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Critique de photonoxx


À New York, l'ambassadeur indien Pawar, mène à l'ONU des négociations pour maintenir la paix au Cachemire où s'opposent Inde et Pakistan.
Peu de temps après avoir assisté à une tentative de meurtre contre son père devant son lycée, Maanik, la fille adolescente de l'ambassadeur Pawar semble être rentrée dans une crise, qui semble pourtant plus étrange qu'une « simple » réaction post-traumatique. Similaire par moment à un état de transe, celle-ci a des mouvements incompréhensibles et violents et s'exprime dans une langue qui n'existe pas.
Ben, l'interprète et homme de confiance de l'ambassadeur Pawar fait alors appelle à son amie Caitlin O'Hara, psychologue spécialiste des adolescents qui va devoir opérer dans la plus grande discrétion afin de ne pas compromettre par ailleurs les négociations de paix. Mais le « mal » qui semble s'être emparé de Maanik ne ressemble à rien de ce qu'elle connaît, et par ailleurs, deux autres cas présentant des similitudes se sont déclarés à des milliers de kilomètres de là.
Commence alors une aventure pleine de mystère qui mènera le Docteur O'Hara bien plus loin que ce à quoi elle pouvait s'attendre et la forcera à remettre en doute ses propres convictions.
On pouvait craindre le pire, s'agissant d'un roman « médiatique » de « l'agent spécial Dana Scully de retour sur les écrans ». Cependant, passé cette appréhension, on se retrouve avec une histoire plutôt entraînante qui pourra je pense être facilement proposé à des ados et un récit bien mené, même s'il n'y a rien de révolutionnaire. On y retrouve ce qu'il faut de suspense et de mystère, on n'accumule pas trop de clichés et on ne dénombre pas trop d'invraisemblances, toutes proportions gardées, s'agissant d'un roman avec une dimension fantastique.
On doit également cette « qualité », je pense, au cosignataire de ce livre, Jeff Rovin qui semble habitué aux travaux d'écriture, et finalement, il reste difficile de savoir la part du récit dont est responsable Gillian Anderson, mais pour le lecteur, ce n'est pour finir peut être pas le plus important.
Le premier tome clôt une intrigue, donc on ne restera pas en suspend sur l'intrigue principale du livre, mais la fin appelle clairement à une suite et il me semble que la série devrait constituer une tétralogie.
Pour conclure un bon roman plutôt agréable et assez prenant.
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