Gros problèmes de mise en page et de faute d'orthographe pour les premières aventures de Marshal Foreste, flic blessé par la vie mais qui ne se prive pas de venger sur la gente féminine.
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Ce n’est pas parce qu’on est indirectement concernée que l’on ne se projette pas dans le malheur des autres. Je n’aime pas les sucreries voyez-vous, mais j’en reconnais toute la douceur, rien qu’aux visages radieux des gens qui les mangent. Vous n’êtes pas responsable de ce qui se passe. Soyez un peu indulgent avec votre prochain et avec vous-même !
Elle était très mignonne. Petite, très mince, presque maigre, des cheveux cendrés coiffés sans beaucoup de recherche et une profondeur, une intensité du regard, qui interrogeait l’âme. L’on sentait que toutes les choses insignifiantes de la vie avaient son importance pour elle. Attentive, ne négligeant personne, elle inclina la tête surprise, en réfléchissant à cet inconnu qui la rudoyait si grossièrement, sans la connaître.
Les putes c’est fini, les macs c’est fini, les voyous, c’est fini je ne continue plus. Rien à foutre d’arrêter des zigs qui sont plus vite au lit que moi. Des pages de rapport à se torcher. C’est ça le problème de la police mec, on rentre moins vite à la maison que ceux qu’on encabane. Dans les deux heures qui suivent, ils passent devant le juge et comme l’on ne sait plus où les mettre, on les vire au trottoir.
Chez les flics, les peines de cœur étaient monnaie courante. Au vu des nombreuses heures passées dehors, souvent leurs moitiés se tiraient et les mecs finissaient comme des cons, sur les zincs des bistrots.
- Le miracle c’est en soi qu’il se fait.
- Mais quand même, certains y mettent le prix.