J'ai goûté moyennement ce livre, même si je préfère, à tout prendre, parcourir les écrits de son auteure que d'ouïr son horrible voix.
Le voyage, terme constituant un pratique fourre-tout, déjà, me semble une vue de l'esprit qui n'est pas la mienne pour la vieillesse.
Je n'ai trouvé dans l'ouvrage, dont on a quand même fait un certain battage, rien de spécialement original, pas plus qu'une idée véritablement accrocheuse.
Sans doute va-t-on m'écorcher vif, mais l'ensemble sonne (ce n'est que mon avis) pompeux et bassement intello.
Ce n'est pas une critique contre
Laure Adler en particulier, j'ai apprécié son livre sur les maisons closes.
Sur la mort et la vieillesse, tout compte fait, je préfère
Montaigne, et pas seulement parce qu'il est périgourdin. Ou Colette. Ou
Victor Hugo. Ou
George Sand.
Oui, je sais, c'est moins à la mode.
Et pourtant !
Désolé.
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