La maison de poupée

C'est le second livre de M.J. Arlidge que je lis et probablement le dernier malheureusement. Attention, ne me comprenez pas mal, je n'ai pas dis que ce livre est mauvais. Qui suis-je d'ailleurs pour pouvoir juger un auteur et dire que son livre est mauvais. Tout au plus puis-je dire que celui-ci ne me plait pas car il n'as pas rencontré mes attentes (d'ailleurs n'apprend-on pas à nos enfants qu'on ne dit pas qu'un plat n'est pas bon mais plutôt que celui-ci ne nous plait pas. Ce qui est, dans la plupart des cas, la vérité).

Ce livre commence sur de belles promesses. Une jeune femme se réveille, après une nuit arrosée, dans une chambre/cave qui n'est pas la sienne. Je ne vous révèlerai pas la suite excepté que l'intrigue est menées tambours battants et que cette ambiance/tension est très bien rendue par des chapitres très courts, ce qui rend le récit haletant. C'est une des raison pour laquelle j'ai pris pas mal de plaisir à la lecture de ce livre.

Malheureusement, j'ai trouvé que le traitement final du roman était assez convenu, impression que j'avais déjà ressentie à la lecture de Am Stram Gram. Donc pour moi, un livre qui se termine comme un gros block buster américain, chose que je n'apprécie pas outre mesure.

Malgré tout, j'ai passé quelques bonnes heures de lecture avant que le soufflé ne retombe !

Les chapitres courts font qu'il y'a un bon rythme de lecture. L'auteur change de point de vue à chaque chapitre mais cela ne m'a pas gênée.

Cela dit, je n'ai rien trouvé de vraiment original dans ce thriller , pas de surprise ou de trucs « waouh » mais malgré tout c'était un bon moment de lecture. Cela a fait le job en tout cas.

C'etait mon premier Arlidge (c'est pas grave s'il y avait des spoils du précédent ;), je m'en fiche) .

Après avoir terminée "il court, il court, le furet" j'ai tout de suite commencée le 3 ème volet de cette série que j' aime beaucoup où l'on suit le commandant Helen Grace.

Je l'ai trouvée légèrement en dessous des deux premiers.
J'ai été gênée par le fait que la relation entre les personnages prennent souvent le dessus sur l'enquête.
Dans les deux premiers romans, l'auteur avait réussi à réunir les deux avec parcimonie, ce qui n'est a mon avis pas le cas dans celui-la.

Il reste tout de même, un bon thriller avec une intrigue qui commence très vite et où l'angoisse est bien présente.

🕵️‍♀️SAUVEZ RUBY!🕵️‍♀️
Un cadavre de femme est découvert sur une plage de Southampton. Parallèlement, on signale la disparition d'une jeune fille, Ruby. Laquelle se réveille dans une chambre inconnue qui est en fait une cave aménagée avec des meubles factices comme dans une maison de poupée...🤔🤔🤔

Bref, la pauvre Ruby est tout ce qu'il y a de prisonnière, aux mains d'un pervers tout ce qu'il y a de détraqué. La commandant Helen Grace à qui on a confié l'affaire, car c'est quand même THE flic héroïque et ultra populaire du commissariat central, note la ressemblance entre la morte et la disparue et soupçonne très vite l'oeuvre d'un serial killer. On a du flair ou on n'en a pas !😉 Malgré les croche-pattes de sa direction qui la jalouse et veut l'éjecter et les précautions du meurtrier qui a oublié d'être bête, notre héroïne va mener l'enquête tambour battant pour sauver Ruby.

On avait adoré Am stram gram, le premier tome mettant en scène la super flic au caractère tourmenté. Ici, l'intrigue est plus classique mais l'écriture incisive de MJ Arlidge est toujours aussi efficace. Les chapitres courts consacrés aux différents protagonistes s'enchaînent à un rythme haletant. le personnage d'Helen Grace est comme d'habitude au coeur du roman mais son évolution personnelle reste en stand-by. Dommage. On aurait aimé découvrir de nouveaux aspects de sa personnalité. Mais ce petit bémol ne nous empêche pas de vous recommander vivement ce page turner bien angoissant.

