>
Critique de Tchippy
J'avais vu le film il y a longtemps, sur le conseil d'une amie :
- Oooh il est trop beau ce film, une des meilleures comédies romantiques que j'aie jamais vu !
- 'Fin tu sais moi les comédies romantiques...
- Ouiiii mais il y a Gerard Butler dedans, et il est trop bôôôô !
Conquise par cet argument massue, je m'étais donc calée devant mon écran, pour, finalement :
- beaucoup d'ennui
- et le fameux Butler qui joue une dizaine de minutes sur un film de plus d'une heure.
Mais, mais, mais, sachant qu'un film tiré d'un livre ne peut qu'en être une pâle copie, si ce n'est quelque chose de totalement différent (le SDA est hors concours, bien sûr), je me suis plongée dans les pages de PS I love you.
Et là, je e suis vraiment rendue compte que le film n'avait rien à voir, et que le livre était nettement meilleur et se suffisait largement à lui-même.
La plume toujours portée sur l'exagération, l'hyperbole et le stéréotype (mais après tout, on est dans de la chick-lit), l'auteure nous emmène avec Holly sur le long chemin du deuil de l'amour de sa vie. du rire aux larmes, de déprime en espoir, et jusqu'à un aperçu du bonheur.
Et chapeau à l'auteure pour l'idée de base du roman, réellement originale et unique, qui constitue le fil conducteur du récit : les fameuses lettres posthumes de Gerry.
Un très bon roman, qui colle à ce qu'on attend de lui sans en faire trop.
- Oooh il est trop beau ce film, une des meilleures comédies romantiques que j'aie jamais vu !
- 'Fin tu sais moi les comédies romantiques...
- Ouiiii mais il y a Gerard Butler dedans, et il est trop bôôôô !
Conquise par cet argument massue, je m'étais donc calée devant mon écran, pour, finalement :
- beaucoup d'ennui
- et le fameux Butler qui joue une dizaine de minutes sur un film de plus d'une heure.
Mais, mais, mais, sachant qu'un film tiré d'un livre ne peut qu'en être une pâle copie, si ce n'est quelque chose de totalement différent (le SDA est hors concours, bien sûr), je me suis plongée dans les pages de PS I love you.
Et là, je e suis vraiment rendue compte que le film n'avait rien à voir, et que le livre était nettement meilleur et se suffisait largement à lui-même.
La plume toujours portée sur l'exagération, l'hyperbole et le stéréotype (mais après tout, on est dans de la chick-lit), l'auteure nous emmène avec Holly sur le long chemin du deuil de l'amour de sa vie. du rire aux larmes, de déprime en espoir, et jusqu'à un aperçu du bonheur.
Et chapeau à l'auteure pour l'idée de base du roman, réellement originale et unique, qui constitue le fil conducteur du récit : les fameuses lettres posthumes de Gerry.
Un très bon roman, qui colle à ce qu'on attend de lui sans en faire trop.
