Library wars, tome 1

Un shojo de science-fiction assez sympa. Iku est une jeune femme athlétique et passionnée qui vient d'intégrer le Corps des Bibliothécaires. Dans cette société où les livres sont chassés par les ASA et protéger par ce corps de défenseurs constitué par les Bibliothécaires.
Caractère bien trempé, humour mignonnet et figure du "prince charmant" adulé depuis l'enfance, dont seule l'héroïne ignore l'identité. Tous les ingrédients d'un bon shojo sont là. Dans cette atmosphère guerrière, cette adaptation manga du roman de Hiro ARIKAWA est assez réussie. le dessin est très mignon et très typique du shojo. le personnage masculin est comme toujours très ambivalent et attachant. L'héroïne a un côté maladroite très émouvant.
Un bon début de série qui pose les bases en donnant envie d'aller lire la suite.

Les thèmes sont intéressants, bibliothécaire, armée c'est un mélange sympathique et qui permet d'allier une passion pour les livres, mêlée à un peu d'action.
Je n'ai pas forcément réussi à m'attacher aux personnages pour l'instant, rien qu'avec le tome 1. Cela dit, je pense que par la suite j'y arriverai.

Ayant Lu les commentaires des lecteurs je le suis étonnée de voir que personne ne soulignait le nombre conséquent de dialogues et de bulles de ''pensées''. Il y en à trop, pas forcément utiles et ça gâche la lecture.

La ressemblance entre les deux personnages masculins soit Dojo et Tezuka n'a pas posé problème ?? Ah pour le coup moi si, ce sont limite des sosies c'est super compliqué de savoir qui est qui, si ce n'est à l'aide de leur caractère, sauf que même là, ils se ressemblent.

Je pense que le manga peut être vraiment sympa et sans prise de tête mais il y a pas mal d'informations et les soucis qui s'installent dans la conception des planches nuisent.

Je ne sais pas vraiment dire si je l'ai aimé ou non... L'univers est quelque peu étrange et dystopique, j'ai aimé le concept des agents de protections des bibliothèques ainsi que tout ce qui tourne autour: les entraînements, la salle des archives, les différents grades... Par contre le personnage principal m'a donné du fil à retordre! Elle est d'un gnangnan et est une miss catastrophe. Et cette histoire de "prince charmant", seigneur!
Je tente le second tome afin de voir si j'accrocherai un peu plus ou non au tempérament de la jeune Iku.
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Sous la loi de la censure et de la morale littéraire, les bibliothèques se sont dotées d'un corps militaire afin de protéger leurs livres et de pouvoir enrichir leurs collections.
Notre héroïne souhaitant ressembler à son idole va intégrer cette armée de protection du livre tout en espérant retrouver celui qui à sauver son livre quelques années auparavant.

Bien que l'idée soit originale et que quelques moments d'humour rythment ce premier volume, j'ai eu du mal à accrocher. J'ai trouvé le début un peut long. Mais une fois à la fin, je me suis finalement dit : "pourquoi pas ?" La suite me dira si j'ai bien fait de le continuer.

J'aime lire certains mangas, mais je ne baigne pas dans la culture du Japon et les histoires d'amour incontournables ce n'est pas du tout ma tasse de thé. du tout. Si le fond est très intéressant d'autant qu'il est rare (autour des livres et des bibliothécaires, et notamment la censure du gouvernement), y avoir greffé une telle histoire de Prince charmant et d'amour.. je ne suis guère enthousiaste. Je vais peut-être tenter le 2e tome, mais je doute d'aller beaucoup plus loin.

Dans un futur alternatif, le gouvernement japonais juge néfastes certaines lectures et décide de les censurer au moyen d'un comité d'amélioration des médias. Mais les bibliothécaires défendent parfois au prix de leur vie leurs livres, revues et journaux, et finissent par faire voter la loi de sauvegarde des bibliothèques, qui crée aux côtés des bibliothécaires un corps paramilitaire. C'est ce dernier qu'intègre Iku Kasahara à l'insu de ses parents, qui veut suivre les traces d'un « prince charmant » mystérieux lequel avait sauvé son livre favori des griffes de deux membres du Comité d'amélioration des médias. Très vite ses performances physiques qui surpassent celles des filles et de nombreux garçons lui permettent d'être sélectionnée par le lieutenant Atsuhi Dojo, qui semble très dur envers elle…

Sur fond de conflit pour la liberté d'expression, de lois de confidentialité comme celle de ne pas dévoiler les lectures d'un meurtrier, se déroule semble-t-il une histoire d'amour qui s'ignore. Divertissant mais pas original au point d'avoir envie de poursuivre la lecture de cette série.
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Dans ce manga à la veine en apparence sentimentale, on vit une époque où l'Amélioration des Médias a été décrétée au Japon par une loi. Ce qui fait que la chasse aux livres jugés interdits est autorisée !!! Pour se défendre, les bibliothécaires se sont dotés d'un corps militaire de défense et de protection des livres. Iku Kashara admire depuis son enfance un membre de ce corps, pour l'avoir vu à l'oeuvre, et pourtant elle ne connaît pas son visage. Elle a décidé d'intégrer cette organisation. Mais elle doit pour ce faire exécuter les ordres d'un instructeur sans pitié … de quoi la mettre vraiment à l'épreuve.

Ce manga plaira sûrement aux aficionados d'histoires d'amour mouvementées. J'avoue espérer lire la suite pour savoir, où cela va conduire Iku et nous, par voie de conséquence. Mais, il ne s'agit pas d'une réelle impatience. En fait, l'arrière-plan politique lié à la manipulation des médias et la destruction des livres aurait mérité –selon moi – un traitement de premier plan et moins stéréotypé. Peut-être le deuxième tome saura-t-il répondre à mes attentes. Mais j'ai peu d'espoir !
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