L'avez vous lu ? Quelle enquête d'Helen Grace avez vous préférée ?
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Après "Am Stram Gram” ou j'ai découvert MJ ARLIDGE, j'ai enchaîné avec ”Il court, il court le furet” deux très bonne lecture alors et de trois avec ”La maison de poupée ”. Je n'aurais peut-être pas dû... Mais changer d'auteur comme je fais d'habitude, car là, la lecture a été compliquée.
Les chapitres s'enchaînent toujours aussi vite, l'histoire est intéressante mais on voit arriver la fin sans surprise...
Et oui petite déception mais je reviendrais plus tard vers cet auteur.
Bonne lecture à tous,

J'ai passé un bon moment de lecture même si ce 3ème tome est légèrement en dessous des deux autres selon moi. J'ai trouvé que l'histoire était plus centrée sur les péripéties des enquêteurs que sur le ravisseur en question. J'ai eu l'impression que le thème principal du récit, à savoir, l'enlèvement de Ruby était au second plan.

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Un auteur britannique masculin dans la peau d'une héroïne féminine, le DC Helen Grace, à l'enfance terrible et au présent complexe. Helen Grace, spécialiste de serial killers, revient sur le devant de la scène avec "La maison de poupée", une maison bien sombre pour des poupées de chair.
Cela débute par un réveil dans des draps différents pour Ruby et continue comme pour celles qui l'ont précédé ici par la découverte d'un univers figé dans l'enfance, dont il est impossible de s'évader, au sein duquel réside un homme qui veut retrouver Summer, yeux bleus et longs cheveux noirs : mais qui est Summer ?
Après "Am Stram Gram", "Il court, il court le furet", voici le nouveau "jeu de MJ ARLIDGE : soit dit en passant, vu le côté tordu de ces jeux, je serais curieuse de connaître l'enfance de l'auteur ...

Je poursuis ma lecture de la saga Helen Grace qui, par deux fois, a été un retour mitigé…

Ce troisième opus ne changera pas la donne…

Je n'ai pas su entrer pleinement dans l'histoire, pourtant qui part d'un bon postulat… en sus, l'auteur enchaine les chapitres, courts, avec le point de vue de plusieurs personnages… on oscille entre les protagonistes à chaque chapitre… donc, ça change souvent – 3 ou 4 pages max !.

Alors, ça peut paumer si on n'est pas entré dans l'univers de l'auteur… moi qui avait pensé que la fin de Ams Tram Gram était un trop facile, celle-ci est en-dessous…

Restent les à-côtés, la vie de Helen, de ses coéquipiers, ses relations avec la hiérarchie, etc. ; alors, oui, Arlidge écrit des chapitres courts qui ne nécessitent pas de rester assise 2h pour se dire « ok je finis le chapitre », mais là, encore, cela tombe à plat…

Pourtant, merdus, l'identité de ce psychopathe qui tue et mais « garde en vie virtuellement » ses victimes, ça a de la gueule !

Vais-je tenter un 4e ?

Très enthousiaste en débutant ce livre après lecture de la 4ème de couverture, je le referme avec un sentiment de déception.

J'avoue avoir eu du mal à vraiment entrer dans l'histoire et j'ai peu adhéré au personnage d'Helen Grace. Avant de commencer, je ne savais pas que ce tome s'inscrit dans une série dont il est le troisième ; bien que cela ne gêne pas la compréhension de cette enquête, je pense que cela m'a empêché de bien comprendre le personnage d'Helen d'où mon manque d'empathie à son égard.

Habituellement, j'apprécie les histoires bien rythmées avec des chapitres courts ; ici, les chapitres sont ultra courts, tout juste deux à trois pages au maximum, et à chaque fois on change de personnages. Autant dire qu'il faut rester bien attentif ce qui n'a peut-être pas toujours été mon cas !

Je pense lire les tomes précédents pour conforter, ou non, cette première impression très mitigée.

Un avis similaire aux deux tomes précédents.

C'est indéniable, il s'agit d'un polar efficace. Mais je reste quand même plutôt mitigé, je trouve qu'il manque quelque chose. Rien ne démarque ce livre des innombrables polars qui sortent régulièrement en librairie.

Je trouve aussi, une fois de plus, que l'histoire souffre de quelques longueurs. Les personnages sont très classiques dans ce genre même si l'évolution des interactions entre les différents protagonistes est plus intéressante dans ce troisième opus.

Bref, encore une fois, c'est un "sans plus" pour moi même si la lecture est loin d'être désagréable.