Deuxième expérience avec les éditions Noir sur Blanc .
La première a été "Le syndrome de Fritz" de Bortnikov.
Et ces deux romans ont un point commun : le début est assez pénible à lire.
La différence se situe sur la suite. "
Perversion" est resté pénible jusqu'à la fin.
Une histoire décousue, un style assez quelconque , j'ai beaucoup de mal à comprendre la comparaison avec le chef d'oeuvre de
Boulgakov , "
Le maître et Marguerite". Je ne perçois pas le moindre point commun entre ces deux romans.
Je lisais dans un article que certains critiques littéraires peinaient à trouver une relève aux parangons de la littérature russe qui se sont arrêtés selon eux à
Boris Pasternak.
Je ne sais quoi en penser.
Toujours est-il que ce ne sera pas ce roman qui parviendra à me départir de cette idée.
Il est toujours possible de tirer quelque chose d'un roman . Des personnages consistants , un style convaincant , une trame intrigante.
Là , je n'ai rien trouvé malheureusement.
Commenter  J’apprécie         10