'avoir faim en lisant ce livre.
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L'intrigue donne envie...
Mais je m'attendais à autre chose, et je n'ai pas trop aimé. L'idée est bonne sur le fait qu'une maman adolescente aie du mal à jongler entre ses études et sa vie de mère. Cependant, je trouve que l'on voit plus le côté adolescent de la protagoniste et des personnages et pas assez de maturité dans le livre. D'accord, nous voyons effectivement que la protagoniste a du mal à tout gérer mais je trouve qu'il manque d'antagonisme qui aurait donné plus de profondeur au roman. En effet, j'aurais aimé plus de confrontation, de difficultés qui auraient fait que le livre puisse toucher un public autre que les adolescents.
Au niveau des personnages, cependant, j'ai particulièrement apprécié le rôle de la meilleure amie, Angelica, qui est là coûte que coûte pour Emoni.
Le personnage que j'ai moins aimé est celui de Malachi, qui est je trouve, intrusif. Cependant, ce personnage permet à Emoni d'ouvrir les yeux sur plusieurs choses.
En bref, je n'ai pas trop apprécié cette lecture qui n'était pas celle que j'attendais et qui manque un peu de "maturité" à mon goût. Dommage :(
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L'histoire : Nous suivons Emoni, une jeune lycéenne et aussi maman d'une petite fille de 2 ans. Elle jongle entre le lycée, sa fille et le travail le soir pour pouvoir aider sa grand-mère à payer le loyer. Son rêve : devenir cheffe d'un restaurant. Mais dans sa vie, il n'y a pas de place pour les rêves. Cependant, un jour, lorsque dans son lycée, un cours d'art culinaire s'ouvre, Emoni ne va pas pouvoir s'empêcher de vouloir y participer. Arrivera-t-elle à jongler entre mère, cheffe et lycéenne ? Accomplira-t-elle son rêve d'ouvrir son restaurant ? Malheureusement, avec moi ce roman n'a pas été une réussite. Je me suis énormément ennuyée et je n'ai pas du tout réussi à rentrer dans l'histoire.

Les personnages : Premièrement, Emoni, j'ai adoré cette jeune femme, elle est forte et indépendante et j'ai aimé la suivre. Puis, sa fille, Babygirl pour les intimes, elle est vraiment mimi et j'ai bien aimé la découvrir. Enfin, la grand-mère, Buela, comme l'appelle Emoni, c'est un personnage que j'ai également bien aimé. C'était vraiment très sympathique de retrouver les 3 générations ainsi.

La plume : Pour finir, j'ai pas du tout adhéré à la plume. C'est l'élément principal qui a fait que j'ai abandonné le roman. J'ai eu énormément de mal avec les tournures de phrase, du mal aussi avec la lenteur du récit. Je pense que pour beaucoup la plume plaira car c'est de la traduction par Clémentine Beauvais et en général, j'adore ce qu'elle fait mais pour une fois cela ne l'a pas fait.

En résumé, c'est une déception pour ma part, j'ai pas adhéré à la plume et à l'histoire qui était trop lente pour moi. Cependant, je me suis attachée aux personnages, je ne peux pas dire le contraire, ces 3 femmes sont attachantes. Je vous recommande de tester ce roman si le résumé vous fait de l'oeil car ce n'est qu'un ressenti personnel et j'ai vu d'excellents retours.

J'espère que cette chronique vous aura plu, je vous fais des gros bisous et vous souhaite de bonnes lectures.
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Dans ce nouveau récit d'Elizabeth Acevedo, Emoni est une fille-mère de 17 ans qui entre dans sa dernière année de lycée et doit jongler entre ses devoirs, sa petite fille à élever et son travail chez Burger hit pour aider sa grand-mère avec qui elle vit.

Elle qui est passionnée par les mélanges personnalisés d'épices quand elle cuisine, elle voit un rêve se profiler à l'horizon lorsqu'une option "Arts culinaires" est ouverte dans son école. Mais cela signifie travailler encore plus et les barrières qu'elles a érigées autour d'elle vont être par ailleurs malmenées par l'arrivée d'un nouveau venu dans sa classe, un garçon doux, lumineux et patient, qui cache pourtant un lourd secret.

Un chouette roman qui fait du bien!
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Ce roman raconte l'histoire de Emoni, une lycéenne. Emoni vit avec sa fille Emma et sa mère Buela.
Emoni rêve de devenir chef dans un restaurant mais avec son enfant est-ce un rêve réalisable ?

J'ai moyennement aimé ce livre. Je trouve qu'il n'y a pas assez de rebondissements mais j'ai aimé que les chapitres soient tous différents, car il est difficile de les anticiper ce qui ajoute du suspense.
Cependant on a l'impression qu'il s'agit d'une superposition de plusieurs petites histoires qui parlent tout de même toutes de la vie d'Emoni mais sans lien entre elles.
J'ai apprécié les recettes intercalées à l'histoire, c'est assez original, d'autre part les ingrédients que l'on trouve dans les recettes nous font voyager dans les pays du sud.
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